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1.2
coul jou
Saskatchewan
Oirane des Catholiques de Lingus
française. du Nofd-Ouest -
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RÉ ES
" çst lu” chaque semaine
de 30,000 personnes
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Île “Patricte
par plus
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TALK AUCGLAIR, O.M.L Dire
== — mn ee rene oremmmarureens
se Année | Se 2-705 PRINCE-ALBERT, SASK., Mercredi 14 janvier 1925
LR
APOTRES
mous dit un anot déjà du b
haussoié, CE) | NE
que le lecleur soit tn lettré au goût difficile, ou un
une du peuple d'instruction ordinaire, l'un et l'autre après avoir
on me ces pages 1e peuvent manquer de dire: voilà nn beau livre.
PE ue le ajet traité? Lstece le charme du stylo fait de simplicité
u de distinction? Est-etfle’ dramatique ct le contraste de vies subli-
que un eudre de’pauvrbté et de misère? Est-ce le frémissement
ni donne toujours au côbur le beauté du dévouement qui s'ignore et
te d'un coup d'iilé "jusqu'à l'héroïsme ?2— Cest tout ‘cela sans
Er dout DU
“En nos temps de’ sééplicisme, de niâtérialisme et, d'irvéligion,
ous vivons dns Je surnal ul, et nous fre le savons pas”, écrit M.
4 Veuillot dans la préface; à co-livre :.. La Prôvidence, hetr-
É ecnent, nous prehdht Un pitié, shscite quelquefois de modernes
Éhouvèeres dont les chansoils ‘de. gokte éveillent- notre attention. Les
Eure el «uraturels exploits dont. ils furent .chlouis nous arrivent
des ailes de leurs récits, émus et pittoresques... Is trouvent le che-
Ein de nor coeurs eh pusslnt par nos curiosités. Le Père Duchaus-
Bis de la Congrégation dés Oblats'de Marie Immaculéc; est l’un de
«Leurs et dé CCS poiles”. Ve . Se
L'apétr. inconnu, C'est le Frère coadjutsur,.
Ale rigucur, je‘cohiprends le.dévouemént du prêtre, mais ce-
ni du frère, est pot mob'un mystère” disait'un protestant ache-
eur de fourrures dans’ les régions del’Octan Glicial
“Le livre de P. Duchadssoïiss'attuche à expliquer ce mystère tout
mplement en le faisait vevivie SOUS OS VERX.. |
" Etet une histoiré-dé beauté. Neuf-chapitres, qui sont autant
ktbleaux, en paitagent les: 250 pages qui nous montrent le frère
religieux et auissionnairé dus <es”lifférentes fonctions, de naviga-
eur, chet d'équipages, bâtisseur, agriculteur, pêcheur, ete.
Les fonctions sont des plus hutables-et toujours dés plus pénibles,
anis quels bounnes de dévouement-joyeux,'de vourage héroïque et
Ulevertu aduirable que -ces huinbles ‘frères! —.
:.Peprit jouisseur ct inercantile dusièle-est un souffle mauvais
qui prse sur tous les peuples. 1 dessèéhe toût. 11 eulaidit tout, Le
Eulte de la piastre est devenu nne religion eruelle qui tue lu beauté,
che bonheur, abrutit ses adeptts-énsattendant de les dévorer.
7 Notre peuple, encoreprofondément. catholique; est atteint com-
me lus autres. Lorsque l'égoisme jouissenr et Vinférêt matériel cal-
Éulent touts l'activité hunaine à laspiastre €'en cet fini des nobles
sntiment. du dévonenient. de la charité, du patriotisme et finale-
“ment de la religion "elleinfine, Que ce mal, ee culte du veau d’or
lutte idolatrie de Ja chair, envahissent toutes les âmes ei c'en sera
Éini de kr civilisition. éhrélienno basée sur le sacrifice et le-dévoue-
Een. LUC RE ee eee ..
1 Mai. Dieu mer PV -aencorede bellés mes qui‘eut ti autre
idéal de vie que celti dé faire de l'argeut et de‘éerrépaître des grossiè-
4 juuicouces qui faisaient Aout Je triste apanage. du. paganisme.
| Ent peut-ètre leut, SeutiOi ot il
pi
. ne ‘
“u ct bon livre que vient de pu-
‘
Nou:
bliur le P. Duc
Poun bre:
Statues
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S Françu)
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É ile. |
«
Fe à ces Gmies-lr-étilout que le.beau livre “Apôtres inconnus”
eu du bit Elles y. tiouvetont l'atmüsphère qui leur: convient, la
laivre qu'elles cherchent. | © NS tt
Nos souhaiterions doñe que ce bèeur livre pébètre dans toutes]
Lplus qu'un beau livre, C'est un bon livre, nn
Aux uùs ils inspirera le désir de la-
atique plus -par-
Es famille, cor c'es
Eure qui fera du bien à tous.
Épestoltt dans la vocation religieuse, aux autres à pr
Eee l'esprit chrétien au milieu du monde. 7 2.
io Lente qu'une. partie du chumb d'action de l'epôtre inconnu
uns revèle Le Jivre-du P. Duchuussois, :'A'ehaquè page où cons’
Été que ce < humbles coudjuteurs de FEvangile sont atécessaires pour|
Esontentr Le ministère du.piôtre dans les missions, si pénibles à la nu-!
) Et ‘cela constittie un appel émouvant aux!
tue, de Extreme Nord.
at elles qui se sentent capables‘ d'un évuruge héfoique avec
dl tte de Dieu. { ‘ | D : ; ‘ 3 :
EU Mi 6 a d'autres champs d'action, moins pénibles peut-être
Et Curie potuts de vue."uù ces bonnes volontés ne sont pas moins
jetsres ef où celles pourraient exercer leui zèle d'apostolat incon-
Mavee Len moins defruit, £%4
Sa ut 2 .
1 a" Dm n ee . , : oo Fe ‘
u., u fi # à ICE des champs dattiouscuvore inexploit(s. qui ailleur
‘ <a ete ouriers érangéliques.pour:produiresde-hallesaunissons.
RU Du permettrons: d'ébridiquériunt celui dé Ta presse GE ETES
lue. ra SU Re DRE OH
{
Quel bicu immense H'accompliraient pas de bons. frères cgädju-
4 : , Ua ‘ se qe ne
se xic'à la-composhion “et à, Fimpression
US qui emssacreraient Jeu
Us buns jonnaux!. :
eee dut.de la
. D)
| presse dtliolique.. 7
ue Disu cnvoie d'âäbündauts ouvriers dis # la
É eon CA arnde ctit x a-béanéoup dé bien'à faire qui ne se fait pas
En: Qi ns à pus d’ouvrierst Qu'il donne uu inonde de-nom-
EAUX potes iconnus. 5 Do TT
5
l. a vign£! . Car’
ADS
(
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És
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15 sous francu, * ‘
NN
LeF. O. M. I.
uclair,
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anses
Apôtres Ineonnus.—Br. P. Duchaüssois, “OM "250. pages, in oclu-
M0 illustré. En vente äu Scholasticat des Oblats, Edmonton, Alta. Prix
: e senation re.t de.son: diocèse. La: congrégation
3 ki congrégation re {qu'il vient de fonder portera ce
Ê. igieuse chiffre à‘ quinze. Ù
À
pet “
4 Mgr
4
_— TS en
L'organisation et la“coordina-
tion des oouvres catholiques
Prul'hognn Û
| 1 e
née Albert at i
ctuel}e me
—Pour Je mois. de janvier, l'in-
tention spéciale, approuvée et bénie
par Notre Saint-Père le Pape, et qui
est proposée aux ‘Suffrages des'as-
sociés : de: l'Apostolat de la Prière,
c'est ““Porganisation et’ la coordina-
tion des'.oeuvres catholiques”, Voi-
& une fin pour laquelle tous les çu-
tholiques véritables ne -manqueront
pas d’implerer le Ciel avec une par-
ticulièére lerveur.. Car il importe
souverainement: que 1è$ Bataillons
de l’armée du Christ. soient forte-
ment. organisés .et disciplinés aver
ve efficacité parfaite,-à l'heure où
il: semblé que lennemi de Jésus ct
-de: l'homme, Je Prince des ténèbres
“mobilise. ses. :phalanges pour un
coup décisif: à. l’assaut. den.
di biens © Te
elle, qu'it
recommandée
corines : cola des
caines. de-St-Joseph
Ni se Consaerent- spécialement au
€ des hôpitaux, des. instituts
Sourds-muets, és orphelinats,
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NO personnes dévonées, qui se
cu les premières consacrées À
Grp u tre habitent-présentement
a qe in ’Otterburn, * Manito-
fl es Ont attendu danssle trac
"4 briére:la décision de Ro-
à, Mer Prid'homme avait déià : de:
jut de son. épiscopat,
de. tit à quatorze le noin-
“ Congrésations religieuses”
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LES NOUVELLES
- CHEZ NOUS ET AILLEURS |
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Î Au montent où le cabinet fédéral Les journaux de Saskatoon rap-
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Le prochain sénateur de l’Al.1 À propos d’une éritique du
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berta doit être l’un des nô-| programme d'étüdes dans
’ Es . à
tres, nos Écoles
se dispose à remplir les vacances! portent que le Dr 4, NS: Huff, prin-
au Sénat, il faut ui rappeler par Hal cipal de Pécole Norme de cette
voix de nos journaux que les draits| ville, s'est attaqué ‘fortement au
de, Félément français ne ‘devront! curriculum d'études dans les écoles
pas être méconnus ‘et sacrifiés cet- {de la province, .
te fois encore, D'après le compte réndu de son
Les positions que nous tenons à! discours devant les membres du
la législature du pays sont déjà par! Rotary Club, M Huff en. aurait
trop faibles pour que nous songions! principalement contrée, l’inflexibi.
à en abandonner quelqu'une, Gar-|lité du programime des écoles, on
dons avec.un soin jaloux la” repré-! si l’on veut, Penseignerhent des mé-
sentation qui nous est dûe à al mes matières,, au même degré, à
chambre haute, ct’pour cela ne ces-ltons les enfants de queltues talents
sons de réclamer, de faire con! qu'ils soient, “Entre ‘1 seience de
prendre que nous Y Aienons, | lPédueation et la pratique actuelle,:
Libre à I provinee de Québec de | 7 & un abime”, dit M. Huff.
faire cadeau de lun de ses comtés! - 1 appelle les elasseside nos éco-
à la province de l'Alberta pour les|les, des elasses-bataiflons, où les
beaux veüx de M. King, «x dé-lenfants de grande. ‘intelligence,
pens de la représentation française! ceux qui en ont: juste assez, et mé
: Mort de Mgr Gaire
Dans upe cireulaire à son clergé
NS. G. Mgr Mathieu, écrit à la date
du + janvicr:
“Le diocèse vient de perdre unit
de ses prètres les plus dévoués et
les plus estimés, Une mort impré-
vue nons «a enlevé ce chèr Mr Gui
re, un de ces prêtres dont PEsprit
Saint fait Péloge quand il dit: “Et
dies pleni invenientur in eis”. Cet-
te belle àme en brisant san vnvelap-
pe, comme Mndelcine son vase de
parfum sur les pieds de Jésus, lais-
sers un parfum dont le diocèse res-
tera lougtemps embaumé, “Et do
mus completa est ex odore unguen-
i
Mans M Gaire, P. D, curé de
Wauchope, Sask,, était Fun des prè-
tres les plus anciens et les plus mé-
ritants. du diocèse de Régina.
. Né près de Strasboutszg en lran-
ce, en 1853 il avait été ordonné en
1878. Aprés 10 années de ministère
en France, il Ctait venu au Canada
on 1888 ct avait mis ses services à
la disposition de Mgr Taché, avche-
véque do St-Bonifaec, .
On lui confiu Ia desserte des mis-
sions de l'ouest du Manitoba. C'est
la qu'il fonda la paroisse de Grande
Clairiére et il en fit le centre de
ses activités.
Plus tard, en 1903, à da demande
de Mgr Langevin, il vint se fixer çn-
eo ae an rte An songe not mme nee ne à
Prince-Albert, Bash.
Abonnement:
n an, Canada.....,.. 62.00
ci Etats-Unis ...... 02.50
* * Europe cesse, 93.00. 1f
D
NOTRE LANGUE
\
” Chez les Ecrivains
sou compte une suggestion. de
Baudrilart en
Mie
« . formutlant le -voeu
se à la Semaine des écri-, de voir s'établir entre les journa-
question de la bonne pres |
listes catholiques des divers pays
du monde des relations religieuses,
4
U L]
vains catholiques .
Paris, Lu-semaine des éori-
vains catholiques vient d'uvoir licu
à Paris,
On y a étudié surtout Le rôle que!
devront remplir les écrivains en-
tholiques dans la presse,
Le premier rapporteur exatmina
surtout la situation de fait de la
grande Presse parisienne envisagée
au point de vue catholique. H:dé-
nonçea le redoutable danger que
court l'opinion fr. s aise pervertic
par cetle presse, détournéc des ver-
lus religiouses, à tout le moins pri-
vée d'une dacirine, ct examina ce
que Les écrivains eatholiques peur-
vent faire dans Pordre pratique
pour remèêdier à une telle situation,
On discuta ensuite lu question de
savoir si un catholique peut colla.,
borer à un journal dit de grande
Le Canadu représenté. ?
Puis des journalistés rhollaidais,
canadiens, polonals, ‘vinrent ‘dire
leu qu'ils pensent de la prose, Gn-
tholique française et ce qu'est Ja
presse catholique chez eux:
Ê
Attitude à: modifier
! à è
Parlant du fouemalisme à lPétran-
ger, Mgr Baudriljart, demanda. aux
écrivains catholiques dé” s'emplo-
ver à moditioe l'attitude.des "Fran-
enis, en particulier ‘des intellec-
tels francais, vis-vis des étiyn-
pers, plus spécialement dé ceux qui
viennent en Franec, En effet, non
sonlomeñt Les Français montrent
fort peu de curiosité de ce .qui.he
fuit hors de leurs frontières, én.
information: Le KR, . du Passage fpartieulior sur Je terrain entholi-
remarqua justement qu'en celte ma- que, mais quand on Viurt les en ne
tière certaines distinetions s’hupo- former, ls n'ont méme pus la cotifs
sent, Si par sa notorièlé, un &, loisie d'accuoillir nvec ‘quelque
crtvain risque de servir In propu-{ empresienent le visitéur qui dr-
“#ande du journal. nont il trouve rive, cusseut-ils tout 'fh a prendre
ébmeont du français. dons les
el catholique an parlement du pays!
La minorité française et catholique
des-provinces de l'Ouest nc saurait
aller jusqu’à cet excès de complai-
sace dans limitation des électeurs
du comté d'Argenteuil, La mort
lui à ravi duns Jes rangs des séna-
leurs son unique représentant pour
l'Alberta, et elle veut que le regvet-
té M. Côté soil remplacé par l'un
des siens, ‘
C'est une position qui nous re-
vient au Sénat de notre pays, Les
hümmes ne nous manquent pas pour
l'occuper honorablement: M. King
a que l'embarras du choix parmi
les fidèles adeptes de son parti dâus
la province-socur,
Nos compatriotes de PAlberla
semblent, Sétre ralliés en nombre
suffisant -atiour de’ la candidature
de M Prosper Lessard. Quelque
soit d'ailleurs lhonmme de leur
choix, cet homane devient Le nôtre
lu de a population ‘française de
l'Oucët, toutes nos: voix .lui sont ac-
‘quisés, 6t.nos forces: s'uviront à
celles de nos frères albertains pour
le porter jusqu'au siège quil doit
occuper en notre noin an Sénat ci-
nadien: :. PL ET
. Phonorable M, PE, Less, ve-
nu'diuis" l'Ouest en 1898 àIa fin de
‘ses études au Mont St-Louis de
Montréal, s’y est toujours occupé
de politique, et x a'joué mème un
rôle important -lorsqu'aprés, la for-
mation des provinces actuélles il
devint membre du conseil: des mi-
nistres, Son jugement’ sûr et son
grand sens des affaires ont fait he
précier ses services daûst ln -diréc-
tion de plusieurs entreprises finan-
ciéres, Tout Ie bean -distriet de
St-Paut-des-Mètis Jui doit. certaine fc 7
Au’ cours dun
peut-être un peu lente à venir au t"Caunada, à Nation” le Star. de Sas | vre dans la mort il véc
katoon, se permel ectte:irévérence
ment une partie de Hi pruspérité,
goût de plusicurs, mais qui s’annon-
cc brillante dans un avenir pro-
chain. RC
Connaissance du pays ct de ses
Hesoins, initiation préable aux af-
foires publiques, expérience des mi-
Jeux parlementaires, M. Lessard
posséde, à coub sûr, autant de qua-
ltés requises pour devenir un bon
sénateur utile au Canada, que n’im-
vorte.-quel autre aspirant: anglo-sa-
xon.de sa‘provitice.: Sans coipter
que” sa, nomination continuerait ‘fa
tradition,’ crééé nas: Sir Wilfrid
Laurier el respectée par $cs-sucees-
seups- dé réserve lun des siègés [-
de a chambre haute’ à élément
fraffeais de l'Alberta,
‘ Cr
M. Dunning répond: à l’
‘range Sentinel”
O.
"4
Régina. — AL le premier ministre
Dunning a cru de son devoir de
répondre aux attaques que lOran-
“ge Sentinel, de Toronto, dans son
édition du 43 décembre, avait lur-
cées. contre son gouvernement, au
sujet de Penscignement du fran-
eais dans les écoles de la. Saskal-
chewan. x : Pa
Voici Ja lettre de M. Dunuing au
rédacteur. de lu “Sentinel”:
“En première page de votfe nu-
mévo du 13 décembre, il x à un
article intitulé “Les Ecoles de la
Süskatchewan”” “Vous ninvitez à
faire une déchuwation énergique et
chüre,,; an sujet de supposés ur-
rangements pour l’enseignement
obligatoice du frinçais dans les
écoles’ de la Saskatchéwan, . Je
vous demanderais donc, de publier.
en premiére page ce qui suil :
Premièrement, le gonvernement de
la Saskatchewan ne se propose pis
de rendre le français obligatoire:
dans les ééoles dela Saskatchewan,
Deuxièmement, aucune promesse
n'a été faite par le gouvernement
ou quelqu'un de ses ininistres, à
l'effet que Penseignement du fran-
cais deviendr:® obligatoire dans les
écoles de la: Saskatchewan dans
un-avenir quelconque; et troisié-
imement, aueéune. organisation . ou
individu h'a jomsis demandé au
gouvernement dé la Saskatchewan
de rendre obligatoire ‘ l’énseigne-
[ écoles
atchewan?" : 1
dé Ta: Sask
du. fait qu'ils l'ont choisi: il est lé.
France, fait -remettre à l'honorable
[
H
le
Du français dans les fram-
Jorne Îles nouveaux
nant de, 2
me les buses sont t
en mème temps.
M. Duff doit vivre unipeu’dans la
lune. Personne ne “cpnteste que
l'idéal serait d’avoir: dans la même
classe des élèves d'égalé force, sus-
ecptibles d’attoindresle méme de-
gré de développement -intellectuel,
Mais M, le principal Gyblie que Ia
nature n'a pas fait {oué les enfants
‘égaux sur ce point; ét:qu'il ne faut
pas demander au gouvernement de
wocçüper de: classifieation, on si
l'on, veut, de.sélections fnpossibles.
Le plus que F'on peut exiger de nos
gouvernants, c'est d'adopter un
programme d’études gbi convien-
ne à la moyenne
ous cseignés
des intollisences
des_enfants, Les esprits lrop fai.
‘bles pour Îe-suivre ne souf pas
faits pour fréauenter-les écoles: 1c$°
intelligences brillantes doivent v
suppléer par des études personnel.
les, vu par les cours: particuliers
qui -se donnent dans "les maisons
! d'enscignement secondalre, L
2 S'il Y à quelque chogé ‘à repro-
-études de
nos écoles, c'est qu'il esé {rop-char-
gé ol:quelque. pet au-d'ésus.de.la
moyenne. ‘On. sacrific: l:solidité
‘au .nombre.des connaissances, T
atdrail mieux pour nostenfants
d'apprendre moins de choses, se-
|sandaires ou d'agrément, et'de pos:
&
cher” au curriculum dé
séder à fond les rudimentst des
sciences nécessaires à Li wic'mrils
auront.-à vivre, en cst.de, lins-
truction comme de la nourriture:
qguelnues mets, substanticls ‘bien
préparés, el. assimilables, valent
“mieux que toutes. des confilu
les sucreries du monde.
te e 0-0 mme se 7
. ‘Education canadienne
ete
an DER
;
“article * intitulé
au sujet de notre :sYstème., d'écoles
publiques: “Nous avons emprunté
aux États-Unis un système “d'ins-
truction publique ® qui renferme
beaucoup de-ce qui es! hrütal, prus-
sien ei stupide” Quand donc: au-
rons-nous dans toutes les autres
brovinces comme dans Québec, une
véritable, éducation canadienne,
ge TT Te ii
La lutte des Canadieris fran.
- ‘-çaïs ‘en l'Ontario suscite’d :
: : x sympathie en France
CL à: Pos ne À
FrOtawas — L'Alliance Française,
section: de ‘Guéret, dans Ia Creuse,
sénateur Belcourt, président de-EAs-
ociation Canadicnne-françoise d'E-
ducation de l'Ontuÿo, une gracien-
se aHocation de quâtre cents franes
“pour Êécole libre franco eatholi
que de. Pembroke, Ont. .
ways d'Ottawa
Ottawa. “Sil vous plait entrez
en avant” tele est l'inscription qui
tramways dOt-
fawa, Voici unc autre preuve, de
Pefficacité, de Ja campagne en. fa-
veut du français qui se poursuit
Ottawa comme dans les autres par-
ties.de l'Ontario, La compagnie des
tramwavs d'Oliwa mérite des, féli-
citations. . ct
Un voyage de bénre éntente
- à Montreal
» e, : LÉ
Montréal, -— La ville de Montréal
recevra officiellement Île 307 jan-
vier une délégation de bonnc en-
tonte vepant d'Ontario ct compre-
F au à 308 meubres, dépu-
tés, échevins de ‘loronto, ‘maires
dé” municipalités, représentants -de
comimerec et autres
à
chambres de
corps publics, ,
Le ee Em
Cologne .ne sera pas évacué
.. Londres, — Dans une note re.
mise ‘4° PAlemagne, les ainmbassar
deurs alliés signifient à ectbe-puis-
sance que Cologne-ne sera pas.fel
vacué Le 19 janvier parce que PAL
Jemagne n'a pas. rempli les.condi. |
‘tions-névcessaires de. désasmeonmont
+ , ,
…. ‘ r N
eee Le À
à mé
rex CEËse: vivre pour servir Dicu et mou-
ia Ste-Sabine- de Rome: “UL mortens
mont
là un moyen de faire entendre une :
core plus à l'ouest, en Saskatche- : sn :
note plus où moins .religicuse oui
wa OÙ il organisa plusicurs pa-
roisses, IL fonda” ln paroisse del stns cola, ne résonnerail ps, à l'o-
Wauchope où il demeura jusqu'a file d'une quantité dé graves dons.
sa mort, OUT.
Entre ‘temps, Mer Gaire {it plu-
sieurs voyages en France.dans lin-
iértét de Ja colonisation, Par $es
L] PAU L] Q D WIN " LU si ji L - a A a 4 d 4 U
coatt EE EL es ECTS il fit quon géand intérèt qu'il y aurait à crècr
anite Aaq nee june agence d'information indépen-
crula un grand nombre de colons! , ce te A0 © RS
qui sopt encore aujourd'hui dans dante ve sympathique au eatholicis
Une agence catholique.
Plusieurs firent, vemarquer le
jaune. ét
4 : ans l % ot su | ) + ter
nr ue où l'autre. des M, Demenico Russe extmina en-
en ect din . At suite fa situation du journalisme à
Mur Gaire était'uu prédicateur et! travers le monde, IL moutra d'u
un Cerivain remarquable, ‘et c'était
surtout un homme de Dicu, menant
une vie pauvre ef désintéresséc, tou-
te au service des âmes.
I'haisse de nombreux manuscrits
qui -cvntiennent toute l'histoire ‘du,
début des paroisses de ectte partie
méridionale des deux vrovinces dont
ii Juf Je colonisateur et Le fonda
teur, + ”
. L'Eglise de POuest doit beaucoup
à cebon et fidèle serviteur de M
causé eutholique ct française.
En 1920, à la recommandation de
S. GG, Mgr Mathivds il Ctait nommé
Prélat Domestique dé Sa Sainteté
pile Souverain Pontife Benoit X
en réronnaissance des services qu”
avait vendus à l'Eglise. .
Mur Gaire sera vivement regretté
par tous ceux qui lont connu:
“H répaudit toujours autour de
lui, écrit Mgr Mathieu, la bonne o-
deur de-fésus Christ et it fut tou-
jours Er vivante image de ce divin
modèle. 1 ne désirait qu'une echo
bord les trails communs à la pres-
se de toul pays: D expliqua notam-
ent que, de plus en plus, les jour-
naux partout sacrifient à Pinfor
iwation et, de ‘plus en pins perdent
de leur indépendance vis-tevis" des
puissances d'argent. Puis à
Purands traits il précisa les carie
téristiques principales de la presse
des grands pavs du monde: et à
termina son fort intéressant ex-
pose documenté d'une facon remare
auablé, en parlant de lnpreske en.
la leçon de Pexpérienee, it conclut
qu'il est très possible en tout pays
de faire vivre et :prospérer des
bien cntendu qu'ils soient siffisam-
ment informés 44 aussi qu'ils aient
les préoccupations sociales
l'Église recommande cHle-méme aux
M, Russo reprit à
fidèles d'avoir,
ri pour le rengontrer, Sur sn
lombe Où pourrait graver colle ins
eriplion qu'on Hit sur un tombeau
viveret, Vixit ut moriturus, pour vi
ut conne. (le- La Sesfion à Régina
Régina, Le. parhmont de Ja
Suskatehowan à repris ses stuincenx
le jour des Rois, |
La discussion du bill des H-
quoeurs n’est pas encore venue sur
le tapis.” Mais It Chambre aadop-
ié deux résolutions d'ordre géné.
ral, Vune demandant Pabhaissement
du tarif et la reprise des pourpur.
lys, de réciprocité ‘ver les Etats
Vois; l'autre. demandint Ja: pro-
mriété des ressonr'ees
pour li provinces, 1 7 2 à.
Le bill présenté bas Mi Turner
pour amendor la loi des écoles 1
été adopté ‘après modification,
s'agit du cas d'un commissaire
condamné pour offense criminelle,
M, Turner propose «dans son Bill
que ce commissaire ne soit pas
rééligible avant trois ans, Sur mo-
on de M. Latta, fa période de
trois ans a été réduite à un an ct
le Di a été adopté, '
Pa
a
KR
Le budget de la province
tt inouvir,"*
Les funérailles ont cu lieu jeudi,
Re service fut chanté par M, l'abbé
Pierquis, Curé de Grande Clairiére,
Mun., en présence.de Sa Grandeur
Mgr Mathieu et d'un nombreux
clergé. notannnent MM, les abs
C, Maillard, de Gravelbourg À, Le-
mieux, de WillowBuneh; F. Nic
deau (SERaphael) ; BP. Cruveil-
ler AWesburp); TA, Murray, chüñ:
celier du diocèse; N; Poirier (Pons
icis): À. Beñnoit-(Wilcox); J' Hoôis
(StMäurice); C Poirier, (Wolse-
lv) A Hinson (Sedley) 5 A Fétst
“and (StAmoine) 5; "Dupras (For.
gel), 7 . 7
Une foule de catholiques et de
prolestunts des communes voisiné
étaient venus apporter leurs picux
honinhges de raconnaissance à Ho-
tee cher défunt, + avait des gens
de Forget, Dunias, St Raphael, St:
Antoine, St-Mauvice, Hartnev,
Grande Clairière, Deleau et même
de Winnipeg | .
ES ae — ——
L’“Action. Française” ouvre
une enquête sur le bilinguis-
me
Régina. Dans uw discours
rcupli d'enthousiasme cf de con-
fiance dans Pavenir de Ja Saskut-
chewan, Phon. premier ministre
Dunning à présenté pour ls neu-
vième fois le budget de la nyoyvin-
Avec son numéro de janvier, fa
vaillante revue lAclion francaise
ouvrira une enquèle sur le bilin-
Le gouvernement est heureux
d'annoncer qu'il ne voit pas la né-
cessité d'imposer de nouvelles ta-
ses. 7,
La province # terminé l'année
fiscale au 30 avril 1924 avec un sur.
plus de 536,361, La dette publi-
aue. de S56,157.040 à été réduite à
#5a.831,787. .
H n’y aura pus de taxes sur la
gazoline. Si cette taxe est imposée :
Dlus tard il y aura diminution cor-
respondante sur les licences d'au-
tomobiles, M
ticle qui sera publié chaque njois.
M. abbé Groulx, directeur de
la revue, ouvrira Penquèfe par un
historique du bilinguisme ut Ca-
nada, Voilà une enquète' qui. pour
elle seule, vaudrait la péine que
Ponr-s'abonuät à cette révue dont
chaque :numéro est: oxtiémement
interessant et utile,
nn
Î
‘
Un député proposera ure ma-
rine de guerre pour le Cie
nada |
r :
/ .
Ottawa Les députés à ka pro-
chaine session fédérale auront: une
importante question à étudier celle
de établissement d'une marine ‘de
guerfe pour de Canada, Tone s'ü+
gif as ‘d'an. article ‘ad programme
ministériel mais de la proposition
d'un député M. Ncil, indépendant
Conditions financières” excellentes
“La comparaison démontre, dit
Me Dunning, que la condition fi-
nanCiére da la Saskatchewan cest}
ln. meilleure de toutes . les:-pro*
vinces à l'exception de Québec. Not
taxes provinciales sont :plus basses
na relles de toutes lés autres pra”
de Comox Atlin, Colonbic-Britan-{ vinces à l’ouest des grihds lacs:
nique, ee . : '- ., }Tout P'impot, provincial ét muni-
tholique dans Ie 'inmonde, . Tirant,
journaux catholiques à condition”
que:
naturelles |
A
‘Fécemment négocié
)
de Jui sur son pays, Les Eratients
doivent modifier à cet égurd, loûr
façon d'être, En outre, qu'ils cher-
cheut à entrer davantage en ‘vap-
port avec leurs coreligionnaires dé
l'étranger. HV aurait beaucoup
& attendre pour le bico dé la ralt-
gion, des relations régulières dia
blics entre les journalistes ‘cathn-
liques de l'étranger, Les peuples
trop souvent se connaissent mieux”
par de qui les sépare que parce, qui
les rapproche, Aux écrivains die
tholiques de réagir partout contre
un aussi. déplorable. état d'esprit
Une lettre du Cardinal Gaspurrt
LS Em, Je envdipal., Gasparri 1
adressé une belle. Jottée à ln See
ipaine des Ecrivains catholiques. at
nom. du, Souverain Pontifé:, L'en-
selygnement de l'Église, écrit Sôn
ÆEnidnence, est, en effet, la règle
infaillible de lonte auction :dat Ai.
ques c'est dans ln:meatré of"
vivrez votre foi que vou:
lu vépanidres et, outre
te union disciplinée dt c
qui sera votre force el rendra vo.
te action léconde, " Votts” éul tie
bucrez ainsi à la diff su dühbo le
A
Mere
oùstante
monde des doctrints.:h ï fi
de l'Église, et, à l'escplé. À
François-de-Sales, paltbl ‘de
presse catholique, vous direz at.
der éet esprit dé douceur el dé
charité qui ovil sur les-@meÿ (ét
pénëtre jusqu'au fond des coclirs,
cipal e4t inférieur à ceci du.
nifoba à l'est, de PAlbortg à l'ou-
est, et du Montana et du Dakota
saut “ ,
L'esthné qu vevénu uÿbicole de
le Saskatehewon d'uprés M. Dur
ning se chiffre & 8177194000 dt
1924 contre #199.407,000 en 1925
diminution de #22,134,000, A
Sur 14,049,000 acres -semés on
blé en 1924, il v a eu 1,704,000 in-
produetifs, Nr ut
au
,
1,21 pur minol de blé
Le -buréau dés statistiques, estis
ue que Le cultivateur recevra! s1,21
en moyenne pas thinot dé blé, con-
tre 05 sous en 1924. *
La valeur de l'industrie laitière
a triplé en dixrans. Po ‘
. Notre dette par tête,
lié moindre que cellé”
sions," Elle est de 806.
dis que celle du Manitoba est de
$114: de Alberta, 81,31; de la Co-
est Ja moi-
le nos voi:
lombie, 6163; l'Ontario #87: le
Nouyeau-Brunswick, #76, ous
venons uprès la Nouvellg-Etcosse
dont Ha dette est de $56, par tête,
landis que celle de Québec n’est
oue de $23, et Pile di Prinec-E-
douard, #13, '
aan Le, nm msn
La Session fédérale s'annonce
Oltawa— Tout indique ‘das les
guise, La question sera, étudiée! cé vendredi, jeereles parlementaires l’annroche
sous tous ses aspects dans un.ar- ‘de Ju session, L'activité: déj, se
fait. fiévreuse : les délégations
avrivent ‘les ünes après les autres
auprès du gouvernement :
sions du cabinet deviennent quo-
tidiennes; les grandes lignes. du
plan d'action se dessinent,
Avant louverture: de Hi chambre,
le gouvernement remplira, selon
toute probalité, les cinq sièces :va-
cunts au Sénal: deux nour Québec,
et.un pour chacune des provinces
suivantes. le Nouveau Brunswick,
Ple-du Prince-Edouard, et l'Alber-
ta, Les ‘estiniés pôurront être pré
sehiés, celte fois’ dès ‘les: débuts, ‘et
le budget suivra de près.
° - "Des memes
* OTTAWA. — L'hon, Ernest La-
Justice, cst
“pointe, ‘ministre de la
“parti pour Washington où il con-
salura avec les Etats-Unis, le traité
sujet . dés
s et des règle-
ut contrôlent ce
. ! H qu
Boissons alcooliques e
ments généraux q
commerce,
a
à .
4
par tête tan:
s les ses.
4
_- Cr,
Les Juifs entreprirent «de persé-
cuter Jësus, parce qu'il avait agi de
ë
5
- le Père, Tout ce que le père fail
- Pére ‘aime le ils et Jui montre tout
ee
HORARS ES DRE EN EENE
L'Evangile
Ch, Il, — Jésus affirnte ta divinité
de su missidn, .
…, (8: 3, \,, 16.47.)
Ja sorte'le jour du Sgabbat. leur
dits.
ns “Mon père ne" CSC d'agir (1),
j'agis de mème! .
| Lü-dessus. ils n'en chèrchérent
que davantage à le faire mourir,
non seulement parce qu'il violail
le-sabbat, mais surtout parce qu'il-
affirmait que Dieu était son Péres
se faisant-ainsi Pégal de Dieu.
. C'est pourquoi iésus poursuivit:
“En vérité, en vérité, je vous Île
dis:.le Füs, de lui-méme, ne peut
rien faire qu'il ne l'ail vu faire par
le Fils le fait parcillement, Car-le
ee A
ce qu'il fait, Et il Jui montrera des
oeuvres encore plus grandes, en
sorte que vous serez dans l'admira- |
tion. . -
“Ainsi que Le Père ressuscile les!
morts et leur, donne In vie; de mé
me le Fils donne la vie à qui ill
veut. ‘
“Pouttuit Le Pére ue juge pere:
sonne; mais a remis tout jugc-
ment au Fils afin que tous honoren:
le Fils, comme ils honorent le Pé-
re. Et celui qui n'honore point le
Fils, n'honçre point le Père, qui
Pa envovr.
“En vérilé, en vérité, je vous Îe
dis, qui écoute ma parole et croit
en Celui qui m'a envoré, possére lai
vie éternelle, Pour ui, il nv à
point de jugement: il est déjà pas-
sé de la mort à la vie,
“En vérité, en vérité, ie vous le
dis, l'heure arrive el déit mème
elle est venue, où les morts enlen-
dront la voix du Fils de Dieu, et
ceux qui l'auront entendue, vivront,
“Comme le Père a Ta vis eu lui-i
mème, ainsi ia dorné an Fils d'aci
voir Ja vie en lui-mème, Et il lui à
donné Ja puissance de juger, parce |
qu'il est le fils de l'Homme.
“Ne vous en élonnez pas: eur |
lheure vient où tous coux uni sont |
dans des sépuleres entendronl” 1x |
voix du Fils de Dicu. TE ceux qui
auront fait le bieu. en sortiront
pour ressusciter À a vie! Ceux, at
contraire, qui auront fait be mal,
ressusciteront pour dt damnalion,
“Foutefois, de moi-mème, je ne
puis vien faire, Selon aue Ÿen-
tends, je juge. ef mon iugement ei
juste, naree que ie ue cherche point
ma volonté, mais ta volonté de ee-
lui qui m'a envoyé.
“S'il n'y avait que moi pour r'en-
dre témoignure de moi-même,
mon témoignage ne scrail Das ir-
récusable, Mais il en est un autre
qui rend témoimase de moi, et je
sais que son témoienage est vrai.
Vous avez envavé vers Jenn, il a |
rendu témoignage à ln vérité. |
“Pour moi. je n'ai pas besoin du
témoignage d'un homme. Si j'en ui
parlé, c’est afin de vous sauver,
“jean était une lampe avdente l'eatholique;
et brillante, et un moment, vous!
avez voulu tressuillir à sa clarté.
“Quant à quoi, j'ai un témoipna-
ge supérieur à celui de Jeun. ce]
sont les oeuvres que le Père nra
donnè d'accomplir. Ces ocuvres
eee, anne
qué je fais, témoignent que Île Pè-
re m'a Chvoyé. '
“Le Père lui-même qui mi en-
voyé rend témoignage de moi. Vous
avez jumnis entendu sa voix ni
contemplé sa gloire, : Sa parole ne
demeurc'pas en Vous, puisque vous
ne crovez pas à Celui qu'il a en-
VOVÉ. .
“Scrutez les Ecritures où vous
pensez trouver”"la vie éternetir.
filles aussi rendent ténioignage de
moi, (2).
“Et vous de voulez pus venir à
moi, pour avoir la vie!... Ge n'est
point des hommes que je recois MA
uloire, Mais je vous connais, el Je
sais. que vous n'avez point Pamour
de Dieu en vous, de suis venu ait
nom de mon Pére, et vous me relc-
lez: Qu'un autre vienne en son prO+
pre nom, vous le recevrez,
“Cominenl pourriez-vous croire,
vous qui tirez voire gloire les uns
des autres et ne cherchez point la
gloire qui vient de Dieu seul?
“Ne Pensez pas que 66. Soil
moi qui vous .accuserai aupres du
Père. Votre accusatenr sera Moïse
lui-mème, en qui vous espérez. Si
vous croviez à Moïse, peut-être aus-
si crojriez-vous en moi, ear là
écrit de moi. Mais si vous ne
crovez point à ses écrits, coment
croirez-vous 4 mes paroles."
NOTES.
(1 Le septième jour, Djeu a ces-
Se de créer, mais if n'a jimais ces-
sé d'agir pour kr conservation des
préatures et le gouvernement dé
monde, Aussi, quand Jésus opère
une guérison le jour du Sabbat, il
ne fait qu'niter son Pére.
12) Ni le témoignage de Jean, ni
le témoignage des miracles, ni le
témoignage des Ecritures, ni mème
le témoignage du Père, né-peuvent
avoir raison de l'obstinaiion des
Juifs. ‘ .
Ses sauts 0 er LE red Peanraqene eng socmtpeten 08 ENS
Réponses aux questions
Réseau quan |
—
Est-ce que tous les romans d
‘Lola sont défendus?—
Tous les romans de Zola, excep- |
ie le Rève”, soht à Findex,
e ! TT
Estlil permis de wanger après
minuit avec l'avance ‘de l'heure ct
d'aller éommunicr Île lendemain
matin ?—
Oui.
Ya-til en Amérique ur mounsté-
re des Pères Croisiers?—
Oui, à Onamia, Minnesota,
L'on m'a dit que Mary ‘Pich{ord |
avait été mariée deux fois par un
prêtre et qu'elle est encore regsar-
céce comme une catholique prati-
quante et qu’elle a fait don d’une
grande somme. d'argent pour ob-
tenir ce privilège; est-ce vral?—
Mary Pickford n'a pas été mariée
à Douglas Fairbanks par un prêtre,
et elle n'est pas admise à la varti-
cipation aux sacrements de l'Eglise
le soit, ne pourrait _ certainement
pas Jui obtenir le privilège de re-
cevoir les sacrements tant qu'elle
se, prétend mariée à Ja suite d’un
divorce que PEglise ne reconnait
pas. 1
L'anémie et sa longue suite de malaises
ne résistent pas aux bons effets des
ê
/ “
Pour les Femmes
L ,
,
NUITS EF DST Ne
Ê:
cs
Mme d0S, MILLETTE,
46, Cooke, Trois-Rivières, P. Q.
“Tai pris des Pilules Rou-
ges.en différentes occasions
et chaque fois jen ai obtent
les meilleurs résultats. Tou-
jours elles ont refait mes for-
ces-épuisées par la maladie
ou les obligations de la vie
et je me suis convaincue
qu’une femme ne peut trou-
verde meilleur remède à l'ap-
proche d’une maternité ‘ou
dans les jours qui suivent”.
Mme Jos. Millette,46,Cooke,
“Trois-Rivières, PQ.
: Bien que jouissant d'un
assez joli embonpoint, je ie
setitais ‘sans force et j'étais
+rès pâle. Au moindre exer-
cice: j'étais épuisée et à bout
d'haleine, Ma:mère me fit
prendre des Pilules Rouges
st 5, + h
.
|
Pâles et Faibles
et cn quelques mois, avec ce
remède, j'ai refait mes forces
et ma santé”. - Mme O. Mar-
tel, 32, Robert, Artic, R. L
“Te me sentais sans force,
toujours fatiguée, même
après avoir dormi une bonne
nuit, et j'avais continuelle-
ment une doulenr de dos,
catre les épaules. Les Pilu-
les Rouges m'ayant été re-
commandées par une voisine
qui les avaient prises et m'en
ayant dit les bons ‘effets, je
les ai moi aussi employées.
Douze boîtes m'ont été sufi-
säntes pour accroître;ma vi-
gueur et me remettre coim-
plètement”. Mme Adélard
Lapoiute, Livermore Falls,
Me.
CONSULTATIONS
GRATUITES. Les méde-
cins de la Compagnie Chi-
mique Franco-Américaine
donnent des consnitations
gratuites à toutes les femmes
qui viennent les voir ou qui
leur écrivent. ; |
Les Pilules Rouges pour les Femmes
Pâles ét Faibles sont en vente chez tous
les marchands de remèdes et sont sans
contredit le remède le meilleur marché.
N'acceptez jamais de substitution ; Voyez.
à ce qu'on vaus donne lès véritables Pi.
lules Rouges de la Compagnié Chimique
Franco-Américaine. Si vous ne pouvez
vous les procurer dans vôtre localité,
écrivez-nous, nous vous les enverrons sur
réception du prix, 50 sous la boîte.
2 COMPAGNIE CHIMIQUE FRANCO-AMEHICAINE
limitée, 274, vue St-Denis, Hontrél
l'ourtant Pheure du Canada vien.|
Î
| DO.
su fortune, quelle «ul-
4
LS
LE PATRIO
DE L'OUEST, Mercredi 14 janvier 1929 | ; nn .
TE
— re
8
Ce qui fera ia prospérité de
| l'Ouest Le
‘
Voici quciques aperçus de M. Léo
Paul Desrosiers sur l'avenir écc
nomique de POuest qui sont -irés
encourageons: À | +
Les Canadiens irouvent quelque-
fois que la prospérité ne sourit pas
vite à Jour pays. Taxes lourdes,
esode de ia population, üdètle de
guerre trop élevéc, chemins de for!
en mauvaise posture financiére, t-
districts fertiles en blé trop éloi-!
gnés de four iwarehé, toutes ces cho-
Ses entravent le développement ë-
conomique et arrêtent l'élan des
énergies tendues vers Une exp
sion plus grande, Puis les diFfi-
rentes régions-ont des intérêts dif-
féreuts el le partieularisme fleurit
vartout comme ntux plus mauvaises
heures de notre histoire.
COOLIDGE ET LE, CANADA
dra. Tout véconméent le président
des Etats-Unis, M. Coolidge, le pré.
voyait dans un discours qui cut
beañcoup de retentissement: 0
temps.arrive à grands pas, disait |
il, où la vépublique américaine. se-
ra dans l'obligation d'importer des
quantités énormes de produits 1-
ericoles, Avant la guerre, ajoulait-
il elle était sur le point de se stil-
five à clleméème, comme l'Angle-f
ferre, Mais durant le grand con-
[it européen, le gouvernement a
stimulé artificictlement et tempo-
rairement Pagricullure, ct retardé,
pour queloues annécs, l'avènement
du nouvel état de choses. Mais bien-
x plus assez de blé ni assez d'ali-
ments, pour la nation, el alors ecl-
lecci devra se tourner vers des pavs
aericoles alin d'en obtenir la nour-
viture dont elle aura besoin.
STATISTIQUES PLEINES" |
D'ESPOIR
|
| tôt le fermier amérieain ne prodni-
Ces phrases contiennent pour le
Canada des mots d'espérance, Car
certaides statistiques indiquent
bien que. le président des Ptats-
Unis Lasail ses allégations sur des
faits. ‘Ainsi, entre 1900 et 1920, at
population urbaine s’est augmentée
de 24,000,000 dames chez nos voi-
sins, tuidis que la population ru-
‘rale augmentait à peine de 6,000,
En 1910, les fermiers for-
waient 43 pour cent de ta popula-
tion, et en 1920, cette proportion
l Sétuit élevée jusqu'à 51. Ces chif-
fres prouvent à eux seuls que lin-
dusfialisation de la république
voisine marche à pas de géants ct
que daus un avenir assCZ prochair:
pour que nous puissions y. comp
ler, les agriculleurs seront incapt<
bles de suffire aux besoins de fa
povulation urbaine démesurèment
augiuentée.
NOTRE GROS CLIENT
Si les Etats-Unis doivent un jour
s'approvisionner ailleurs, quel pars
sera aussi bien placé que le Canada
pour subvenir à leur voisins? Nos
exportations de produils agricoles
ise chitfrent déjà pour les six pre-
4iniers mois de l’année fiscale à
#195,000,000. cette année, malgrè
des désavantages évidents, ct nos
exportalions d'animaux à #70,000,-
D00, Mais ces stalistiques sont loin
de donner une idée juste des capa-
cités de notre pays, Lorsque nous
citons ainsi ies chiffres de ses ex-
portations, it faut soujours se sus
enir que GUOHLIDE acres de îe.
ses seulement sont cn culture loës
ue nous avoas dabs uos frontiéres
300,000,000 acres de terre arable.
C'est à peine si nous avons ulilisé
le cinquième de notre sol Dans
l’ouest seulement. veste environ
131,500,000 acres de terre excel-
lente, qui attendent le colon assez
hardi et assez entreprenant Des
explorateurs, durant ces dernières
nnnées, out étudié, par exemple, Le
distriet de la rivière de la Paix qui
Se trouve dans l'Alberta, et ils n'ont
pas craint de dire, après des obser-
‘ations minutieuses, que cette ré-
gion produirail autant de blé, à
olle geule, après la construction
d’un chemin de fer, que les trois
provinces.des Prairies en produi-
sent aujourd’hui,
La capacité du Canada à produi-
re des aliments se développera à
qnesure que la demande se fera sen-
Ur. Aujourd'hui elle est moins ac-
tive qu’en temps de guerre, ct lors-
que notre pays met sur le marché
international une de ses récoltes
monstres, comme celle de lPannée
passée, il fait tant fléchir les prix
que Pagriculture west plus rému-
uéralrice, Mais lindustrialisation
de la république voisine nous don-
nera les débouchés qui nous man-
quent actuellement. Elle stimule-
ra d'une manière indirecte te dé-
veloppement du Canada, Elle lui
fournira leg marchés rapprochés
qui ne nous manquent pas entière-
ment, c'est vrai, mais qui peuvent
absorber tout ce que nous pour-
rions. produire, ‘
Hi faut donc souligner ce messa-
“e encourageant du “résident Coo-
lidue et atigadre patiemment notre
heure,
D
Le cartel poursuit l’un
+
son contrat
| Bégina.— Pour ‘la première fois,
le cartel du blé intente nne nonr-
suite on dommages de 83%. contre
- [Léon Zurowski du district de Sou-
they, pour avoir vendu un char de
‘| blé en dehors du “pool”, à Ex com-
paznié Pionéer Elevator, Zurowzkil|'
È
avait signé: le contrat ducartel le
29 juin 1924, ét la transaction eut
lieu le ‘12 novembre
: L'accusé Allègue. pour défense que
3 fait. un, commerre illégal
nusquil d'a junais reçu de licence
lé cartel
:
dé‘li commission des grains du Ca-
nada: qu'on lui a fait signer 16 con-
trait sons de fausses représéntations
è
| . LE
|: : : CHEZ NOUS ET AILLEURS
généraux aux bureaux de Hi compa
gnie,.rue MeGill Î
lu fin‘de janvier, il assiséora avec
d'immigration et de colonisation que
nisation, et les premiers mipisires
grand nombre de iavailicurs, pos-E
om
de ses
membres pour avoir brisé
Done eme remet enr niente st mo end #
privé-
s $
AT l'E
Grande conférence de coloni-
sation à Winnipeg
Montréal. Le Dr. W. J Black,
Je nouveau directeur du hireau de
colonisation des chemins de fer na
tiopaux, vient d'établir ses quartiers
e .
M. Black, va prendre eh mans Eat
direction de jout ce qui Se "apporte
an développement de Ja colonisation
sur Les Mérrains que Ja compagnie
posséde Le long de sès lignes. À
M. Robb à la gruule conférence
tiendront à Winnipeg les compa-
gnies, de chunins de fer, le minis-
te de l'immigration ct de la colo-l
des trois provinces de F'Ouest. x
. Le EN a décidé de $e livrorcà 1
une campagne inténse, de colouisa-{t
tion, et d'amener au pays le plus |!
sible,
La récolte de 1924 : |
Winnipes — Le “Manitoba Érec
Press” vient de, publier un a)
f
!
donné 238,000. 1È
le scigle 11,-'|
276,544; le lin S.S90,622. I'É
fin ‘de Fannée $384,018,138,
de produits encure à écouler.
ns |
Le tabac est un germicide
Berliti— Le Dr George Wolff, à lalk
suite de diverses expériences an-if
once ‘que x fumée du tabac dé-
teuit les inicrobes où du moins, Îles
empéche de se développer, et que
ceux qui fument sont par consé-[f
quent moins exposés aux maladies
contagieuses. Vo K
men ©
.:
La Saskatchewan a le moins
de mortalités et arrive en
. second pour les naissances
Régina. Si lon en juge d'aprés
les chiffres, la Saskatchewan est lai}
province 1 plus saine du Cunada,
Le taux de la mortalité esi de 7.6
pa 1000, et c’est Le taux Ie plus bas
de tout le Canada. ‘
D'autre part la Saskatchewan oc-
pe le second rang parmi les jrovin-!]
ces pour da natalité qui est de 25.2
par 100% ,
Fraprés Le bureau fédéral des sta-
üstiques la population de la Saskat-
ehewan est de 814,000 âmes, dont
105,134 personnes dans les villes ré-
parties conne suit:
Moose Juw, 20,275: North PBattic-
ford, 4,414; Prince-Vibert, 8,125; À
Régina, 97,000; Saskatoon, 27,660; f
Sie Current, 3,780; Weyburn, 3,-
430.
A y n eu 20,933 naissances au
cours de J'année, 6,728 mortalités;
5,053 nrariages.
Là 1%:
Une famille épouvée
.#
Ydmonton.— La famille Dexter
À. Ross court vraiment de malhcur
en imatheur, : L'incendie de Pimmeu-
ble Syndicate vient de leur faire
perdre vrésgue tout leur, mobilier
et leurs effets personnels. La mè-
re de Mme Ross s’est sauvée tout!
juste avec les habits. qu'elle avait,
sur le dos Dans FPincendie de la
maison de rapport Montrose, il v a!
15 mois, leurs deux jeunes fils, Ar-|
thur et Neil, avaient péri dans Îles
flamimes. L à
LE
’ la Vues s \
Qu'est-ce qu’un porc à ba-'
con ?
Lu porc. à. bacon est Le résultat
des efforts que les éleveurs sc
sont imposés pour produire un ani-
mal dont la viande, après engrais-
sement, puisse dépondre aux exi-
uences du puÿlic consonnmaleur. |
Les ménagéres anglaises, bientôt
suivies en-cela par les ménagères
canadicnnés, voulaient avoir ‘qu
bacon plus maigre ét de bonne qua-
lité. . Cette : demande cst aujour-
d'hui généralé, et le bacon gros,
lourd ou grossier n’est plus appré-
cit. !
les salnisons cet lous ceux qui
s'occupent dabattre des porcs et de
distribuer deurs. produits, ont cons-
daté que Panimal qui fournit les
coupes demandées par le commer-
ce de détail et qui permet ainsi de
satisfaire aux exigences des ména-
gères, aussi bien au
l'étranger, est celui qui a Pépaule
légère, le côté long, le dos bien
garni de viaude, le rein.et la croupe ||
bombés, le jambon bien dévelop-
né et qui est d’un fini moven uni-
forme, Naturellement des £lc-
veurs de progrès se sont elforcés
de produire ce genre de pores èt
ils ont si bien réussi que le porc
à bacon anjourd’hui,. d'un ivoe
approuvé, fournit à peu près tout
ce aue le. marché: désire ct, c’est
aussi une machine à lard fort éco-
nomique. , -. 7,
1 est'essentiet que'les pores ca-
nadiens soient du type voulu pour
que leur viande puisse.
avantageusement Ja concurrence
qui Ani est faite sur les marcliés du
monde, Heureusement ce -type
fouruit aussi un nroduit idéol pour
le commerce de détail'dans les vil.
ec eanadicnnés, . Les “fèches”
Wiüältshires, qüe l’on'trouve dans Îles
nores À bacon, permettent de ven.
| dre à Pétranger au plus haut prix
Cf affirmant que les fermiers del du marché, tout le bacon ‘que nous
Ù \
5.4
6 ;
ex
* {fisante pour l’engruissement,
précieus® de Faninia |
que le pore à bacon ait une bonne
Ù louguçur de coûté
modele du WiHshire est de 36 pou-
ces à partir de a voupe
juéqu't
doi
me, une ligne -du dessous -droite
et dégasée,
sueur MOvenne!
creuséc,' le front farge, les orciles:
droites, assez peltiles, fermement
atinehées et ciliées de, poils fins.
Le cpu est bien musrelés sans
dance à araucr sur Lo. desstiét@ar-
dessous, près des bajobties, il doil
ètre désagt, pos lourd: ni reltom-|
bant:
liel que les épaules
peine à, t
compare de pris de da
cou jusqu'à la queue. à côtes bien:
ressorbies. tombant droit, dennanti
un côté lisse et
dant bien dans
dl, Comptes courants,
{
auartiers de derrière, Le “Tin” k no ee L :
‘oui mt 8 innertant as elairemont # Choix de terres en! prairies: etlfiE Soudage à l'électricité 4%
révélé par lal igne de dessus! Les.) en culture dans le district de. |h|k : dJ'acétyle QE
ores bien finis sont partout d'une KE Montmartie, AN etylène DE
larweur movenne. indiquant ni joue RE te TT - | à
rein profond ct plein et une crout- i MONTMARTRE, :- - SASK. li lE NOIBCRS D RULES LES
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1l Gradué de l'Université. Laval
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" #. … : par “The.Medical Council of, Canada” £ ï
Ÿ.Traitémérits par 1e Radium. Laboratoire de Rayon
$
EDMONTON
#0
ches de la Cathédrale éper-
1rs derniers sons,
hâtais, quand soudain je
t prés, une nude de moi-
péniaiont plus bruyam-
Les clo
lient Îet
Je me
vis Jà tout
neaux qui
nt que d'habitude.
MAIS, me dis-je; il fait grand
froid pour un marge... 3
Non! ce n’étiient pas des cris
veux : la‘bande ne-s'élevait pas,
is au contraite, volfigeait en se
nant vers le sol. Ma curiosité n°v
tint plus, ie ne précipitai vers le
point qui les uttirait tous, et jugez
Je mon horreur, quand jy vis’ un
Petit pierrot, tout ensänglanté, ex-
pirant sous les cous de becs de ses
fréres.
It ét
leur peut-être, D
-omme eux... ' de quoi donc s’é-
ait-il rendu coupable le vauvre
malheureux? -Sa gourmandise. lui
aurait-elle fait voler des miettes de
Î Mais non, ce serait in-
ait naurtant de 1nême cou-
,| quois, venaient
né pépiait-il pas
pain... L k
rraisemhlable de tuer pour si peu. .
pui sait? Peut-être aussi, (puis-
aur le sol L
pait-il de loin. ennfiant an'en ce
coin il iouirait d’une aussi sr'an-
de liberté que sons d'autres cieux,
auand cette bande haélile se run
qu Lui, en criant: “Halte-lh, tu n'es
nas des nôtres, à mort”! Et tous
d'en faire leur proic.
An! vonurquoi n’élaisie pas ar.
rivée plutôt nour le saisir, l'isoler
be coups et lui dire: “Courage pe-
tit poursnis ton envalée. Un ne
nlos loin tu trouveras les tiens, An-
valie ta compagne an nid que vous
batirez ensemble dés que .Pavril
chantera. Tmpläntelai en dénit
as nerséeutions que te. feront si-
hir des infatisables “chasseurs. car
les aubes dorées naissent! nour fai
comme pour env. Latin nt vint
Hélas! cos vilaine niovmpole, si în.
nerents, si innoffencifs. en nm
rpnon, avaient CoMMIS UN HSFHSST
nat ! . . ‘
Hv
Ces INOÏNCAUX. 0... +
ee “MADRINA.
4 ‘
1%:
La béatification des huit mar !
tyrs canadiens
On a annoncé il y a quelque
lemps, que la béatification des huit
iésuites canadiens martyrisés au’
début de la colonie aura lieu cette
année à Rome. .
Cette année amène le 275ème, an-
niversaire du martyre -des PP. de
Bréboeuf, Lalemant, Garnier ct
Chabanel. C’est en 1649 qu'ils
versèrent leur sang pour Île “Régne
du Christ”, dans Ia Nouvelle-Fran-
ce. D'autres les avaient précédés
dans cette voic royale: le F. Gou-
nil en 1642, le P, Jogues et Jean de
la Lande, en 1646, le LP. Daniel, en
1648, C’est ce triomphe qu’ils t-
à laient venus chercher sur notre sol.
* En débarquant, n’avaicent-ils. pas
offert leur vie âu Maitre de Ja
Moisson’? Le P, de Bréboeuf fait
méme voeu de ne jamais manquer à
la grâce du martyre. Les huit. fu-
lurs confesseurs de là foi manifes-
tent, dans leurs écrits et leurs pa-
roles, le mème héroïqie désir.
Leur espoir fut exaucé. Rarement
la rage sataniqüe fut. plus inventi-
ve de tourments ingénieux
venger les défaites partielles des
faux dieux, ridiculiser les dogmes
et les prutiques de PEglise. Par
la cruauté et l’originalité des tor-
ures qu'ils subirent, nos huit hé-
rauts du Christ ajoütèrent une pa-
eil brille nouf tous) ve-|
citer $, S, Pie XI de donner au pro-
cés de nos martyrs canadiens la
préséance sur d'autres causes? le
3 octobre le. “Devoir”: annonçait
que nos jésuites, Rrtsrs des Jro-
d'être proclamés
vénérables par les Pères Re Que
grégation Romaine, qui a statué dé-
finitivement sur l'héroicité de
leurs vertus. fl reste le deuxième
ste de Ja béatification qui préce-'
"a
NRIHEN
Le chancelier Marx, abandon:
ne la partie
> A ° |
Bertin.— Le chancelier Marx «
nerdu la partie contre Streséman,
le ministre des affaires étrangères.
Abrès cinq semaines d'efforts sté-
riles. devant lopposition des ‘na
tionalistes et du parti du peunle al-
lemand. il dut renoncër à former
un gouvernement assez fort vour
commander une majorité au Reichs-
lus,
LE LITE RIT TTL TUE meer semer eee eee ete
LES' NOUVELLES
* . CHEZ NOUS ET AILLEURS |
IN
de celui de la canonisation. Es-
bérons que le Coeur de Jésus don-
nera bientôt à l'Amérique Septen-
Wionale comme aux autres peuples,
des niodèles et des protecteurs, des
saints qui s’intéresseront tout spé-
cialement à nous. A Rome on hà-
{e le procès afin de faire coincider:
leur canonisation avec le 30 cente-
naire de Parrivéc. des Jésuites at
Canada lan prochain.
ue Re en Deere
+.
%.
FETE SET I
Me
Ld
L'armée rouge mobilise
! | Londres.— On ande dr Slock-
hoini que les Soviets ant décrété 11
mobilisation nartielle de l'armée
ronge, Cette décision est due, pa-
ait-il, aux inquiétudes que donne
aux autorités soviétiques In situn-
tion internationale actuelle, On au-
rait, phrait-il, Ronné l'ordre aux
industriels de commencer Ja fnbri-
“alion du matériel de guerre et, en
particulier, de gaz asphyxiants.
nn ue co den
jtait aventurée jusque là,
A ne
ST, Mes
4 janvier 1925
Une religieuse député au par.
lement de Hongrie
|
l
Ù
t
Washington. - Soeur Marguerite |
Slatchu; des Socurs du Service Su-.
cial du Budapest, Hongrie, est nc-
tuellément à Washington, où elle
est venue S'enquérir au suict d'une
conférence inlerparlementaire, à
hiquelle élle représenterait son par
ti politique, le parti Social CGhré-
tien. ,
Soeur Margmerite est la première
religieuse catholique à occuper un
siège à un parlement, Lors des
élections, elle défit trois candidats
masculins: Pun tail muinistre du
gouvernetiont au pouvoir, es detix
autres, des chefs poliliques, Hs
rinient de sa candiditure: on était
habituë à voir des prètres députés,
mais jamais une religieuse ne s'é-
Cepen-
dant la population si catholique de
la Hongrie ne s'en scandalisa point.
. Au contraire elle rallin tous les
suffrages, car Île programme du
parti que fonda Socur Marguerite,
pour combattre les Rouges, ctait de
mettre du chrislianisme dans le
gouvernement, Ancionne instifu-
trice, orfunisatrice d'oeuvre socia-
les, elle connaissait à fond la nsv-
cholagie de son neuple; aussi bien
sut-elle communiquer son enthou-
}
'
y : : et siasme aux femmes de sun Days, À
14: Les bol h Ju os qui elle s'adressuit avant tout. Les
. ‘ e i ouges lt menacèrent de faire feit
Propagande anslaise aux E. 5 Le C evistes font venir des) sir Fes assemblées qu'elle tenait:
tats-Unis avions rien. ne Farrèla,
à 1 ; 3 —— Le parti social chrétien, fondé
Londres. On apprend ici, que) anrès la ‘guèrre, de comnosait
Philadelphie. Sir G. Paishe vur-
hliciste ct éminent financier anglais
vient de parler d'une autre sucrre !
nrochaine, devant la Société Trans:
Atlantique. I] nrétend que. si la
le gouvernement des sovicts russes! d'hommes cet de femmes détermi- |]
a commandé à la maison Fohker, nés, Ù dut se contenter de pour-
cônstructeurs hollandais d'aérovla-| suivre son organisation dans l'om-
nes, cent avions de -combat® dont! bre.et le servet sous le résime rou-
PAngleterre fournira les moteurs.‘ ! se du président Karolvi,
nasion des indemnités reste telle CH .
Le st, ot si les Français n'é chevi
vacucnt Das la Rhénanie, une antre Propagande bolchevique chez
J'‘“‘uerre enronéenne est inévitable. les noirs
a des.sens qui ressemblent à?
À snuposer qu'on ne trouve pas au
nintôt nne solntion inste ot raison-
nable à ses difficultés financières,
In France continuera Foccupntion.
et l'Allemagne va essaver de la
mettre à, la norte, Cette fois, À
“An dire, PAllemagne s'alliers à 1
Ce
Parvis — Une délégation de noirs
(français) « recu de Moscou 100.-
000 roubles.or pour soutenir la lut-
fe politique et économique contre
les blancs,
Russie, et les deux rénnies étahli- ' . ht
ront le despotisme militaire en Eu- Une ligne aérienne de Paris à
rope, fr ‘ Berlin |
Ces déclarations et certains :an-
nels' aux Etats-Unis, “la seule na-
fon avec une politique de jnstice”,
ont un relent un peu fort de pro-
“nsande cn faveur de Ta Société des |
Nations, _:
Berlin.— On annonce qu'une cont-
vagnie allemande de navigation né-
tienne négocie actuellement à Pa-
ris avec une compagnie
, “ : & francaise en vue de la création d'un
Il est certain que le rapport Da-! service direct entre Berlin et Paris.
wes n’a pas tout réglé,
:
Mussolini revient à la maniè- |
Les pourparlers scraient déjà sur
le: point d'aboutir, et l'on compte à
Berlin. sur l'ouverture prochaine de
ectte ligne acrienne,
#:
i re forte A ,
L | … Le dôme‘de la cathédrale St
Rome, -—— Des troubles s'étant Paul menace ruine
pour:
produits ces derniers temns on di-
«vers endroits de l'Italie. Mussolini
a repris la manière forte en don-
nant de striètes instructions À tous
les préfets ‘de réprimer tous Jes
excès de quelques quartiers qu'ils
viennent,
Quarante-huit heures après ces
paroles que je dis, ie vous assure
.aue le calme sera revenu et que
l'air de Pltalie sera redevenu res-
pirable”,
Son ‘discours a élé haché d’ap-
nlaudissements il
paroles de nombreux
fe démolir
Londres.-- Le grand dôme de Ha
cathédrale St-Paul menace ruine,
Sa chute n’est pas imminente, croit-
on; mais elle aura lieu d'ici quel-
ques annges. si on ne le consolide-
pas au plutôt.
On ‘a déja dépensé des somme
considérables t
res des piliers qui se font de plus
en plus nombreuses, On suggère de
et d'en construire un
ACrIONNCl rosdect, et nttention.
$\Les orifices de Ja mine. d'où s'é-
\ remplir les fissu-}€
neuf: ce serait un reméde radical,
accentuait Ses] sculement il coûterait dans les 500.-
coups. de | 000 livres, nécessiterait des travaux
poing sur la tribune parleméntai-| d'une trentaine d’années, et l'on cst
re di premier ministre,
rs 3 . . » Ü
Et Pen-| d'avis de laisser l’entreprise aux gt-
thousiasme .a ëté porté à son pas! nérations futures.
roxveme quand, en terminant | Les piliers vides ont suffi jusqu'i-
il sléclara: “le gouvernement a ce) ei à supporter le poids immense du
Les com-
munistes occupèrent ensuite Le non-
voir, ct pour survivre, les chefs du
nouveau parti de mème que Socur
Marguerite el les antres relisionses
furent obligs de tronver de Pom
ploi.snr les fermes, Alt restaure lfiipres poste seule à rapporté | “Le feuneais et oune fansue indis-
tion. du gonvernement bougrois, le 07 181.78. !negenble. coneluent-ilé, cet maisons
an che sine Dhs EE En D ina
ant que ia: dt port ant Dar | MARIBNTUAT Sashe List | pratitone jan sont Vu |
RUE SOCUE MATEUCPC luteur, Leo Mavhood, a &té frappé Si des \nglo-eanadiens dant Ju
ot fourpit le nrésidtnt di nouveau
régime dans l'un de ses chofs Hus-
ga. Tout le pays vénère l'habil
sris de da relisionse el vent hom-
waue À son génie d'organisation,
à son courage, à son Glouneneg rf
par-dessus tout à Ja rectitnde de
son jngcment.
À La chambre. on l'éraute avor
Fe na dûiñ
présenté plusieurs bills surtout
pour Pamélinration de Es classe nn-
vrière, et elle an réussi à Jos frire
presser. Fe souleva une véri
table temmète en nronosant une
mesure aui maioraif Va fase cn Les
paris, aux conrsest elle Hint bon el
rempora ln victoire,
Soeur Marsurvile visiter quel.
nes smgisans de son ordre Aox
Etets-Unis çl'au Canada,
PRES EX SES
Une mine en feu
Rome.— Uh incendie s'est déclaré
dans wie inine de souffre de Trabia
happaient des icoulées “de flummes
h'euâtres, ont dû ètre obstruéës pour
étcindre lexfeu,
Durant ce travail plusieurs ou-
vriers ont säbi:un commencement
d'asphyxie” et: ont dû être éloignés.
ee it
LES NOUVELLES EN
QUELQUES LIGNES
ASSINILOTA, Sask.—Hilaire ar-
| .
{ drier, Jack Bruce, à 98 pivds sortis
“4e inédite et gloricuse au martyro-
loge, ri faut pont détruire l'opposi-‘
dôme; mais les excavations des der-| monie, 25 ans, avait altelé quatre
niéres années, le creusage des €-l’ehevaux sur une graincrie qu'il
une chemise noire ot di papier
d'emballage, L'enplové ramassa
le paquet et, de vemis au préposé
aux objets trouvés, qui l'ouvnt el
en informa aussitôt la police,
CALGARY. 2 HW, Wood, pré-
sident, du cartel, dé l'Alberta, dit
que des procédures seront prises
contre Les fermiers qui ont brisé
leur coritiat, To
Swan Hiver, Man,
Montgomery, âgée de i6 ans, a élé
luée, alors que son cavalivi W,
Wilson, lui expliquait le mécanis-
me d'une carabine 22, Une enghète
aura lieu pour découvrir bee a
cu meurtre où simplement heci-
dent, ane
Dorothée
:
emma monpaiene
0
os, = He i
SASKATOON, — Un ancien fer.
micr du distriet Hanley, Gec Law
son, 51 ans, « été blessé à mort
par un taureau Holstein qu'ilfceon-
4
duisait hors de l'étable. :
Winnipeg.—L'établissement Nor-
thern Shirt Faclorv, situé dans le
quartier résidentiel" de Gentrat
Park a été détruit par le feu. Portes
de 250,000,
manne
Le Pas, La mince Hex, l’une
des plus importantes dans le cant-
ton de mines d'or du tac aux her-
bes, a pris leu, Le moulin et Ia
bâtisse de pouvoir ont été détruits.
DRCMHELLER, Alla, Vers les
neuf heures Pin, on s'aperçeut que |
MW Irvine, assis avec d'autres dns |
grande salle de Phôtel White
House, ne prenait point part à ln
conversafions on s'approcha, il &-
tait mort d'une svneope, On ne
lui connait pus de parents,
SASRATOON, Les recettes du
bureau de poste de Saskatoon, du:
vant le mois de décembre, ont été
de tout près SA00, La vente des
de léthargie dans uve elhambre
d'hôtel à Regina, pendant les va
vances de Noël, Lorsqu'on le trou-
“va, on,le crovail morts mais lrans-
porté à l'hôpital, rest Incons-
cient encore une couple de juurs
A son révoil, il ne sut méme pus
reconnaitre son pére,
. REGINA. - Le systéme des trame
wavs de Régina montre pont Pan-
née écoulée un déficit de 523,000,
Cest S3,000 de moins qu'en 192
Du.
SPALDING, Sask, Lu pâté de
1iaisons, comprenant Un Magasin,
un bôtel, un restaurant et des rési:
dences, a été détruit par le feu le
14 janvier au malin,
LOREBURN. Sask, Le jeune
Wallace Bender, qui s'était gelé
si gravement dans uue partie de
chasse aux beleltes, il va frois se
maines, a dû être transporté à Phô-
pital où on lui a. aumpulé les deux
pieds, ün bras, et une partie de
Pautre nain,
Ottawa --.Le département des
douanes «à revu S2H, denis dans une
enveloppe avec indication que cel
urgent fait une restitution pour
fraudes cominises,
VANCOUVER:
Un seaphan-
|
Peau n été attaaué par un requin de
6 pieds de Jongi 1 est parvenu à
tuer le requin en le frappant avec
une barre de fer.
me es
; Itatic.
,coles secondaires el nine dus nos
ll
j
}
!
Î
|
|
Î
|
Î
i
[000 à 30,090, c'est-à-dire que pour
Le saint évèque de Québec, Mgr
Laval, écrivant au général de la
Compagnie, dit d'eux: ‘J'ai vu. ici
ct j'ai admiré lesttravaux de vos
Pères. Par leurs exemples ct la
sainteté de leur vie.... ils sônt la
bonne odeur ge Jésus-Christ, par-
tout où ils travaillent” : Son suc-
cesseur, Mgr de St-Valier, renchè-
rit encore: “Tl faut avouer que par-
ini ces Pères de la Nouvelle-France,
il y'a un certain air de sainteté si
sensible et si éclatant que je ne sais
s'il peut y avoir quelqué chose de
plus en aucun autre endroit du
monde où.la Compagnie de Jésus.
est établie.” Et la vénérable Mère
Marie de PIincarnation a laissé de
nombreux témoignages sur le ‘zèle
el les vertus de ces admirables ou:
vriers de lEvanzile, Dès lors na-
quit spontanément la. dévotion de
nos martyrs canadiens. Après Îles
demandes faites au Saint-Siège
pour la glorification” de ces huit
missionnaires martyrisés- en haine
de Ja foi: demandes faites par les
Pères du. 3e Concile piénièr dé Bnl-
timorc; en 1884. mar de 7e Concile
nrovincial de Quéher, la: Sarrée
Congrégation des - Rites décrétait
en 1916, l'introduction officielle de
l'eause ‘de nos martyrs canadiens,
Dans une lettre jécente! S: Em, le
cardinal Bégin a bien:voulu:solli-
‘
des portrai
tites annonces.
cessaire. ‘ c
. Les annonces dans
journal....Chaque courrie
souverainement efficace.
pète où aller pour se nourri
RU
le PATRIOTE, l'annonce est un revenu indisy
le” coût de ‘composition. et d'impression , du jour al.
, 4 h
. Tous ne peuvent: annoncer dans no
en encouragenñt nos annonceurs. E
_-les honorer de votre: clientèle, c'est men
annonceur. 11 est facile de dire:
. anüoñcé.” :
nalement le décidera.
où cette mentalité sera cré
pas ‘de’ l'avant.”
_ Es
|
|
|
Dans les journaux, it y a une partie consacr
consacrée à un autre genre. d'information non m
journal qui est simplement .et avant, tout une ex-
noie la direction, toujqurs nulle, et la nouvelle
ge de clichés d'églises et de “scènes. du dernier
ts de pieux et pacifiques abhés, le tou
Dans le journal d'idées, lannon
le PATRIOTE apportent.
r nous apporte le témoi
| -Nes annonceurs réguli
mi-les nôtres une clientèle fidèle et aussi satisfa
cieuse de -renscignernnts répondant à ses différe nts
r, se vêtir, se faire so igner,
Et si vatre fournisseur
blement pourquei il n’annonce. pas.
‘Encourager les annonceurs
ée définitivement chez fous nos lecteurs,
-praten” danois apprend que le mou-
tion Aventine”. ,
Plusieurs associations qui étaient | goûts modernes, les vibrations cuu-| qésirait transporter ailleurs.
bes
des .fovers ‘d’asitation’ ont été jm-|sées par un trafic de plus en plus! chevaux prennent. peur, et la bà-
considérable ont affaibli les bases| tisse en passant sur le dos d’'Har-
pitovablement dissoutes.
: a
Les bolchevistes veulent dé-
clancher le révolution géné
rale au printemps
Copenhague. — Le “Socialdemo-
vément général soviétique pour la
révolution mondiale s’est déclanché
à la suite de la décision du gouver-
nement de Moscou annoncée à la
réunion de Ja 3ème Internationale
de juillet 1924, d’'aurès laauelle, si
la révolution n'avait pas éclaté au
1er mars 1995, il supprinerait tous
les fonds de propagande et repren-*
drait les relations internationales
d'avant ‘1914.
Le mème journal apprend d'autre
part que la corruption en Russie
est telle’ que lorsque les commissai-
res voulurent emprisonner ‘Radek,
l'aceusant d'être un -agent anglais,
celui-ci répondit que des «mis é
trangers publieraient des révéla
tions autrement sensationnelles sur
le gouvernement soviétique, ct les
Soviets ne Pinquiètèrent plus.
CT
ée à la direcl
oïns nécessaire:
ouvent fausse ou
elle, » L
“meurtre”, de gros
ss nreà |
des bénéfices à.
gnäge que la publi
ite, L
besoins,
dispen sable qui aide d
tre journ al,
Encourager nos annonceurs
tionner Le nom, du jour
“J'ai vu votreannonce dans
n’annonce pas dans le
… Cette. question plusieu
en menti
nal.
.
°
k
ve”, acausé une grande
t encadré, enserré,
ce a sa place raisonna
ers de Prinee-Albert et d’
Pour le lecteur l’annonce es
Chaque semai
défendre ses intérêts,
ans une bonne mesure à défrayer
urs fois répétée 1 |
onner le nom du PATRIOTE: le jour
de l'édifice, et ont forcé les autori-! monie Jui brise les reins.
le! vivent, son père, sa mère ut rois
tés municipales à déclarer que
Lui sur-
dôme de la cathédrale St-Paul était! frères,
une construction dangereuse.
\ [
DE
‘Un monstre
\
‘ et
Berlin.— On a trouvé de la vian-
de humaine salée, et des membres
humains, dans la demeure dé Den-
ke, Passassin “en gros”, et la: poli-
ve est convaincue que le misérable
pratiquait Je cannibalisme depuis
des années, avant de se suicider dans
Sa prison, où
gë ,
. Gette affaire venant après celle
d'Haarmann, surnommé le “vampi-
É émotion
dans PAllemagne tout.entière, On
se plaint que la police Se mêle con-
tinucllement des affaires privées dés
sens, mais Jaisse des crimes mons-
trucux de ce genre 5€ perpétrer
pendant des années avant de mettre
la main sur les coupables.
On na trouvé sur -le misérable, a-
près son suicide, une paire de bre-
3 telles en, peau hunnine.
- 4 ie,
Pourquoi il y a des annonces
ciion et à J'information et une partie
ploitation financière, la réc
ANNONCE. Dans le grand
lame actapare fout et
colorée. C’est un dévergènda-
titres provocants à cheval sur:
étouffé par de grosses et pe-
blement limitée mais né-
l'annonceur, au lecteur ét au.
cité faite dans nos colonnes:est
ailleurs se sont créé par-
t une source pré-
ne son journal lui ré-
Pour votre journal,
#
mais tous sans exception peuvent nous aider
c'est d'abord s'adresser à ebx et.
quand vous achetez chez notre
‘mon journal; j'ai. vu tel article
“journal, demandez-lui done bién sim-.
soie
le fera réfléchir et fi-
le journal aura fait un grand ï
D
Re
il attendait d’être ju-
SASKATOON. —— Un enfant nou-
veau-né à été trouvé mort dans un
damwav. était enveloppé dans
penmnneseneanents
qe er cmt aq
ü
e © Ë
La dynastie la plus ancienne
du monde
Voici l'extrait d’uu bel article de
M. Jules Porion dans TAction Ca-
tholique qui met en vive lumicre le
fait de Pimmortalité de PEgliseé à
l’occasion de la réception officielle
du corps diplomatique à Paris et a
Berlin: DRE ‘
“C'est Mgr, Cerretti, nonce papal,
qui, à.ditre de doyen, présenta les
voeux.de ses collègues du corps di-
plomatique au président Dotmer-
gue....? |
‘“lous les chefs où chefs intéri-
maires des auissions diplomatiques
étrangères ont présenté leurs res-
pects au président (le président E-
fbert, de Berlin) par Ja voix de Mgr
Paccelli, nonce’ papal”: u
Voici ee que disaient les dépê-
ches, en parlant des souhaits -de
bonne année en hauts lieux. Nous
ne les avons pas toutes lues, mais
il est propable qu’en en parcourant
d'autres, nous aurions constaté que
dans presque toutes les grandes cu-
:pitales’ie nonce apostolique à par-
lé à titre de doyen-du corps diplo-
matique. .
Et pourtant, dans, la grande n-
jorilé des ens, le nonce, bien loin
d'être le doyen d'âge, prend plutôt
figure de Benjamin au milieu des
têtes chenues qui lentourent.
Mais si les nonces sont -relative-
ment jeunes, ils représentent une
“dynastie qui est la plus ancienne de
PEurope ct du monde, ,
. Si, lorsque le nonce parie du rof
son maître, il désigne le roi le plus
pauvre qui soit, il-parle en même
temps d'un roi dont les domaines
sont les plus anciens te PEuronc,
et dont le prestige efface celui des
conquérants les plus. frmeux,.
Quoiqu'il én soit, jé nonce de
Pape, l'ambassadeur d'un roi qui
n'est mème pis Pégal en. puiss
d'un président \
Epubliques de StMartin où d'Andor-
ve; Je représentant d'un Etat qui
;
m4
Eu lisant les Journaux :-:
A AR NEA
annee co
es, minuscules ré-!
QUEBEC, —- La 2ème session du
16ème parlement de Ouéhoe s'est
ouverte Je lendemain de l'Epiplhit-
uie.
ROME, —
ira emesgeme se
La Chaivbre italienne
S'est vuverte Inndi, Mussolini Aoit
urésenter une loi de réforme élec
orale qui suscite beaucoup. d'in-
térèt.
L
n'existe plus qu'en droil, est encore
le doyen du corps diplomatique à
Paris. Lt c'est conune tel qu'il à
adressé un discours officiel au
chef d'un gouvernement
profession de ne croire ni au
Pape, ni à l'Église, encore mois at
pouvoir temporel el aux veux de
qui il n'est logiquement rien.
E arrive de:ces, choses à un Her.
riot où à un Doumergite,
- Mais quoiqu'il arrive, il y aura
encore des nonces dovens di corps
diplomatique, à Paris où ailleurs,
longtemps aprés que !les Herriot
seront disparus et oubliés.
Les ministères, même maçons sont
caducs.
L'Eglise
éternelle.
\ des prouesses dé vie
Jules DORION,
1/Action Catholique
Le bilinguisme, richesse na-
| tionale
ù
L'entrée du, Canada dans le con-
cert des nations auf ou au moins
un résultat pratique: celui d'ouvrir
les veux. des Anglo-canadiens sur
Pimportance qu'occupe Hi langue
francaise dans Je monde.
Avant les pourparlers de Ver-
sailles et les assises d': la Société
des Nations, Les représentants du
Canada ne eongaissaicht d'autres
réunions de peuples que celles des
Conférences impériales, où: sen]
l'anglais était officiel. +
Depuis 1919, il ne s’est pas pas-
sé une seule annéc'sans que le Ca-
nada prenne part, à des conféren.
ces internationales, dont 11 langue
officielle est le franpais, langue de
la diplomatie. - .
Les représentants canadiens, qui
ignoraient le français ont trouvé
trés incormimodé: d'assister, pendant
des semaines entières sans vien V
mprendre, .k..des délibérations
d'une supréme importance, +
Pendant es longues” semaines
À qui précédérent Ja signature." du
À
qui Faitil
laité de Vérsailles, MM Foster :el
Siflun profilent de leur séjour à
Paris, pour apprendre, malgré leur
age avancé, be langue de la diplo-
C'est M, Grahuun, ministre des
Chemins de ler, qui déclare au re:
tour de l'assemblée de la. Société
des Nations, au cours de Pantone
de 1923, qu'un homme publie qui
est appelé à siéger dans les assem-
hlécs internationales, doit connai-
tre La linguce française,
HV a quelques mois seulement,
Sie John Wülison, ancien rédac-
teur du News” ot du “Globe de
Toronto, conmuniquait à la presse
mnadienne ees réflexions que lui
avait inspirées nn voyage anmtont
du monde. “Vous ne pouvez voya- |
ger à Lravers Le monde avec, une
seude langue, et je ne puis penser
à rien qui ferait davantuge, pour
Punification du Canada ct qui lui
donnerait davantage de Bi distine-
tion parmi les nalions que de ren-
dre obligntoire la Jangue francaise,
Je rendrais l'enseignement "obligne
toire, non seulement dns nos tuni-
versilés, mais encore dns os 6-
cvoles élémentaires."
Enfin, M. 0, D, Skelton, ancien
vrolesseur d'économie politique à
l'Université Queen et actuellenient
conseiller au bureau des affaires
étrangores, qui arrive de Génève,
un déclaré dans une eouseorie fuite
en notre villes "Le lait quete Cu-
id Î
nada est un pays bilingue el que
ces den laneues sont les dens lan
unes officiolles du bi Socièté dus
Nalions constitue vue magnifique
richesse, Si nous mettons à plein
vpotit cette CLRELTE FLE LCR ER Lo ‘te .
dence nous & donnée, nous bénéfi-
eisrons de plus en plus dans nos
relations avec les pays étrangers”
alle est lPopinion d'Andui-esne
nadions jntellivents, exempls de
nréjugfs, celnirés por nn contaet
de enelques vois ver trs persan
medlités njlitiques du monde entier,
Pinagnn matepoolfe st Panotaiss ons.
nent M ooeg ci honte fn nonnais.
darts de Ja loosaqe lonnenice, n'‘puf.
il pas naturel que les Cnnnedione.
frageais, dons nolare mare dit
Panneau meule habiter" Hennent à
'atre noprendre 7 lets enfants
Bou ape csntonpells 9 La con-
huve serait incompréhensible,
Chartes GAUTIER, (le Droit)
nm me anse M ones ee
Que Québec nous aide!
Les chiffres du dernier recense
went de 1921 démontrent que fes
Canadiens français du Manitoba
sont passés de SOU à 40000 en
dix ans, Le groupe francais le fa
Saskutéhewan, dans le mme spa
ce de temps, est passe de 23,000 à
42,000 ot colui de l'Albertt de 19
|
les trois provinces Ja population
cnnadicnne française a augmenté
de 40,000 en dix ans,
À ce propos, l'ictiot eaholique
écrit nn bel article pour reconr
imander que Je surplus de li po-
ipulalion de La provinee de Québec
soit divigé vers Dos Drovinees at
heu d'aller se déverser cux Btals-
Inis.
4
î
te
“Los CGanadieñs dans eus U'ois
provinces, remarque ce journal,
sont aujourd'hui beaucoup plus
oinbreux que vous ne Pétions t-
près lu conquête, el leur progres-
sion est constante et norniale Dans
une moyenne d'un peu plus de 20
ans, par leurs propres forces, is
doublent en nombre. S'ils savoul
se tenir debout conne ils le Fou
aelucllement avec vigueur el lack,
S'ils savent meintenir et forifier
selon Les besoins dt moment, Jours
organisations roligiouses et naltio-
nades, Pavenir pe leur donner pas
F'Ouest, mais ou moins une place
considérable ‘dans ces provinces,
“be ce cotè-ft, ln Providence
aidant comme elle Pa si géncrense-
ment fait par le passé, Pavernb est
done rassurant. ir
“Seulement, nous pourrions faire
notre part beatconp plus lg et
assurer bien plus vapidement fous
Suucés, Si, nous de PSE, notis étions
nousnièmes orsoniéts pour Jonr
Ü
donner une partie du surplus que
nous Htissoi
por.”
5 partis pour létran-
û
|
|
DE
LE
|
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FERM
Quand vous venez en vil-
le avec vos chevaux, si
| vous voulez trouver une |}
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0
Léopt à l'entendre.
mm me com
Léon Daudet orateur
Des applantlissements
l'orateur précédent, el
suiies
soudaie
tout vol sacendé et bruvatit s'infer
rompt, Les mains, conne des aile
murtes, cessent de battre et retour
bent le long des corps. Un gran
silence succède au fricas de tout,
l'heure. La foule, avide de imiett
voir, de mieux enténdre, s'inmols
lise. Daudet vient de partitée à
tribune, | j'
Sur celte tribune qui S'vanc:
trèle jetée au-dessus dit Pot um
les policiers du député rovaliste:f
sont éeartés, pour Hi faire pari
Quand Daudet parle, ir 14h faut ‘dl
chap, . le
Dans cette minute de silenc:
pleine d'un voluptueux enerveme
cette minute lourde de promesse
qui précède chaque discouts Pa
lcemblée ,contemple’"ectui qui va pat
ler, Elle lui est d'ailleurs familigr
cette Silhoniclle couîte, ramassée €.
dont Le geste, en dépit de l'embotr
voint a une promplitude fétine, Le,
lustres échairent d'unc lumière ent
le visage rude aux lignes essentie, |
les: deux traits pour les veux Celi
«ts sons Le poids d'un Front masst
un nez puissant que deux sillon
relient à da bouche cpaisse et ve
luntnire, | oi
Connne un marin sui Re passore
e, de regard perdu bers d'invisibie
horizons. Daudot se promène d
long en large sur sa tribune, 1e
eahne, parle posément ne fai
pus une barangue de réunion publi ”
que imhis une eouserie de sudlon 07
le contact s'établit ainsi contre Tui ei
ses auditeurs dont éhacun se cr
+
n
4
4
4
s
Majnlenant, son regard plong
dedans Passemblée, va d'un visag
à l'autre et son geste s'adresse à 16,
où tel qu'it ne distingue pourtar
point, ‘ ou
Son aelion s'est affemmie. HE fait
purtager à da loule ses irouies se:
inimiliès, D'un mot cruel, il stigméi,
lise l'incapacité dé sus adversaire.
politiques, it flétrit leurs opinions,
leur visage, four nom, Hi ahat se
etnonie quus de sainglintes dpithei
se; :
les et des jette à la meute peu’
qu'elle les dévores
Lu meule réagibelle bon molle"
ent à son gré, il Pexeile, la fou,
aille, H prend une phense qui ps
nait anodine au début, it la Hince, ji!
ln développe ol elle se déploic dan
Paie conne un jet de fouet pour ve
lomber en claquant aux orollles, E
il sc emnpe, In léte rejetée en arrit,
re en attendant la riposte, L
I s'est arrété, HN va donner sr
effort. La agrippé à deux nmiains 1
balusténde et sv anpuie de tout soi.
corps. Sie voix se Fait vibrante, for
imidable, Silôt sortie de sa bouche.
chaque parole s'ehfle comme un
voile où éclate aver uacbrnit de sa
ve, Sans transition, il basse de
doucour à Jo cojére et la foule qu
d'abord avait peiur à le suivre,
frciner eur sos sentiments pot al
er de liudigualion à l'enthousias
ue, de Ha haine à l'amour, vibr
maintenant au méme vétinne qu
Ini, lle est conauise, elle s'abatt
donne, elle est prétu à toul.: :
Alors H s'avrète un instant pou
savourer son triomphe, pour fe ou
suver, puis, d'un devnier coun d°
gosier, à courbe Passemblée à sr
pieds por teniours, EL quand ell
ke redrese, éolalant on applandis
Loments frénétiques, il a récont
vense d'un sourire comme on tape. |
le les naseau$ des fauves quand il
out bien travaillé, °
Jiumes de COQUET.
- : on
mnnnemdennne À VÈ4 à eme von sun
CE. . 0
Une épitre à Herriot
ren meer M
Un écrivain qui n'est pas ci
tholique, mais. qui veut être franc:
ndresse au chef des persécuteur
culte charmante cpilre,.,.. Ecou
tez bien: s i
“Ja daicité n'est
prétendst une sort@ de neutralit
du ponvoir civil à PFégurd de
religions ‘Fa licité, c'est le dog
ane de Plrréligion d'Etat. Ta bi,
eité, c'est Rx haine non pas à tou)
le religion tu lisses tranquille
le protestantisme et Le judafsmie
| parce qu'en France, ils ne sont qu.
[deux petites minorités mais
la religion catholique, ‘Ea laïfcit
c'est Poxpolsion du Crucilix 4
toutes les écoles, mème des école
où toutes les funilles, tous les er
fants, duus certaines régions de |
France, étaient crovants et prati
quants. C'est l'expulsion des ar
môpiers des navires de guerre, mi
ie quiutd des lrois-quarts de lé
quipage ôtaidht composés de my.
telots bretons pour qui la religio.
détail une source, de moralité et un
consolation dans les épreuves d
letir dure vie d’hothimes de mer; t
laicités c'est l'expulsion des Jésni
les, sous prétexte qu'ils sont'ulli
imoutains, alors que tu es. lallié -c
le protégé d'un piuti socialiste in
tepnational, ait twoins aussi intet :
halional que l'Ordre des “Jésuites
ti laïcité, c'est 16 choix entre ?.
dispersion où l'exil laissé à de:
Congrégalions de femmes et d'hon:
iwes doit be seul crime est de prie
et de se mortiflier pour coûx qu
les perstegulent. du soigner grafui
lement les maladies Les plus ve
pugnantes, de donner l'exemple d :
l'esprit de sacrifice à unc sociéi
qui, sauf à quelques heures d’ht
roïsne, verse dans le vlus immon
de motérialisme; ta laïcité, c'es
l'interdiction d'erseigneinent: infl.
gée à toutes les-Congrépations ent
scignantes v comoris Ces nâinir?
bles Frères de Jn Doctrine chirétier
ne connpe si Céinient autant d
bandes de malfñiteurs; tn lafoite
c'est ton Choutonps expufsant le
Clurisses d'Aleneoñi ce sont les ho
auuts hnti-catholiouces du petit Ha
maie qho tons plaré à la tête «
l'Université.” | ‘
mers natemennane ? PV ?
en
‘Combien coûte la Légion
d'honneur
Paris. Les membres de la Li
pion d'honneur, naminés où. proTnu
dans l'Ordte, auront désormais,
verser pour prix de leurs dégér
Hious avec cérin ".S R €
nrès: chevalier, 44 frs;
frs: . commandeur, S
grand-officier, 730 frs; grandiernis
958 rs, cime |
n . y :
CRT
as ce que tit
:
(ses et les écoles "chrétiennes,
portionnellement ‘4 nombre
SEE
nos douleurs actuelles, la ersécu-
tion qui s'annonce, Îés inquietudes !
qui nous tourmentents it dit Ja tier-
té ct In sérénité de nos aies 18SQ1f- ,
fées du Christ et qui viennent lui |le bolchevisme
demander Ja vertu de farce pour ki même cHUsé; LI Le
des Juites qui s'ébaucueni; prou-}ses au mieux, JOUS DC réussirions
pant les espérances de nos VOoCa- | ME reculer l'échéance de quelques
tions,_les besoins deïnotre jeties- :annecs., Si au contraire, on donné |
se ardente, les ‘nécessiés de nos sous de contiôte dit Douvoir civil."
familles, de la société" de la patrie, guand notre République aura enfin
il fit à Dicu Floifrande {otiue que une, tête les moyens aux écoles
tous” souscrivaient de nos persun- | chrétiennes de lutter à: armes 6ga-
nes el de nos vies. ° iles, à movens finaneiers CHAUX, =
É ivec les écoles libres pensenises Vous
Les transe
le était jolie comme un coeur,
ir.là, Elle portait }a vaporcu-
iette de tulle brodé que Lucien
pro-
de
u l'honneur est grand car Madame F. lun sanglot® Odette était-clle donc TT
1 évolue dans un cercle très distingué st mondaine qu'une invitaiion Com- CAN
L KL C
et fort. exclusif, Cest une belle me celle-là lui fasse perdre MR tète?
aubatne pour Lucien qui pourrait] “Non, non. ce n'est pas cela; é-
ise créer des relations précicuses coute!” Ht-la tète sur Fépaule de”
dans ce salon fréquenté par une son aimé, la jeune désolée fui ra-
société choisie, bien que riche, C'est conte ce qui s’est passé, la. visite.
donc tentant, mais si: inattendu,” : | de Berthe, la perfide interpréta-
Lucien explique. : L'autre ‘jour, {tion Quelle à opnÉe A elle
Madame est s ifance si naturelle, les doutes qu'elle
|Madame est venne au bureau dc; , rt il en
OR si . ; « ia semés, ct—hèlas! 1 faut Hien tout
soh mari, le prendre pour aller ‘3 VE en tou
he s ee : : dire, — Je trouble et les inquiétudes
chez des amis. * Monsieur venait de; qiné lesquels cctte histoire Pavait
constater qu'il ne pourrait s’absen- | hic eile, Odette ‘ ‘
er à ce moment à cause d'affaires | pu , .
BUREAU D'EMPLOI DU
à a '
Vial
rien pour arréter te socialisme et
ce sera cxaciement
en imetcanc ies cho-
inc tant; dans ses cheveux un ban-
denu d'argent; an corsage un frais
bouquet de myosotis. |
elic
, 1 Ainsi vêtue,
avait l'air d’une-ondine et ses i
évidemment très riche, .
Pauvre petite Odette! La nouvelle
Pavait fort tourmentéc, Etait-ce
possible? Lucien la trahissait déji!
Oht.mais c'est qu'elle ne se laisse-
sait pas voler son bonheur; elle
futtorait ferme et vaincrait sûre-
ment. Qui pouvait aimer Lucien
comme elle? Quelle femme sacrifice
rait ses goûts, ses rêves, Ses ambi-
tlons comme .clle J'avait fait avec
fant de joic... Au reste, les appae
rences sont souvent trompeuses, el
. Lucien, lui. m'avait jamais menti,
D'un mot, il expliquérait l'énigme
et l'incident serait clos par un bai:
ser tendre. Qui, il en serait ainsi
et elle était bien folle, Odeite, de
se préoccuper des histoires de cette
Berthe qui l'avait toujours enviéc
et qui jalousait sôn bonheur.
Pourtant, comment Lucien
grouvait-il dans ecte voiture? Qui
était sa compagne? Où allaient-its?
‘Les doutes revenaicnt, les inquiéiu-
des. renaissaiert, des pleurs ern-
| brumaient le clair azur des Yeux
doux. Que ferait Ja jeune femme?
Quelle atitude serait {a sienhe, au
retour, de son . mari? Saurait-elle
céler ses angoisses? bouderait-elle?
irait-elle droit au but en demandant
sention" : vue au Seigneur dont. les | toujours conduite par le même Pi- ROOn À < à N UE
cer explication? Oh! non, non, pas SSLQUS Dropagent l'amour. Puis il lote— quelle que-soit la personne du. a nus da gidii Sur cel piere et al ans de 6300 à 5400. de profit.par mille.” Là aussi it ny a que la
cela. ‘ Si Lucien n'était pas en fau- l'a désirée en hommage ñ PEglise, maine. qui le représente, — Jésus- li a donné une publicics qui met. font été trop Jonglembps les victimes. vaieur cash Qui SOIR Fixe, , Les pi ofits, CUX aussi peuvent varivé,
ais ibcest possible de prévoir ec Hs pot |
; |
te, il croirait que sa petite Odette
marpas confiance en lui, et ça le
ginerait. Si, uu contraire, l'af-
- freuse nouvelle était vraie, en hom-
me qu'il est, son mari toruverait
un moyen de dérouter ses soupçons
et de se montrer à elle blañe com-
me neige. -Berthe d'a bien dit...
voir! I lui semble qu'un seul re-
gard sur le, visage adoré ealmera
ses craintes où ‘confirinera son
» * tolic tite ariée: c'est EL: : sai : : s .
ppalions. jolie petite ae et di 15 à qui Phonneur et la joie.sont dus {lu doctrine de l'Eglise, c’est Ia pra! rare nn Ù . 1 . 5 gi l | 4 € \
seure d’être raisonnable et diplo- lon ce. moment, Voyant cette syn-!tiquer, Cest.Ju défendre. secress, Le directeur du journal dé- La F . _ Uilututions les plus solides que nous avions au Gartada.
mate pri ja fétiche conjugale est lihèse de leur. tâche, les missiannai- |. pe %e non CNIEUr a été arreié par les Or- ‘a France reste toujours la - a ti
plus difficile à défendre QU'A CON !res seront consolés de leurs Jabeurs- , dres dû gouvernement et on Pac- Lee » a
uérir: et c’est à vous qu'il appar- | passés el ils seront encouragés Montmartre, c'est le coeur de} eusc d'avoir publié un daeument nation missionnaire = Bantiste. NN ais ci «leulant i
tent de dissiper ce premier nuage |fevmider ce qui leur reste à aceome | Ja France de nature à nuire à fa sécurilé de Jcan-Bapiiste. Non, ais en le galculant il ne fault pus per-
et de faire qu'il ne s’en forme plus. | plir, 1 a désiré que: lexposition PEtat. ‘La-dessus.. des quotidiens |, pre de vue, Et protection accordée "par 4 coniagnie,
PE: ; à : . A . + A : ‘ on ii ne h sp pré mani « a aus * CUS cols + LonrTais , s s in
Cest. égal, Pheuré est bien lente À ait des sections scientifiques set lit- Paris, — La basilique du Sacré français sont à pou prés unanimes | Et le Jescph. Lun de ces soirs quand j'aurais Le Lemps, je fon
à passer, cle à tant de hâte de site [iéraires non seulement parce que la | Coeur de Montmartre élevée au len- | dénoncér Hérriot commis un a! que des religieux franenis (ou ca: terni cel | ve
Fu ferais bien de ne pas v passer rop de
malheur. Une demic heure encore | que les missions rapportent fous l'éc" rééonnaissante, -es .
dédie re ES GE e SE ! US k AUS ; -est devenne nn : +. CIRE sue nee el , ON CS À À
à douter, à souffrir, hélas! Et Dieu] les frrits oui doivent en résulter. l'es. Heux de lord les. -p % de Ja mesure d'amnislir promise 4 nuissionnaires de Ja Société, ; altentait, Ecris donc aux agcots de La Suivesarde et n attends as
sait s'il en passe des chimères en] Le Ssint Pére aanssi voukr celle! fréquentés, Paris, la provinrs jus. Cailaux. Les embarras financiers | /Aiavement les resultats oblenus plus longlenDer € est un risque que tu fais courir à tt famille, et
Î À ce n'est ni prudoul ni courageux. ° .
si petit intervalle, dans Vimagina-
tion d’une feppme inquiète! 4
Enfin, le-ronilement Ge, l'auto an-
nonce Parrivée du bich-aimé, OGdet-
&e s'examine une dernière fois dans
fa longue glace; il nv a pas à dire,
alle. est jolie à souhait. L'autre ne
reut pas être micux car, enfin, elle
m'aime pas. Lucien. aufant que Ca.
“Et puis, ce soir, la fièvre de son
‘fourment intime mét,des roses nou-
Lelles aux joues de. la petite amou- Pere a terminé en bénissant l'expo- perpétuelle a SES dévots et,schaquel les groupes d'extrène gauche, Te pour J'Éstréme-Orient. Hi pour-
reuse et fait briller'ses veux avec sition et tous Ceux qui y ont par- jo pPius où Moins NOMECUX, MON- fiasco du rapprochement uvee les lunut. des diffic Hés” Gnl DS uk
ASE CL Ê ‘ S es he le tent vers le sanctuaire. de Montmar- |! sovicis russes : unpet +: aout, des difficuites M'ONT DHS HE
plüs d'éclats. ticipe à un titre quelconque. tre des hommes, des ieunes dens soviets russes qui n'a SCT QU'A | que: la Ghiné est bouleversée par :
La porte s'ouvre et deux bras ca- Aceempagpé de tous les meme ts a pics, es Jeures gens Lactver a propagande" communis- {fi guerre civile et Je brigandage: ‘ ce, +7 | 1.
‘ ‘ ‘ k bres du Sacrée Collège et du corps l cvant le saint sacrement pas- [te en France. . À'au Japon et uu Thiber, les: Len LE ,
ben, Lex À
gessants enfarept La jeune, ferme
pendant que les baisers pleuvent
sur sou visage, SUI SUN COU, SUP SCS
cheveux. De petit noms tendres,
tons.plus fous les uns que les autres,
charment son oreille où lon a'versé
‘tout à Pheure, la perfidie du conte
insensé. Traitee, lui, Lucien? mais
. æ'est impossible. Comment avail-clie
» croire t-il à àâche iculière important avec ses
pu le croire® Peul-it ètre Biche et | Uculiérement ant tv sp unns ape} £ LoicE de #i n he - ue
Menteur avec des veux larges et | reproductions Qi “miniature des s'ouvre derrière le maitre-autel, des | Sisnificatits I totalité des *départs? de Ja gran- | Envoyez mandait-poste, nous n'expédions pas €.O.D.
ceux? Peut-it } principaux monuments, Un auire isénérations sont déi& venues prier. “jt Dieu! il faul que des é'ius de Société de lu rue du Bac. Gel _
francs comme
£somper quand.toute sa personne
ad
set
urgentes. De plus, il s’apercevait
qu'il avait oublié à la maison des
Papiers très importants, Lucien
s'offrit à aller les quérir; Madame
sourit, proposa de l’amener dans
sa voiture afin de gagner du temps.
Le chauffeur passerait la déposer!
chez les amis qui lattendaient, con-
duirait Lucien à la maison de K...
et le raménerait auprès de son pu-
troh, (C'était si simple que lPidée
ne pourrait venir de refuser,
Au cours du traget, Paimable fen-
me fit causer son Compagnon, äp-
prit son récent mariage. ct fit pro-
mettre au jeune imari-tout heureux,
de.lui présenter sa chérie dont elle
veut gagner lamitié L’invitation
était Ja conséquence de cette for-
iuite cotrevue, Lucien n'avait.rien
raconté à Odette afin de jouir de sa
surprise, Est-elle contente? Gela lui
plait-il?
Mais... pourquoi ces Huwmes”
Que signifient ces inpétueuses cit-
resses ct ces pardons bégavés dans
PR
Fa
_Le Pape visite l'Exposition
"Rome. —- En réponse au cardinal
Van Hossum, à l'inauguration de
lPexposition des missions, le Suint-
Dérer dit les raisons pour lesgucl
Les if avait voulu cette exposition,
La dit qu’elle a été faite d'abord
dont les inissions Ini permettent
d'être présente chez tous des peu-
ples, iLFa désirée pour Phonneur
dela propagation de la foi qui est
les yeux, l'esprit et le coeur de VE-
lise dans son travail de-mission.
Sa Sainteté a voulu cetle exposition
pour jes missionnaires cux-mêmes
fatigue et, le sacrifice sont neces-
suites, mais “aussi parce que Ta
seienrs estin fispensable si on veul
exposition pour que les catholiques
qui siennent à Rome pendant PAn-
née Sasnle-puissent voir en tn jas-
fant ve aue sont les missions, qu'is
4 intéressent et leur aident
Sa Sninteté-vout d'abord que Tex-
position soil une SOU cE dc nrières |
pour les missions parce qu elles
sont une oeuvre divine el que les
moyens humains ne sônt pas suffi-
sants pour les soutenir. Le Saint
distomatiaue, le pape à visité les
salles de l'exposition. Tous oût Cx-
primé leur admiration, parec quel
le dénasse tout ce à quoi on s'at-
tendnit. |
ontes is scctious. sont splendi-
des. Au point de vus religieux, le
pavilion de la Terre Sainte est par-
endroit imporlant est lacsalle des
nartvrs avec 50s nombreux mémoi-
pour de
[hôr
amour.
, Jucien se lève, end d
mains tremblantes Je joli visage de
sa femme et Jui dit grave |
chétie, je taime ct naimerai que
prend dans ses |
avement "Ma
toi: Le monde est bien méchant
petite femme, et le
très offnsque son égoisme
s colombes come toi, mu
bonheur des au
. Je l'en
prie, crois ton mari, d’abord; raie
iconfiance ç
n lui et que rien du de-
s ne vienne entamer notre cher
Tu as ma parole d’honnè-
le homme que tu es mon unique
tendresse, le seul but de mon tra-
vail et que:rien ne?
que a confiance, -
me crois-tu
D
Un long baiser
n'est précicux
M'añmes-tu, ct
plus passionné
| LES NOUVELLES
CHEZ NOUS ET AILLEURS
Dom org mn mm
cms
LD
LISTE,
mg QE
que tous ceux qu’ils avaient -échan-
vés jusqu'alors est.la réponse d’O-
dette qui retrouve son joyeux sau-
rire. . ;
Et depms ce temps, toutes Jes
Berthes de la terre n'ont pu faire
lever en elle un seul doute sur la
fidélité ot l'amour de son mari.
disions, durant Pété dernier, à en-
viron güuinée cents marins anglais,
réunis en cù méme lieu, en Natre
Tournez-les veux: voyez,
ja-haut, ecite, fresque qui représen-
présence.
Couur Sacré “c
hommes”, |
Et dans la basilique les théories
.Christ -Notre-Seigneur, Ie tout-pu
sant Verbe de. Dieu.”
Etre catholique, c'est s
vers-Rome, entendre la voix du Pa-
pr, at: lui obéir.
te la tempête en fuveur et les flots
qui menacent de submerger une bar-
j que Mais celle-ci ne s'enfonce. pus;
tcile résisle toujours ct elle est tou-
jours -victorieuse,; parce qu'elle et
is-
Al tourner
Etre: catholique,
évèques et s’y-conformer.
fholiques, c'est enfin sinspirer de
c'est aussi écouter les directives des
Etre ca-
demain de la guerre de 1870 par 11
France pénitente, achevée après la
grande guarrc récente par là Fran-
ranger, vicnnent sur. cette colline
de Montmartre implorer laide du
qui a tant aime des
d'hommes: de fenumes défilent cha-
{ que juur, à chaque fête solennelle,
pieuse procession d’'ûmes lidèles,4
Mais la nuit .qui tombe n'arrèle pas
le Alot des pèlerins.
L’adoration
sent en prières Ja nuit toute entiè-
re
- Les paroisses de Paris, les ocu-
vres d'honnnes, les ceuvres de jeu-
nes gens on! leur tour chacun et
aiusi touté l’année une garde fran-
La
“aise veille
cache,
le Dieu adorable "ct
Dans celle crvple del Montinurtre,
duns li chapelle de Ja Vierge qui
Et dans le grand mouvement qui
vers 1910 ,ct depuis ectte date ra
Et dans la basilique où jes cicr-!
ges irouaient de lumière 16 voit-
es envaties par Bi nuit, la lente
procession se déroula de tous ces
jeunes gens au-dessus des têtes dose
quels flotiaient les couleurs vives.
des drapeaux de leurs fédérations
lct de leurs cercles. Puis le salut
du Saint Sacrement fut donné, le
Cardinal Archevèque de Paris tra
ea sur cotte foule pieuse d'adoles-
cents le signe deJa bénédiction, Le
flat des dévots pélerins Fécoula,
tandis. que quelques-uns, délégués
de, leurs ecreles, demouraient jus-
qu'au matin en adoration, portant
au pied-de la croix les prières et les
offrandes: de toute une généreuse
icunesse, Fi
TS men
Ce qui se passe en France
Le chef du gouvernement fran-
eais, M. Herriot, sort à peine d’une
grave maladie diplomatique pour
tomber ‘dans une crise pofilique
dont les conséquences peuvent être
désasireuses, pour ‘lui, Son minis-
tre de la guerre, le général Nollet,
est un ahcien commandant de Pür-
mée d'occupation des rives du
Rhin. Or, dans un rapport écrit
à la veille de son entrée dans le ca-
binet du Bloc de Ganehe, le géné-
‘ral avertissait officiclienent le mu-
réchal Foch dés agissements smili
taires allemands. ncousant le 4ou-
vernement de Berlin de tobirer,
sino> d'encourager les afmements
défendus/par le traité de Versailles.
Un [tel document signé d'un tel
nom est qu Lémoigmage “cfatani ae
la justesse des vies hr etbinet
Poineura ot Ja fistifieation de Poc-
Un journal parisien, Eclair”,
Herriot et Nollet durs une triste
posture. En cffet, le cabinet He
riol ant répudié Ja politique ux-
térieure de Poinenré, on Hit dernan-
de coment il peut aujourd'hui
! concilier. ec Hichage après avoir
lui-méme avisé foen de 11 fourbhe-
rie bouche ct du danger qué cowpor-
faicnt pour la paix Jours armements
gresseur de En Tiborté de la presse,
Cet incident coïnciüe avec Je
craquement sionifientif de Lente Ïa
politique radicale: le demi-tchec
du gouvernement devaft les créar-
ciers de li France, découverte
des préparatifs de. PAllemagne en
vue d'une agression nouvelle, le
retour du gouvernement anglais à
une atiilude.plus Fferrae à l'égard
d'un cnneimi déloval, 13 puissante
organisation des’ catlioliques fran-
eais contre une segte ‘persécutrice,
une rupture du plus en plus mar-
quée entre de bloc ministériel ct
ER
eme à ee LEÉS lon nn
Gustave Hervé demande jus-
tice paur l’école catholique
Paris,— M Gustave Hervé, l'an-
cien révolulionnajre. se vapproehe
de plus eu plus des rathotiaues.
Voici de sa plume un article bien
aicnt l'intelligence de comprendre
et le courage de proclamer que Îles
cupation dekrRuhr. |
|
|
li
sociale dévastatriee où Ia bienfai-
sante et salutdre réaction, qui ren-
dva à la religion pourchassée ct per-
sécutée sa buwge
publique.
leurs élèves, tout ce qu'on fera à
}
|
|
Î
ive
ide refaire l'esprit et Pâme de” la
France nouvelle. on:
“IL faut être réactionnaire jusque-
à, en France, où périr. °
rrez comme elles auront vite fait
a
"Gens mariés
Célibataires
Demandez hr main‘d'oeuvre désirée, mentionnant le salaire
Faites application
due d'aprés vous mérite le travail,
à ci , : sale Ja. plus proche
“J1 fant choisir: ou, la révolution ale ap Û
place dans la Ré- “EDIFICE DU PARLEMENT,
ide
Le P.: Déncoeur parle à Lydn Se
bondée, 2,500 auditeurs sont venus
entendre le P, Doncocur.
1,000 personnes restées dans la rue, !
* désiraient voir le.P.
apparut-cpfin à da fenêtie ot fut:
chalonrensement acclamé C
mu, le Pére Doncocur lança quel-
ques
“Nous voulons I Hiberté par la
le droit commun”? Î
. La conférence fut un tiomphal |
succés, L'orateur fut présenté par:
jugérent bon de manifester leur op-;
position en csquissant une conire-:
inanifestalion. * ‘
ti
M, Jacquier, bâtonnicr de l'Ordre
des avocats: “Ce qie nous voulons,
dit-il, c'est fe seul droit à la liberté
pôÿr Îles Français”
jour suivant efui voté:
mes, après avoir entendu le-P. Don-
coeur proclamer le seul droit à In
liberté pour ‘tous les Français, les
sathotiques et jes religicux.…
me les autres renouvellent leur ré-'
solution de défendre jusqu'au bout :
ecttie'Hberté qu'ils
de la nature et
tolérer qu’on Y porte la moindre ai-
teiute, ct sont décidès 4 réchuner !
avec la derntére énergie que soient
La scrtic de Ja, salle se fit dans un!
ordre parfail. É
aux cris de: “Vive Doncocur!” dans
Fenthousiasme., |
nadions ou suisses romands), vienit
€
sès ‘daus son “poiple rendu”
n
ph les iiésionvaires francais-onl
été aussi satisfaisants, eu égard à
jeur'insuflisance en ressources ol
en personnel 7 7
population chrétienne qu'ils grou-
p
inissions, s'est accrue de
100: Je clergé indigène a gagné 49
u
“€
blenents de Lerre ont causé des dé-
Si
partout, c'est Hi crise du personnel
européen {
chère, conire des conditions éro-l
n
contre Je fatigue ef Tes vides du peret
sonnel.
n
Tvon— Dans ja salle Rinen, |
Plus de
ncocur, qui |
È
;
Trés €!
Î
paroles, vibrantes A dit:
) Ja Hi jus-:
cé, Ge quejnous voulons, c'est i
, Jeuën-Baplisie,
infaumations demandées que pour ni
, lu dans une conférence
L'ordré du
“2,590 hom-
qu'elles ne recevaient,
: Puy a ccpendant que
CON"
diminution où une
; “Lac T5 4150, assure le con
tiennent'de Dieu, : AN 50. assure le cet
e loi; de ne plus! : À
nt- | vingt'ans qui catle
! l pius considécables.
peut étre
solies les lois d'exception dant, ils |
LR
sant sur ce qu'ils onl cité par je ‘passé. si
retirit ju 1! 16 pass
Joseph. .Mais Pargent est-il sûr?
Ea foule” se ,
| j
- ‘ !
Comnté à Quimper, les sectaires
tées en fogee sans que Les
iaty a vien à ernindre pt tes
|
... Jean-Baptiste.
Lumps, parce que tu st
assurance, C'est ln
suraure, on ust toujours disposé
e publièr des statistiques curieu-
ni. ! LL
uel adressé ax évéques ct aux
Al, BONS AGENTS LOCUA
t
Au cours @u dernier exereicv, fn
de‘ leiirs evnires des,
ené autour
, y
pOur VONDA: SASE.
nilés et 24 jeunes missionnaires
sont embarqués, en deux départs |
Paris, — La Société des Missions (
rängbres de Paris, qui né groupe ;
s
du Bureau d'Emploi owéerivez
UX. DEMANDES"
| | : LA SAUVEGARDE
Pour infermations “adresser à |
._ Raymond Denis, agent général pour 'lOuest,
à
ront-être en se bi-
Love
à la succur-
| Bureau d'empioi du Canada
REGINA, SASK
n d'ouvre Com-
La seule Compagnie Canedienne-Française faisant de
| lassurance-vie au Canada
Bureäu chef, MONTREAL :
Buieau provincial pour PQuest, VONDA, Sask.
Tu ine demandais l'autre jour quels étaient les
profits payés aux assurés par les Compagnies d'assurances sur la
vie, ctje me suis procuré les chilfres, autant pour te donner {es
prôpre ‘satisfaction, J'ai
faite en 1915 à PÜniversité Laval que dans
le. système connu sous le nom d'assurance à vingt ans ofdinaire,
les comupagules donnaient ordinairement autour de $150, de plus
la valeur de réserve qui-soit fixe, les
profits peuvent varier, avec par exemple, une- diminution où une
augmentation des mortnités qui onirainent pir le fait mème une
augmentalion, des profits. : Mais ec chiffre de
férencier peut Gtre-pris pour tune moyenne,
Maintenant Las en déhors de cela Passuranre dotation “à
te plus cher, mais dans Jaquéllé-les- profils sont
. C'est ainsi que déenszcé dernier système Pon
raisonnablement certain de recevoir au boul de vingt
FA
|
dassuraueevie qui cut déjà Fail perüre- Pargent des .assures”?
Jéan-Baptiste, Aucune dont jaie cnicnqn parler. Jen est
qui sont dispiuies, qui sont tombées, mais leurs affaires ont tir
Lransférécs dans d'autres compagnies. el les” assurances sont res
assurés n'aient rien perdu. À ce sujel
tit des He
assurances vie SON parmi ls ins-
rriveras à disparalre avant d'avoir pris ton
avande prüudic des gens par rapport à Pas
Joseph. As-tu calculé quel tiux d'intérèt ce rois où quatre
cents piastres de profils par année peut-hien représenter?
b-
à allendre conune si la tort ellr
&
ù
istres indeseriptibles: aifleurs 01°
en “utte conkre la vie,
FOISSON BLANC
BROCHET: .:..
omiques paralvsanies, 61 Surtout i |
Cest La Fravce qui four:
il à l'heure actuelle, à elle seule, |
‘est pus à dire que cés chiffres)
POISSON - POISSU
: JOSEPH PIROT
N
... -,.... BC
En boîtes, F.0.B. Station de-Méota.
Ge
Domestiques |
CI
légage une telle impression de vec ROMOPS pos ere À : soient suffisants. pour toys les be.
droiture et de loyauté? Peut-il son | TES de iso TEE, ses reliques, j tie na l ëlile de Ja jeunesse de EF rab- [âmes des enfants à l'âge.de leur for- soins et surtout pour vetkper tou-
get à une autre femme ce. mari | el jcs LL ELU, Les UE oi catholique, tes guits dl o- | nation, ne peuvent pas plus se pas-| Les les places où les missionnaires COCHIN en fon, . SASK.
cui. dit de si jolis mots d'amour à u pommt de nent » OS UOFAIION 4 ALOREMAPITE GAL JOUE UR | ser de Ix nourtiture spirituelle quel étrangers se présentent aujour- GFPÉY' A, IT EU
son Odette? Elle était folle. vrai- | rollections _etnnologiques sont tes role important. Quelle émotion ne! sont pour celles les Lelisions que hni en gros bataillons. En TT AE ns
intéressantes. Elles conticpnent des | nous saisit pus alors quand, pour [leur corps ne peut sc passer mm mme ; ee ne _ en
l'igute:
“peu mystéricus, qué .queique
ament, d'avoir tant souffert: et coi-
.me- elle va le chérir pour expier
ses mauvaises pensées de Paprès-
midi!..
documents qui retracent it
ge dés diverses races humaines,
puis da barbarie
des
de-
livres rares Cl
zaine
rent prendre une nail
la
le passa! ja première fois, i} Y a une quin-
| Jin tie d'années une vinglaine de
à a période eivi ! polytechniciens en uniforme vin-
garde
soin maternel où du
dait
remplace. ET la
tuelle. c'est à Fécole, plus encore
‘Cependant, Berthe était bien sût- sé. IT ès Missions, Au pointt sainte, Leur geste simple, geste RTE que les enfants la ve. PT TT US
ves-de ‘ce qu'elle disait... Et le 1° SOS on ie von Je eu-t A BRESIL SIMPIC, SESTE ent CH n'y à pas d'école neu-|À, . ‘ - cs
ete ‘ec qu'elle disait Et le de vue médica., Le V4 les doeu-" naturel ‘de croyants. avait une haw Lire, va l'école libre Venseuse ‘où ‘ L ‘ |
“ cruel revient dans Pesprit
dé la ‘jeune femme, pendant que
sbn mari est allé s'habiller pour le
diner: Maintenant, que la ‘magic
de'ses caresses s'est un peu dissi-
pèe, il semble, qu'il avait Pair un
cho:
au fond
#e d’inaccoutuimé Juisait
ments démontrant les nrocédés mé-
dicaux pour soinner les maladiés
tropientes et les épidémies. ?
Les Etats-Unis sont représentés
dans plusieurs
missions. Elies Cx-
posent une reproduction de ‘la: sta-
lue du père Marquette. à Washing-
te signification dont
révélée féconde.
Defnièrement, fa basilique
a portéc s'est
ou-
vrait toutes grandes ses porles ct
laissait envalire sa grande nef par
plus ‘de douze cents jeunes gens,
étudiants français, étudiants eatho-
il v a L'école chrétienne.. La. pre-
ivre, quelle que soit fa valeur mo:
tres, fait des aigris, des révollés on
des jouisseurs, La seconde, méme
si tous Ceux qui en sortent ne sont
pas des prix de verlus, est seule ca-
"qu
qui ete
pourriture spiri-
rale et professionnelle de ses mai- |
TE
| , DU |
{ PRODUCTEUR
Lo De
Poisson
! DÉS LACS DU NORD
Loi A
onx brons ; nt : issi s (hi "epro- | ;: : 2 [bable de maintenir dans ce pars u-
des veux bruns. Mon Dieu! si c'é- lton., Une mission de Chine FeprO-L oues étrangers, "membres de R , Hi gir dans ce pays u
sait era ï un 6 it © ste complet. ° ATSEES), res QE OS he certaine Lenue + ini ‘
tit vrai... Var bonlieur, cette | duit un temple boudhiste ni ‘patronages qui répondaient à l’'ap- ASTTEN TART TNT NE ale, un mini- [pi È
à +
fois, la pauvretie Jia pas le temps
‘de ressasser ses idées troublantes,
Son mari a fait diligence; il est là,
‘JPous les visiteurs sont .enthou-
siustes de ec que l'exposition dcur
révèle, El reste’cncore 600 caisses
pel que leur avait adréssé la Direc-
Lion des oeuvres du. diocèse de Pa-
ris el Ja Fédération des Etudiants
de sociale ct un
certain niveau de natalité.
“see TE .
Si les élites sociales me s'orga-
pas du poisson qui a été gardé en entrepôt.
949 6 8€
bu cc AU: ? !
{ CONSOMMATE)
PR SR LS
ÜR
Notre poisson ést gaïanii frais et de prise récente. Ce n'esl
Nous l'expédions
“si beau!--qui Jui prend le bras | contenant! différentes collections | itholiques. i \hisent pus sur le ferraih politique . .
‘avec une folle affectation de eérè- | qui ne sont pas encore arrivées, “il fique A . pour. oblenir que les “eutholiques . par boites de | 00 Ibs ou 50 Is.
monic. Il la conduit conduit à sa | Plusieurs viennent du Japon ct die Le préditateur de circoustanee, | soient traités. cn matière scalaire. . ns crie | . Lt OUX .
“place auprés de la table gentiment l'Océanie. DES xt Beaupin, dans une méditation {au moins sur le même pied aue les : Toutes les variétés et tous les-assortimerits. :
servie où ils dineront seuls comme %: éloguute, prenne bralonde, pré | ets DensEUSs cl nué le budget N _ dB pi . Mot d 100 lbs
e vrais tourterenaux pour qui l’uni- . . HE âmes à I veillée d'adora- de Pinstruction publinue soit ré- TI 56 o River par ot .
vers ne compte n Us. ‘ C'est vrai Le Pape et la Jeunesse catho:| ion. 11 présenta au Sacré-Goeur parti enire Les écoles fibres CDS $ . Pres sont marques de 78 iver par 10 t 6 ne Se
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Aux hommes qui sentent leurs forces
frent de maux de
décroîfre È sou
” reins sont récomme anclée es les -
“Je souffrais de: maux de
reius depuis une eonpled'an- |
-ucesi j'avais aussi des dom
leurs de côtés, ua. digestion
-11 incommodäit et j jcmesen-
ais. fatigué tout ke jour; le
soir surtout j'étais. harassé.
Les Pilulés Moro me furent.
alors récommandées -par un
compagnon de trav ail et je
suis heureux de les avoir
employées, parce quelles
nront fait vigoureux, iort et
dispos cémime aux meilleurs
jours”. M. Pierre Moisan,
62, Front, Sherbrooke, P. Q.
di
| : “Les reins eñ bon état doi-
| vent clarifier le sang et lui.
.. Péruettrede porter dans tout.
Porganismsg ses: principes vi-
ES Gants: mais Jorsqu'ils sont
- faibles ot malades Jeur rôle.
est renversé; alorsiles dé- .
Justion ue sont plus rejetés s par. les urines
du sang (envalissent 168 tissus et font par-
Lt eus rava ges. Les n at ‘dé reins, de côtés, les dou-
leurs daus les £ rtienlagions, d ans: les épaules, les bras, les
Muscies iront. souvent pas d'autre. : Qrigine. . Les Pilules
Moro, qui font dit: £atig Houveati} préserve ent les: hotes.
de toutes ces: souffrances. ñ :
Les Pilules Moro sont ei ñte chez i tous es m réhañids ‘de rém des.
" ENVoyong aussi par, la ‘pgste, au Canada etaux Etats:Uais, eur réception ‘du prix
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Sk-Dénid, Montréal.
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| notre église paroissinle, Tous nos
“unis soi cordialement inviiés, Un
ragnilique prix sera dounë au plus,
Pur enchérisseur de fa veilléc..
;
lg La évérende Soeur. Vidlérié : St.
Jean supérioure provinciale des
tilles de la Croix. était de passage
au presb\iére-n semaine “dcr nière,.
M G. Thughian est: alé, vuir sa
Foy paré pour un voviage
d ‘ffaire à Monture à ol Maple
Creek: :
AT. el Yiue Léonard Johnson sont
allés passer les fêtes de Noël aux
N\ aisance,
M. et Mie Je D, Q. (uyer, une
Fille baptisée Gus les noms de Mn-
ric-Yveite Parrain et marraine,
M. ot Mme Ludger Douillard.
En janvier, niésse à Verw ‘ood,
‘Lous les dimanches à à 10,30 hrs Le
5 janvier, fête de PÉpiphanie, la
messe 4 élè dite à Quantock à 9
hrs ot à Jocville. à 11.30 hrs.
mariage — à là chapelle de Jocville
de M, J Lalonde et de Mlle
Berthe brérontaiis ‘ #
nn fe
PRUD'HOMME, Sask.
Assuréne nt,
s'tinuse fernie, Dimanche 4 janv.
nous assisiions à une séance vé-
créative donnée pr les amateurs
du villge, Le programme suivant
ut exteuté, avec entrain:
par Mie A. Préfontaine; Pierrot je
avandréeilalion par M. De Marge-
rie; Le bonnet de colon, récitation,
par Mile Unitiy Baril: L'été de In
St-Mariin, comélie en 1 acte: AM
Noël, Emile Préfontaine: Madame
Noël, Mad, KE, Préfontainc: Mme
EL “breton, servante, Mile Emitin LE \-
rils Les Sabots du Diable, en° 1}
croistdes, Le diable, Mie Ban (
che: Masson: Agnelette, Germaipe
Budoux: le petit Jésus; Mlle Loise
Lafrenière: Diunés Herman.
Mie Bernadette © Bari: Catuche,
| sien Les recettes scront cmplo-
"Éebrs. -
mère dangereusement malade:
Etats-Unis,
Messe,‘
1.0 7 janvier, à 8.30 hrs, mosse de
à Prud'hommé l'on
Les caprices de mon petit frère,
Brigneville, Armand Hoscheits M,
acte. Far scène se passe après les
Mie Augustine Maheux; Pagnerine,
|
Mile Lvène Baïils Magüclone, aille | 9,
Evelige Mahoix: Lucinelie, Mile |
Eva Painchaud: Quatre petits anges ji
FMIleS Marguerite et Géneviève Nor- |.
nfand, Marguerite Lecor, ot Rose-
Anna StPicrre,
* Grand'maman Fanchon -- chant
par Mlle Anteinette Blain. ,
(e) Canada {
té + 4 + nee — ,
MARCELIN,.Sask.
Te jo wi
ouf avions le jour des Rois au
CES
SRE ET
Une page
_Missidns des Prêtres de Ste-Marie dans. l'Alberta
(1904-1921)
SORSORT reflète Halkirk et Caslôr. Acecrois-
Le Père Leconte coustratgil sement continu du notifire des ea
lruisième église à onsort, pes tholiques: désir d’ avoit son église,
\iflage situé à environ soixante! Mais où attend que soil fixé le site
juillés Est.de ( Castor, dans un dis- Pins de In vilr. Conso su
licl très favorable à la culture du Ccnstuil à & milles Est. de Hfinai-
Di. . Oétait au iuois d'avril 1909: sau Connor. ‘Centre’: ‘conmnerciul,
die D. . Leconte alors résidant à Siet- il devient du ième cou éentre re.
ler avait appris de MM doséph livieux Commerce 0! religion, qui.
ot Donald eclie. nouvétlement ê-
bis dans ee district, qu'il v avai
Lt deux où trois fanglles “atho-
liques &t que Pendroil èfait pro-
piece au groupement des colons,
C tait à ceut-dix milles de Stet-
Lkller, cl cinquante milles de Linas-
“ville, le point exlréme de nos. mis-
sions d'alors,
Üue canmtpague d'exploration
cl
Ÿ Mais pour un Mmissionpaire dans
LR Ame conne Pébit le Père Lecon-
4
le, la distance compte peu. Muni
de aus les rénseignement HÉOoptit-
phiques ei cthnologiques, que pu-
rent fui procurer
Be, le D Laonie commenvait
éunpagne doxploralion,
Pasti de grand malin de chez
M. Jos, O' Lara à Lindsville, il ê tait
à uidi ju bureau de poste de Cas-
levville, Au- delà, les maisons étaient
rares, cspaucées {ous les six où litil
milles. De ef de à, des
campés sous la tente, A a tombée
le Ja nuit. if arrivait chez M Con-
aor, une bonne famille catholique.
réccHnent rencontrée à Stettior:
H'ävait irouvé Four inaiso1) SATIS dif-
Heulté, attendu quau-delà, n'y
avait plus ni colons ni iuaisons,
A, Connor Gtait justement parti
faire sés provi sions à la ville voi-
sine, e.-h-4, à pontdis milles. Par
.conire, “plusieurs dtrangers en quê-
te de terres avaient pris, gîte dans
celle maison ponr fa puit, Le fon!
demain, de Don Malin, “ils s'en-
foncaient dans I prairie inhabitée
à la recherche du “homesicud” de
leur rêve, pendant que fo Pére se:
prépa irait à célébrer Fa messe, Un
jeune alholique du voisinage. Pat,
Lee, composait loute Passistanee
‘avec Madame Connor: Le fendu |
main, guidé par un aulre colon,
A Gnilfoyle, le Père visita ce dise
triel vers lequel par fa suite dE.
riyon ses colons, ,
: Secontle visite en inars 1910, Get:
je 1OiS,
de poste du nom de Valljosun ma-
gusin ct une dizuine de nouvelles
familles, Les Leslie. Bibby. 0'Bon
nel, Dear Piece, MeDougal, Caro-
Jan. ele, ous Pexcellents rhrétiers
ut désireux de recevoir de tenips
en temps in visite du missionnaire,
1 fut cénven. que Hi: messe sernil
dite tous les deux pois, chez M.
Connor, place centrtle,
; Comment e.el religion
Un ‘an plus fard, fa inaison était,
devenue insuffisante et on passa au!
| « “Sanderville. Hall”. nouvellement
{|construit à deux imillés: sud ? de
{ Pemplacément ‘actaul "de Consort,
[Cependant LE
1 doux jours, de. voiture à Paller ‘et
autint. au ‘rélour: ayec le temps,
puesé Sur place ft fAtait compter
une semiAine € Pabsence. .,
De même que:les netites villes
de l'Ouest se ressetblent : toutes.
“de inême aussi nos missions ont"
sa |
|
|
| d'une mission dans PEst
colons ! Président de
Je'Père Dronvail un bureau”
Lournée supnosaÿt |
‘
VX n LES DOULEU à
quis ! Eo JUULEL Ë £
chine" off, Feb de ‘ NRA FT nn > 5% 7 | A
De ne DDS F' E COFES | “|
Ua ET UE GUi Lo ; # >;
. = œ 8
|. y Cssent en pre enant Ë 6 jours pour l'Angletereo via à
. 8 ÿ £ Fmeuth ‘ &
! e Composé Végél al de S ‘Si vous allez en Fr: ance, pre- 2
Dore Lydia Ë. ! Pialhen E NCz un bateau qui vous y: Ë.
& débarquera directement de È
5 to Fe "*
Pusilier, Saxk, —“Souvent, durant | Ë la passerelles vu NT qual È
deux où trois jours, j'avais tant de SE Lun uvre, À 3 hou. €
| douleurs dans le dos et les côtés ES seulement de Pas, | ‘5
a Que je -ne pouvais rien ‘faire—même . E Vrance, 4 fév, 28 fév. 11: È
. … D. E620P pas Me reposer paisiblement, et j'a. { =. Ut MT É
. u y NS à | vais aussi.mal À la tête, Cela que LE, Ds : og ‘os à
Pêr, frais ef: -Satistaisanct be € Vén des ER paquets a environ trois ans, mais ce fut | £ Pari 28 fun, 28 murs, 25 ET
pire après mon Mariage. Etant syr | £ Ë
9 si ; 6 sta ] LA =
d'aluminte in—Essayezele, e une ferme à 5 milles de la maison-kK = .Paqueboté à une classe Ë
ES . [ES plus proche, et personne pour me, | Sup, New-York—Havre-Paris à
ss useilers Mes garents vivant au LE La Savoie, 24 jan, : 25 fév. È
. , avt SEE : +. Ma bhella-soeur Œ* : oise
soir une partie de cartes tu profit instructive conférence sur “L'en-| du Composé Végétal de Tade T "5 HS. mit” IR fév 46 ni is, . È
de notre Association sportive, Ce séigtement Classique et la Supé- Pinkham et me dit de lesaref. i E° R y9- “ v. à
fui QU sUCCÈS come t toujours, StG0, ! riorité de lu Catture Latine”. J'ai: suivi son conseil et depuis, | Ë Suffrens 22 avril, "27 Qu à
pour nos ports ! LE iveutt Les Chevaliers de Colomb ‘del lui eu: “suis + reconnaissante, Après - 1 5 Rochamhenu, 17 juin,.16 juil. E
M. le qusique rot Se du ne DT | Gravelbourg ont offert ‘au. Collège avoir Fe le, remède trois mois, je. | = New-Y ork — Vigo, (Esp). à
lropolit: nes du ai u par le Na le don de 875.00 pour Pachat def puis dire qu'il m'a beaucoup soula- | À Bordeaux, Ë
York, oh! non nolehient Le SUN deux “Anges Adorateurs” pour la] gée, et je suis bien: Je suis fière | © La Rourdonnais, 9: fév, 23 É
clin. elle SO eve l'enth ut seat nouvelle chapelle de l'institution, le recommander le Composé Végé- Ë 2 MATS È
couitie d'habitude Mo ra tiasine LesAutorités nu Collège ont re- | tal aux autres, ef vous pouvez pue. | à Roussillon, 2 mars, 13 avril: Ë
une sf'habit de, D 1 eur node Len de M, l'abbé A. Murray, chan. | plier‘ mon témoignage, Mme He-"| 5 Chic si 17 re
lait, "Mon ieur D An us on eelier de larehevèché. de :Régina, | Jen Balanor, Fusilier, Saxk, Ë ienxo, nil" 17 soût ‘ Ë
de sa belle Vois Un muvou, Le don d'une magnifique collection |, Souvent une légère: indisposition |, = gi Ten Hieñ. “à
chant, ef Thérése MeLeod ne pe “le Cartes Murales et Tableaux LL | dérange tout le.système. Les sympe |! à d'E rie à fatifas È
tie de 8 ous déchnae De [lustrés des scènes les plus impor. | 06 tels que Ia nervosité, périp | Scrrone à Malfax Ë
Me à Ans. ROUS del RE | La ltuntes ct des lails- d'armes les plus | S douloureuses, irrégularité, maux | E Agents lneaux à P-Albert, È
I tre Quel naturel ? avec | héréiqnes de l'histoire du Canad de dos et de tête, sont l'indice de | & Gérant à
une distineli te te "ot d'ar | $ san, | È E
M eue CE larti- particulièrement de l'époque tran: { faiblesse féminine, . Ë W. A. FOURNIER £
culation parfaite, © Une scène co- aise, i Les femnies ainsi atteintes de- | Ë A8 rue Main : : Winuniper ©
mique. donnée: Dar M, Adrien Ane- AUX uénéreux bienfaiteurs men. vrajent -essayver le: omposé Végétal Ê ‘ tenu RIDER &
til el accompagnée par Moutsientr tionnés” dans” celle chronique, le | 4e Tdia E "Piukham, qui en à &ou- En NE
Carson amusa tout le monde. C'é.
il de Pimprovisation. Done ne
‘demandez pas an clroniqueurs 4e
vous analyser le sujet, :
À a fin Monsieur le Maire re.
Merci tout fe monde pour le dé-
Vouement et la générosité montrés
en celle cirronitance, il n ‘oublia
qu'un keul dévoüement, le sion,
heureusement qu'il fut releve par
notre Curé, Monsieur, Colleayx
fut l'encantenr comme toujours,
C'est ant professionnel. Midanre
Collcaux donna un superbe chan.
dail. qui fut gagné par Monsienr
Napoléon Be; iine, le chancogx tit
Baptème: Jean” Joseph Leur.
rent fils de. Be uiamiir Chénier, jr.,
à de BlanchesAlice Éhartrand,
Pans les honneurs! les orand’ pa
ent malernelst LAS Chartranel
Aléxin Legault,
eee Ed DER
GRAVELBOURG, Sask.
CHRONIQUE DU
ef
DU COLLEGE
À Poceasion de ET Visite au Col.
le, So (Gi Monseigneur LIL Peur
dhonune ñ donné aux élôves, en
présenr e de Tours professerrs, une
.
D names ee me me pe Lt
d'Histoire
on LU ps normal ont-Pun pour Pau-
ire peu affinité, semblent s'être
rapprachés à Consort,: approrhe-
ent heureusement el uniquement
extéricur, Au roz-(le-r Paussée, © est
ke négoce. et de te vre à Lerpe des ini
térèts te mporelss à Pétage sn périeur
c'est le spirituel et ses envolées su-
blinies: religion el commerce a-
brités sous" le même fôit se pré.
tant pour une lois un gracieux eon-
cours, 1
mme
L'éalise St André
!
|
Donc, la question d'une. | éutise
devenait de plus ‘en plus urgente.
les Messieurs Loes- Monseigneur achels bien six Jols de
terrain, Hier les gens oùt gti éprot-
vês var bi sécheresse “el li gelée.
Que faire ? Par bonheuf, en jan-
viev-19{4, Le {Leconte est'chargé |
Lei pro-
fite pour visiler, à son passage à
Pore Burke, alors
Fa “Church Esten-
sion”, le bicfaiteur de son église
, falkirk. Saas doute le’ mission-
Luuire était doublé d'un excellent di-
vlom: fe, et d'un avocat persuusif,
car, “quelques sumaints Après s0n
rütour dass l'Ouest, Le RP. Burke |
lui transmetait tn chèque de KA. |
pour l'érection dé Péglise, de Con.
sort, qui devait porter {e-hom du
St André, On devine que le P,
Leconte ñe perdit pas de’ temps.’ 1!
Visite chaque famille catholique et
| bientôt I a ep main une somme de
1S1100,00, suffisante pour la cons.
truction de l'exléricur de église,
Les senmuilles “achevée,
vinrent-creuser fa cave Maire les
fondalions, M. dos. L eslie fut Pen-
trepreñour, el, ou mois betobre,
Toronto, le Rev,
l
A
les gens |
lagé des milliers d'autres Vaus.
personnel du Collège présente ses
Douvez donc compter qu'il vous sou
sincèr es lemercicments.
. v , Tott Û
Comme‘par les années passées, nt De rome Votre Pharmacien
les professeurs du collège ont tous !
té aider les Curés des pa | eee
roisses avoisinantes dans les trie En bo
Vaux (ministère à l'époque de nne santé et fort main
Noël et des. fûtes, tenant
Depuis le rècout agr uni ssement
au Collège, des chatibres spaciotr-
ses ét confortables sont à fa dis
PT y a six aps mar sanlé était us
un tel état qu' n'était imposible
position dés Membres du Clopué del du travailler", écrit M, Kit Klatt
passage, ayelbours ÉHTTN que Se. de Strasbourg, Sask. “J'avais .
lomais, les directeurs der Coltège dépensé bonncoup d’ argent en doc:
teurs mais its ne savaient pas quel,
était: mon mal. de me se ntais lati
:aué et faible el min force avait dise
paru. Je" me, suis procuré une
bouteille de Novoro du Dr: Pivrre
et continuni l'emploi de ce remé:
de, “fe suis maintenant Un autre
homme, en boutic gninté ot fort.”
Chaque bouteille de ectte médecine
végétale bien connue contient dé a
santé et de In force Ce n'ést pas
un article de commeree, il'est di.
reetement lourni pur fe faboratoire
du De Peter Fahenex : and Suns Co
Chicago, VIE
Livré to exe pl de don
eur souhaitent à tous lt plus cor-
didle bienveruu,
LC: een
LAFLECHE, Sask.
1.” Assemblée annuel des QUE
Wihuables du Pécole séparée “Mure
thien” à eu Heu le F de ce mois.
Les religiouses qui dirigent cet
école ant été vivement féticitées
vour le bon enseignement qu'uttes
donnent aus enfants,
M Henri Regimbal sèté din com
uissaire en renphaceent do M,
X. Boilenu, démissionnaire et M
au} Bourx en place de M, Alph,
Beautien sortant de charge, Avec
M, ont la commission sco-
aire de Lafléche sera encore cel.
le année composée de bons ot dé
vaucs" patrioles @t nul doute qu'ils
sauront faire du bon travail.
L'élection des marguilliers de la
paroisse a eu lieu le jour des Rois
et MAL T0, Neil et Ernest Cotpron
sortant de eharge ont êlé réèlus par
acelamalion.
LION Cnnacta, |
COLLEGE D'EDMONTON
dirigé per V8
Pères Jésuites
et agrégé'& l'Université Laval
JOURS CLASSIQUE bilingue, à ba.
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“grés de bachelier et donnant ec.
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M.T.C. Davis, avocat
de ‘Prince-Albert,
annoncer qu'il a ouvert
cours Classique et Commercial,
Adrosse: Rév. Père RECTEUR
Collèes des Jésuites,
Edmonton a Alta.
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— La journée du “Patriote” à
Montmartre eut lieu le 4 janvier:
elle a remporté un: vif succés ct se
termina par uhe belle -soirée de
cartes au soubissement de Péglise,
La fête éluit organisée par Îc co-
niité de LA C, É. GC sous la direc-
Hon de M..labbe Arès. ;
Un magnifique programme, de
chant et musique a aussi éfé exé-
cutë avec SuCeLs: et vers la fin de
la soirée, M. l'abbé Arès'en des
phrases -souvent couvertes d’an-
plaudissements, parla à“Pauditoi.
re de l'oeuvre de la Bonne Presse,
Les prix pour les cartes furent
donnés par Mlle Mix Goupat. Mme
Jos, Charretier, M, Lud. Lévesque,
Rév. A. Thériault, et A. T. Breton,
Les tirages des divers objets étaient
en charge du Comité avec laide
de MBes Ecarnot, L, Faubert, 1. La-
voie,
Le prix d’uñ abonnement à vie au
“Patrioté” a été gagné par M. Em,
Breton. M. AT. Breton qui diri-
gea cette soirée avec tout le tact
qu'on lui connait remercia: l'audi-
toire et termina par Île chant de.
#0 Canada” cette belle soirée dont
les recettes dépassent de beaucoup
$200, et démontre que Montmartre | &
figurera avec honneur dans l’oeu-
vre de la Bonne Presse,
M. P, Sauvé a été élu à l’unan-
|
|
nimité syndie de Ia, paroisse en
remplacement de M E.. Coupal sor-
tant de charge.
De passage:
M. Jules
Man, en. voyage d'affaires chez M.
AT, Breton
Mr. Potvin de Ponteix chez
son frère, M, P. Potvin.
—-Le train du Can, Nat, allant à
Pouest passe maintenant à 8hrs du
matin au lieu de 9 hrs,
—À l'assemblée annuelle des con-
tribuables de. PEcole, M.-J, Bte Fer-
raton a été élu Commissaire d'Eco-
ie pour lc district de Montmartre
‘en remplacement de M. Wii, Cou-
pal dont le terme était expiré,
À la mème assemblée les contri-
buables passèrent une résolution
nommant le Rév. A. Thériault, A-
T. Breton et A. J. Boyer, comme
comité de vigilance pour voir à
l’enscignement du français à Pé-
cole. L'assemblée a aussi APprou-
vé. l'envoi d'un délégué à Ja con-
vention,
— Un joli mariage a été célébré
le 7 courant: M. Thomas Rivard
conduisait à lautel Mlle Yvonne
Beaulieu, fille de M, Ernest'Beau-
lieu, La bénédiction nuptiale a été
donnée pas M. le Curé Thériault
en présence d” une foule de parents
et amis, Le choeur de chant a aus-
si exécuté avec succès des canti-
ques appropriés, Mile L. Baudin
avait charge de la partie musicale.
M. Ernest Beaulieu et Jos. Duhamel
agissaient_comine fémoins, Après
un déjeuner servi chez de pére de
la mariée et le souper chez M. Jos. !
Duhamel, les heureux époux sont
partis pour un voyage avec sont |
moilleurs vocux de bonheur, A!
leur retour, ils résideront à Mont- |
“marire.
d
BB ————
ST-VICTOR, Sask. |
La belle fête de Noël a été cèlé- |
brée avec une grande solennité à
Saint-Victor, Les paroissiens sé-:
taient donné la main pour décorer
l'église avec goût, T1 y a eu plus de
cent vingt cinq comimunions, Voi- }
à un beau geste qui réjouit Île
coeur de Dieu et honore les parois-
siens. Les Dames de Ste-Anne et
la Ligue du Sacré-Coeur ont donné
un bel exemple d'unité.
Nos beaux cantiques tradition-}
nels furent très bien chantés, par
le choeur de chant: M. Ile direc-!
teur, M. Beauvilliers et tous les
membres méritent des remcreic-
ments et des félicitations.
—Nous sommes heureux d’ageueil- |‘
he parmi nous, M. Liguori Pépin,
qui vient ‘de prendre dir ection de |
lPécolc Montagne Lake, “M. Pépin
est originaire de St-Wenceslas (Ni-
colet)}; il a fait ses études classi:!
ques au Séminaire de Nicolct et
ses études pédagogiques à l'Ecole
normale de Montréal, De plus,
nous venons d'apprendre que le
Département d'Education va lui ac-
corder: incessamment son diplome
permanent, Nos plus sincères fèti.|
citations et nos meilleurs voeux de
succès à ce jeune instituteur _dé-}
voué.
Naissanece:— Le 30 novembre ce, xl
et Mme Paul Campagne, une fille!
baptisée sous les prenoms de Ma-
rié Viola: Le parrain et là mar-
raine ont été M, Pierre Campagne
et Mie Bart de France, représen-
tés par M, Lionel et Mlle Béatrice
Bélisle, de Saint-Victor.
- Mariage:— Mercrédi dernier, le!
janvier, \L Dosithée Lalonde, N.
P. conduisait à l'autel Mie Bertha
Préfontaine, de Jocville. Nous of-
frons, aux uouvenux époux nos
| voéux de bonheur,
COURVAi, Sask.
;
Depuis les premiers jours de cé- |
cembre Îes tempêtes se succédent !
ici, Le froid ele vent sont inten-
ses. Les cérémonies de Noël à
4St-Charles n’ont pas. été cette. an-
uée aussi solennelles que pur le
passé vu que Péglise n'est pas ter-
minée, mais il n'en n’est pas moins
vrai qu'elles avaient pour tous les
assistants un câchet particulier de
piété et de recucillement, M. Pab-
bé Thibeault officia.
-M, Gérard Béauregard, étèr à du
collège de Gravethourg et M. kuu-
de Pépin, de Moose. Jaw ont DE |
les vacances dans Jeurs familles,
leur famille pour la vacance,
Mile À, Bélanger, notre ins-
titutrice est partie pour. Lévis où!
elle Li jSCrA Ses vacances, -
M, Alfred Ke Hilaire est à Vic-
.Qué.. depuis. ‘quelques
jours, en visite chez sa mère,
— M Wilbrod TFremblav
‘ou-
PT, S : Fo
Les Centr tres Franco Canadier ens
SERVICE Soecrat: pu PAÏRIOTE DE L'OUEST
K Frass et Louis Duhamel. |
Deschène, de Dunrea,|
| triste occasion,
ichez leur père M. Emile Richard.
RS
FE.
WILLOW BUNCH à. Bret,
Mariayès : k
Le 30- déc. sunissaient dans les
iéns sacrés du mariage, ‘M. Wilfrid
Audeite d’Assiniboin-avec Mlle Al-
bertine Roy de Willow Bünch et
M. Albert Desautels avec Mlle Ber-
tha-Ayotte, tous ‘doux de” celte pa-
roisse,
Naissances
3 janvier, M et Me J, Duper-
reauit, un fils, leur 1%émc enfant,
“baptisé s sous Jes noms de Joseph-
Maurice, Maveel. Parrain et mar-
raine: M. et Mme E. Boucher.
G janvier. Soirée du ‘“Patrivte”
M le Curé de Willow Bunch, sa-
tisfait du résultat déjà obtenu le
8 déc. mais désirant faire encore
plus pour aider le “Patriote” or-
ganisa une autre soiréc Île jour des
Rois. Malgré l’inglémence de la
tempéri iture, la salle était pleine.
Les paroissiens de ‘Willow Bunch
par leur assistance et leur généreu-
se contribution ont montré encore
une fois de plus qu'ils avaient ‘à
coeur de soutenir cette oeuvre Da-
tionale et réellement vitale qu'est
le “Patriote de l'Ouest”.
TE le Curé de Willow : Bunch ;
allé assister aux funérailles de
Mur Gaire, P.D, curé de Wauchope, | 5
M, l'abbé A. Ouellette, profes-
seur au collège Mathieu de Gravel-
bourg, est venu passer ses vacan-|f
ces au presbytère , de Willow
Bunch,
“8:
RICHARD, Sask.
__Nous sommes au regret an-
noncer la mort de Mme Honoré Bi-
cotte survenuc le 27 décembre «-
près une maladie de quelques mois.
Son service et sa sé ulture eurent
lieu le 30 au milieu d’un bon nom-
ee È
bre de parents et d'amis, M. l'abbé |$
Belleau officiait. Outre son époux}
elle laisse neuf enfants de san pre-|f
mier mariage avec feu Thomas
Bérubé, Ce sont Wictor, de St-
Pamphile, Qué, Mde P. Labrecque
(Henriette) de Richard, Sas, Mme
À. Sévigny (Marie) de New-Bed-
ford, Mass, Mme Arthur Taillefer,
(Victoria) de Domrémy, Sask., Sr. ik
St. Thomas de Villeneuve (Mavie-
Anne) des Srs Ste-Croix, Montréal,
Joseph cet Antoinette de New-Bed-
ford, Mass, Thomas, de Bangor,
Maine; Adélard, de Domrémy. Ua
frère, Joseph Bélanger de la rivié-
re Ouclle, Qué. Une soeur religicu-
se du Bon Pasteur, Montréal, ain-
si que plusieurs beaux-frères et
belles-soeurs, La famille rémer-
cie tous ceux qui leur ont témoi-
gné quelques
Naissance: ‘
À M, et Mine P, Labrecque est
né un fils le 28 déc. Baptisé par
M. l'abbé Belleau sous les noms de
Joseph Alphonse. Parrain, Adé-
lard Bérubé; marraine, Mme Ar-
thur Tailleter, oncle et tante de
l'enfant. :
V'isiles: -
Mlles Bibiane ét Yvette Richard
n visile pour les vacances de 1 oël
4
e
Mine Grosjean, de Delmas, chez
ses nombreuses amies de Richard,
Mme Arthur Taillefer de Domré-
y passe une quinzaine chez sa
soeur Mde Labrecque,
--- Gérard Labrecque, étudiant ati
Collège de Gravelbourg est retour-
né après, les vaances. tandis que
Ernest Beaulne, Sfétudiant au mème
Collèse.'est retenu chez lui par Ja
maladie,
AIR Sylvestre Cyr et son frère
en visite ‘chez M. Philippe Cyr,
leur frère, pour Noël,
————— , se: —
ALBERTVILLE, Sask.
—La messe de Minuit fut célé-
: brée avec beaucoup déc at. Pres-
que, toute la paroisse s’approchu de
l'able Sainte,
4, ce dimanche précédent les ac-
teurs de White Star venaient nous
répéter leur séance qu'ils avaient
jouée ehéz eux precédemment, La
Salle était remplie pour les applau-
dir. hs surent nous atiendrir par
leur pièce tragique et nous faire
beaucoup rire par leurs comédies.
Ïs mér itent des félicitations et pour
leur succès et leur courage à Dra-
ver Ja distance et le froid à pareil
temps de FPannée. A, eux donc un
merci sincère. .
—L'année qui s'ouvre icliu dans
le deuil nos familles Pellerin par
Ja mort subite de leur frère bien-
ajué ‘Stanislas, ‘Vendredi le 2?
a-
près-midi 3 alla se reposer vers les
trois heures ct comme on alla pour
le réveiller une heure ou deux après
on constata sa mort, AM. Pellerin
avait estime’ de tous. Pavlait
chrétien, ligueur modèle, sans bruit,
toujours souriant, ct sans, déranger
hersonne, on peut dire qu'il est par-
ti de la même façon, Ses funérail-
les eurent. lieu le Inndi suivant,
Toutes nos ‘sympathies et condolé-
ances À ses. vieux parents qui vi-
vent encore dans Québec et à tous
les membresgde da famille,
-\M, Babineau, de Duck Lake, est
un visite chez ses nurents accompa-
sné de ses trois filles Miles Aurore, fi
Blanche et-Trène. Mme Pfeiffer et sa
socur sont. allées passer Ie temps des
fêtes à PBelleviie chez leurs parents,
6 L
jor unissait'sa destinée à Mie Rose
Gilaghan. M le curé officiait. Les
témoins, étaient Mme LL. Lavoic ut
M, 1. Türcotte, beau-frère du inarié
chez qui ils étaicht en visite.
tt Mme,
Baptèmes :—M. Arthur
Maver, un fils, baptisé sous le nom }}
ide “Jaseph Clovis.Louis. |
Parrain et
murale M. ct t. Mine Ls. Chapdelai-
ne,
M et Mme Arthur Quésnel, un fils, l
Joseph Ge- {|
sous le-nom de Pierre :
vard, Parrain et-marraine,
Leblanc et Claudia: Leblanc.
Met Miné Carrier,
le non de’ Toseph Henri
3 st"
n .
NS in
sympathies à cettc{[i
25. décembre, M. Anatole Ma- ||
Pierre 8
un fils, sôus|£
Albert, | ï
| Parraih et marraine, .] M. et Mme A!
P'vrira sous peu -un étal de boucher, "E, Chapdelaine, Se
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coterie, à aucun clan, ‘aucun indi-
vidu, ils doivent quand mème ess
ver de plaire à tontes les classes de
a population, à tous les partis.
Plus est étendu le pays que ce
journal dessert} plus grandes aussi
sont Îles difficultés; elles croissent
en mesure même des distances, des
cunditions de vie, de «l'atmosphère
régionale. |
Les Bienfaiteurs, du “‘Patrio-
Pr ud'homme
savaient que la vérité el ta jus
h récuinpenser léurs cfforts.
plus qu'ils n ‘aiment
1
| te” lie sont imiortelles, et s'ils n'ai-
PR tuaicnt le bic
| Au livre do où le “Palriote"” ius-| leur repos, leur intérêt, leur popu-
crit ses abonnés à vie, figurent les larité, plus qu'ils -ne
s'aiment eux-
ménies, ,
| Hs. batailitnt dur pour loutes les
«uses bonnes; ils donnent le coup
d'épaule à toutes les initiatives Jou-
«bles; ils poussent vers le succès
Mgr Brodeur, P.A. V.G. loutes- les” entr cpriscé généreuses,
M, l'abbé M: Desmarais: | mais rarement, un merci qui vien-
M, l'abbé ‘Carpentier, St- Luis;
" IL" .Coutu,, Gr avelbourg; STS ne tombent pas à bras rac-
courcis sur Îles libéraux, les con-
servateurs murmurent:s s'ils ne brû-
" P, Langlois, Tecumseh, Ont; lent.pas assez d' ° sis ne brû
k ent-pas assez d'encens à l'autel des
\. Philippe. Mondor, Willow rouges, Ceux-ci les traitent le bleus.
xunch: ° Si, ne jugeant les partis politiques
. l'abbé l'ortivr, Willow Bunch: qu'au mérite, ils ne prennent ni
Achille Chabot, Lac Pelletier; {pour les uns ni pour, les autres, Les
À Alphonse, Chabot, Luc Pelle” partisans de toutes couleurs iéur
lier: . font la guerre, à
M. Osiais Drctes, Vallée, Ste-Clai-|;
re: , : Leur journal se prononec-tit con-
a“ k
h . re "ce :
Quatre amis du “Patriote” Lac tre fa brohibition, on le censure;
Pelletier; . parie-t-it en sa faveur, on r'accabte
M. le ss Pr ul homme, Sl-Boni- de, critiques. Ms en a un, peu
lièe. Fo s , partout, qui, parce qu'ils s ‘abonnent
rt. à un journal, le cons , .
M. En iuCLE Breton, Mont- l S ee Klérent comme
marre: Le organe salarié de leurs rancunes,
ot le, venge igé du
M. Phitippe. Pérrèn;; Mont: ñr- ur obligé des Lorts que
re: is autres peuvent avoir à leur égard.
" Pénible métier souvent que celui
du journaliste con$ciencieux,
relâche à rendre service à ceux-iñ
même ‘qui apprécient le moins ses
sacrilices. ‘
Notre journal est l'ame de notre
Les rédacteurs ‘du “Palriote”,{survivance, fait un bien dont on.
comme d'ailleurs de tous les jour-, ne ‘hiesurema peut-dtre jamais, lé
tendue; il exerce une influence su-
périeure à celle qu'on veut bien lui
reconnaitre, C'en est assez pour
qu'il se tienne debout dans Ja lut-'
te, et qu'il allume une flamme inex-
Uinguible uu cocur de ses rédac-
leurs.
a
C1 :
L'oeuvre fondamentale
—“.. Eh! bien, c'est un fait qu'au-
“jourd'hui, le peuple chrétien est
“trompé, empoisonné, perdu par
“les. journaux impies, En vain
“vous bâtiriez des églises, vous pré-
Sans:
f
Au
un aspect Lout particulier.
hâte que ‘ça commence.
‘ Jennité dans la ‘voix:
qui s'ouvre soit meilleure.
+
“Patriote”
lent. : dé
‘ sù
© Dans le “Patriote”,
OPTION LULU Haut DUREE
NOTRE MOT
Le “PATRIOTE” a aux mains de
nos enfants
lendemain des vâcances de Noël, le pays presente
Les wagons de chemins de fer
regorgent d'étudiants; traîneaux et automobiles chargés d'en-
fants nombreux se pressent à la porte des écoles Le
petits ! même, gavés de sucreries, de gâteaux et de loisirs avaient
SORA TOMATE, CERTES L RTE EURE EL EU
D'ORDRE
s plus
C'est une grande chose, un véritable événement, dans la
famille et la paroisse, qué la reprise des classes. Lo
Aux plus âgés, les parents disent avec une certaine so-
“Mes enfants, il faut
que d'année
Profitez bien de l’enseignement
de vos maîtres, surtout de leurs sages conseils, afin d'être plus
tard des hommes et des femmes dont nous serons fiers."
aux bambins qui quittent pour la première fois’ le toit pater-
nel, la maman, avec une larme au coin de l'oeil,
déchirement au coeur, ajoute:
être instruits, à votre tour.”
D'ores et déjà l’institutrice dépose en ces âmes ardentes,
toutes neuves, la moisson de demain.
5" il y a, Dieu merci, un certain nombre de nos écoles où
l'on s'occupe de former en nos enfants des intelligences et
des volontés bien catholiques et bien françaises, il en est par
malheur beaucoup trop, où l'on ne leur parlera jamais de leur
langue qu'il faut aimer, de la foi des anciens, de la dignité de
nos pères, de Dieu qui nous donna tout cela, afin que nous
bâtissions par toute l'Amérique, une cité de civilisation chré:
tienne, d'ordre, de fécondité, de paix. ’
Pourquoi, à leurs heures de loisir au pensionnat ou Îe
soir au foyer, ne pas leur mettre entre les mains les pages du
Tous les enfants peuvent y lire sans se cacher de
Ja surveillance des maîtres ou des parents.
le sérieux des responsabilités de la vie se développent très vi
te, plus vite que l'on ne croit, au moment où les âmes s'éveil-
Et
et comme ul:
“Allons, mes petits; il. faut
Le sens national,
Jes petits et les grands n ‘apprendront
jamais que les belles lecons: le respect de soi-même, la chari-
té fraternelle, les splendeurs de l'apostolat, la gloire du passé,
les raisons de nos éspérances, l'histoire merveilleuse de notre
race, les grands modèles, les grands devoirs, les grandes ver-
“chez
“détruits, si vous ne saviez pas
“manior en piété tonps l'ame .dé:
“fensive el offensive de la presse,
“catholique, Tovale et sincère"
NS. S. PRG audience partioulitre
at Directeur de “Aa Croid de Li:
mouvs”, 1907,
nu suves conan PP Poisson ce sup
Le journal qü'il vous. faut
Si du journal, est la grande coule
où le peuple arhôéve son éducation,
on comprend que l'Eglise S'alnene
et qu'elle cherche à suseiler des or-
sunes plus Fermes au point de vue
des principes, d'une tenue plus di-
ane el plus franchement chrétien
be, Avec utic insistance ol une 6:
nergie qui ne l'ont que grandir, elle
reconinande conie reméde In fon-
dution et legtretien de fournaux
nellumenl catholiques,
Son d'ordre n
Aujourd'hui
est jétonné de journaux enfholi
ques, depuis Les côtes de FAeadie
jusqu'aus plaines de FAlberla, Mais
nelre pouple n'a pas encore saisi
le dôle de Br presse: catholique et
SON fmportuines capitale, C'est ue
ne lacune regrettable dans su for.
mation cl qu'il s'agit de combler,
Ca le jour où il aura compris la
nécessité, au point de vue religious
cl national d'une presse propre,
honnéles et erânenient chrétienne:
du jour où il cessera de regarder
le journal conune un simple res
cueil d'annonces el de potins, a
lors, ce peuple qui ouvre si {neilee
tent st bourse aux ovuvres de cute
Le, d'édueation et de charité, n'hé
Silera pas à remplir envers la prese
se catholique uu-devoir qui vst con-
sidéré conne de plus grave de
l'heure tetuelle,
cie
Le
.mot
nous,
entendu
Canada
+ mn 2 es
DR -
Vous avez l'âme que vous fai
votre journal
La génération actuelle 4 un vor-i
veau de papier: elle ne prend ni la
veine ui le temps de réfléchie pur
ctle-méme, elle pense et pagle come
me le journal |.
sus
de senti el mème d'aimer, Hi vien
manières de voir, de juger i
paré, tout assaisonné au goût du
jour, facile à s'assimiter, et que lon
vapérienee,
Mithri-
longue
he
absorbe, après
inpuñément, conne
date |
let
L
Pour comble de séduetion, on le
lui sèrt, non COIRC UN, pal oblinn-
Loire, ti dis eomme noms délicieux
qui se nisse avaler fout seul si on
veut bien ui faire cel honneur,
Pour les moins, affamés, on se con-
lente d'en réjouir Pocil par une dis-
position savante des eounlenrs, des
mots el des titres affriolanis.
Lofsque le papier
maius propres, à lt
a passé par'des
bonne honte!
Mais quad ion été tripoté par
des mains saules, quel corruplenr
subit, d'autant plus adroit qu'il pa-
eait plus inoffensif. Cur le journal,
ne fait que suggérer il ne s'impose
junais,
journal se
tout savoirs
Bons on nintvuis, le
joue de notre avidité de
de out interpréter, de tout juger
Cest lui, aujourd'hui, plus qu'mr-
lrefois Be erainte des Hicleurs où le
louct des janissaires, qui gagne Les
faveurs des foules diles d'hontmes
libres, :
C'est que, dans ve tôleaitète le
plus intime de lous, Le lectéur, lui
ivre sans méfiance son intelligen-
ce, son cocur, sa volonté,
Le journal est un pétrisseur d'a-
mess dé matitre prentiège varic so-
lon a valeur morale de ses prinei
pes, de ses idéalé.
le bon journal De
ste et aite pour sauver l'intolli-
sunce française des ravages de In
mauvaise press Mais s'inquiète.
où de lul assurer son avenir? Que
failcon pour soutenir ses chefs, ses
ateliers, pour alimenter ses sour-
ces de survie Nous savons udini:
rablement Br charité des eorps el
hos oeuvres indigènes en 6e poil
alirent l'admiration de l'étranger
mais, quand niis quaud apprene
drons-nous 4 sauvegarder, par les
Secrets de Bi eharité intellectuelle
nos plis riches qualités nationales,
lomesure dans He poûl, fu droijure
du En pensée, el fx hauteur de line
EL ecpendant,
22
fl û
“L'avez-v0uns cru que. celle vie fut
lu-vie ?”’
LACORDAIRE,
Muis devant elle,
ni gène, ni cnbarras:
ic ‘n’éprouvais
‘Au contrai-
cafnic el si pur
répandait ‘dans môn coeur je ne
sais quelle délicicuse sérénité,
Qui, je suis beurcuse d'avoir “été
li. J'en ai emorté “une force, une
lumière, un parfum, j'espère Y tt
voir compris le büt dé la vie.’ Dans
cette chère église, “dev ant la croix
sanglante qui domine le tabernacle,
pal accepté ma vice: telle qu'elle ést,
jai promis d’accoinplir . le grand
vonmmandement ‘de Pamour: 0
eber asile de, la prière ‘et della paix!
ocuvre, et l'on sent Ja téistesse par-
tout.
fonde s’y. mêle. |
Et pourquoi, duns mon caline fu-
nèbre, n'aurais-jc pas aussi de la
sérénité, ‘
Je me disais cela, ct, la tête ca-
chée dans mes mains, je pensais
à cet adieu qu’il faut finir par dire
à tout—à ce grand . et languissant :
adieu comme parle saint François
de Sales. -" —
-Puisqu’il faut
re, son regard si
mourir, -ce sont;
les heureux qu ‘il faut plaindre,
(laurice Darville à Angéline de
Cest avec regret que j'ai. quit- . Montbrun)
lôvma chambre où d’ autres s: âmes n
faibles sont venues chercher la for-:
ce—où la Fleur ‘du carmel à pas-
“&—Là, je n’entendais rien que ‘le
murmure de lYamaska coulant
tout auprès. Ce bruit: mélancoli- |
que me fournissait- aille. pensées
lrisles et doucès, 7.
‘ Ainsi'vous persislez à vous te-
nir renfermée, à refuser de me re
cevoir, et pour vous, je ne suis plus;
qu'un él'anger, qu'un imporlun.
Angéline, cela se peut-il ‘
O ma toujours aimée, j'aurais dü :
‘êci arter-vos, domestiques ct entrer
chez vous malgré vos ordres, Mais
je ne viens pas vous faire des re-
proches. Je viens, vous suppliér
d’avoir pitié de moi. Si vous si-
viez conune, il est amer” de se mé-
priser soi- même Lo
.0. ma. pauvre enfant, votre ima:
ge “vicht ie ressaisir partout, vo-
tre vie si triste nvest un remords
continuël, . :
Et. «pourtant suis-je ° coupable
Les vagues de 11 mér s'éloignent
pour revaiir ‘bientôt, mais les
eaux d’une rivière ‘sont comme le
temps qui passe ct ne revient: ja-
mais,
| ‘ ‘
6 oveinbre.
“Malheur à qui Hisse son. amour
S ‘égarer el croupir. dans * ‘ce. monde
qui passe; éar lors kC tout à l'heu-
re il sera passé, :qué restera-t-il ‘à
cette âme niisérable, qu'un vide in-
fini, et. dans- une. “éternelle sépa-
té mon coeur au visage ? à 5
< “ 2
éternel rates "ee Impuissance .quer à .ma parole. Oui, vous ma-
a. u LE “Re vez. réduit à cetle abjeétion: Mais
at , 7. sidvéinbre. sur” -1hon honneur,’ je. n'aurai de
Le [mais d'autre ‘femme :que, vous.
:
l'ai passé l'après-midi
entrée *Ah! soyez en sûre, oh ne se don-
. du bois. . Le. -oleil-, dor ait ne pas deux fois’ avec. ce qu'il Y a
* champs dépouillés, - ire aritions. |. -de plus. tendre’ et dé plus profond
chantaient dans: ‘herbe: Alétrie | ‘dans mion âme, QOtt plutôt, quand. on
loutefois Path À bien. fait: ‘son ü. ré re prend |
s’est donié ainsi, où nike
Il à Mina,
\! confiance,
Mais quelle sérénité pro- |
‘
9
est-ce ma faute. si vous m° avez je” prouve votre résolution ?.
‘Angéline, ‘vous m'avez fait Tuant-
Les. rédactéurs, soucieux avant) “cherñicz des missions, vous fonde- Ë lus:
, tout du bien général, trouveraient |“ricz des écoles: toutes vos bonnes Ë .
vite leur besog she surhumaine, s'ils “oeuvres, tous vos efforts seraient ann,
[° . A ‘ s°
= plus jamais.
su refroidir,
au fond du
jy a bien des
Si Mon COCUT à parti
Ma pauvre enfant,
cocur de l'homme il
imisères, nHtis par-
DE dun, pardon pour l'amour de Jui
qui m’aimail, qui n'avait choisi,
Î Quoi !ue sauriez-vous pardon-
Doer un tort involontaire ? Ah! vous
lavez bien oublié la promesse faite
cette solennelle promesse
ide m'aimer toujours: ct de me ren-
dre heurcux, h
Si vous saviez ce que” j" ai soul-
fert depuis le soir terrible de no-
ditre séparation ! Oh !'eumment a
Avez-vous pu n'humilier ainsi ?
Suis-je donc si viléà vos yeux ?
Mon Dieu ! qui nous rendra a
ce bien unique en sa
| douceur ? + Vdus dites que vous
wacceplerez javais un sacrifice.
Jn sacrifice... !
Angéline, il est une chose que je
| voudrais taire à jaunuis. Mais puis-
| que vous me forcez d'en parler, je
I vais le faire, Tôl où lard, vous
le savez, on ne jouit plus que des
âmes, ‘Et d'ailleurs, les traces de
ce mal cruel vont s'effaçant cha-
que jour, Tout le monde le dit
FE cit pouvéz-vous lignorer ? ,
Î Mon amie, c’est moi qui vous
? conjure.: d’avoir pilié de ma vie si
triste, de mon avenir désolé. Que
deviendrai-je si vous m’abandon-
1 ? Us
| seul je suis cet seul je. surui:
vous Pavoue, je suis au
times forces. La tristesse est une
mauvaise conseillère, et j'entrevois
des abîmes. Angéline, votre coeut
est-il donc tout entier dans son cer-
cucil ? … Li
Non, ma chère orpheline, je ne
vous reproche. ni l'excès, ni la du-
ré de vos regrels. Sait-on com-
bien dé temps une grande douleur
doit durer ? Mais “votre douleur,
jé la comprends, je la partage.
Vous le savez, el vous ren pouvez
1 douter.
| Mon Dieu, que n ai-je pensé à
‘| vous faire ordonner de ne pas dif-
l'férer notre mariage ! Le malheur a
voulu que'’ni lui ni moi n’y ayons
songé, Mais croyez-Vous qu’il ap-
l
î
je
Angéline, c'est moi qui vous em-
son corps, © Dieu | de quel amour
je vous ‘aimais, ‘et: ‘combien - ja
souffert de cdte horrible inpuis-
sance à vous consoler.
Mais aujourd’hui, ne puis- je : rien?|
Jesxvous'asure que je ne voûs:
vous arracha. i à la môrt;. et je! vous
en. supplie, par Ja fraternité: de n6ô$
oi
bout de!
portai comme niorte d'auprès @e-
mais ‘pas plus quand:mon amour
AU EE RARE ERA
4
0
krines, ; par célle divine espérance
que nous avons de Je revoir, con-
sentez à mentengre. Oh ! ais.
Sez-moi vous Voir | laisser-moi vous
parler ! Pourriez-vous refuser toit
jours de nradimeltre chez vous,
dans sa maison à lui, qui te non.
mail sou Jils ?
suis
lcrimur
La nuit dernière, je
longlenps appuyé sur du
jardin. Je vous avoue que je finis
par m'v glisser,
Une fois entré, d'en is le tour,
La, froide clarté, du ciel nv mon
uit tout hier Uriste, bien désolé.
Un vent glacé chassuit fes feuilles
flétries. Mais de passé était à, el
qui pourrait dire Ja Aristesse et Bt
douceur de nes pPÉnSÉCS !
D'abord, li'maison m'avail ph-
ru dans une obsceurité complète,
mais en approchint je vis qu'une
faible luniére passait entre les vo-
lets de votre chambre O0 chère
lumière ! longtemps je restai à la
À regarder.
Angéline, ki vie ne doit pas ètre
une veille troublée. Non, vous ne
sauunricz persévérer dans une EONTE
füution pareille, et bic ntÔE, comme
Mina disait: Le su du Christ nous
uniru.
pris la force et Ja süavité ‘de cette
union ? Doulez-vous"que dans son
sang nous ne trouvions avec
mortalité de Pamour, les joies pro-
fondes du mutuel pardon.
Non, vous n'aurez pas ee triste
courage de me renvoyer dése spéré,
Pai foi en volre coeur si tendre, si
profond. . ;
Vôtre, à jamais,
L - Mauriee,
CAngéline de Moutbrun & Maurice
Dar ville). $
Maui ice, pardonnez-moi.
- Cette résolution de ne-pas vous
recevoir, Vous pouvez ie da J'en-
dre: encore plus .difficile, encore
pius douloureuse à tenir, mais VOUS
ne la changer pas, L :
.Et-faut-il vous, dire. .que de res-
sentiment n'y est pour rien,
Cher ami, je n’en cus jumuis cop |
tre vous. Non, vous : n'avez Das
trompé sa noble éonfiance, non,
"vous avez pas manqué à
parole, et moi’ aussi je Hendrai Bi
mienne.
: Mais croyez-moi, ce n est pas a-
déjà éprouvé le: néant, que “vous
* l'remplirièz le vide de votre coeur et
‘de vos jours. E
Je le dis sans: “reproche. O mon
Joyal, je n'ai rien, absolument ; rien
te
‘à vous. pardonner." v
4
rest |
pas voulu qu'elle fut sans conso:
[ieis el une forec range He repor-
Chrétienne, AVEZ-VOUS COM {Le à ce moment 6Ù mon père mou-
Pine répétailil,
votre
vec un sentiment dont vous avez
Elle y
A Tan GT EE
Pourquoi HUAVEZ- VOUS aimée
Pourquoi ai-je lanl'assombri votre
jeunesse 9 EL pourtant, notts avons
été heureux ensemble, Vous rap
pelez-vous comme ba vie nous ap:
paraissait beile 9 Mais il n'est pits
de uin qui prenne l'ombre, nr qui
garde l'onde,
Mon cher ni, nous lavions bien
oublié. Dites-imoi, si cel enchante
ment de l'amour et du houber se
I continué, que surions-nous de.
venus ? Gomment aurions-Hous pH
"nous
résigner à mourir ? Mais le
prestige est vitgdissipé cl nous sit-
vons nurintenemt que la vie est une
douleur,
Sans doule, Ja bonté divine n'a
falions, el nos pauvres tundresses
restent le meilleur adoucissement
à nos peines. Mais nuË ne choisi
Sa voie"el les adoucissenients ne
sont pas pour moi,
Non, si le Dieu de toute bonté
nova fait passer par de si cruetles
douleurs, ce n'est pas pour que ju
me reprenne aux affections CE RUx
joies de ée monde, Je le vois
clairement depuis que je vous suis
Sant in attira à Jui, après sa commu
nion supréme: “AMOUrS sauveur,
serrant faiblement ma
tête contre st poitrine, Amour
Sauveur, je vous la donne, O Sei-
gnour Jésus, prenez-la, O Seigneur
Jésus, consolez-la, fortificz-H Et
à cette heure d'agonie, une foree,
uns douceur surnaturelte se répan-
dit en ‘mon fme, Toutes mes ré.
volles se fondirent en adoralions.
Pacceptai Ja séparation, Je me
prosternai devant la croix el, je
la reeus comme des mains du
Christ lui-même, Et aujourdhui
encore, il me la présente Je vois Ft
ebje sens qu'il me demande ke re
noncement complet, que fé dois
être à Qui seul . To.
Maurice, c’est Lui, qui a lout
conduit, c'est sa volonté qui nous
sépare. Cette parole, mon père
me Pa dilé à Pheure du son ungois”
se, el je vous la répète. Ah ! j'ai
bien senti ma faiblesse. , '
Etre désillusionnée ce n'est pus
ëbre détachée. Mon ami, vous le
savez, Parbre -dépouillé tient {ou-
jours à la terre, |
‘Oh ! comme, nous sommes faits !
mais Ja volonté divine donne la
force des sacrifices qu'elle com-
mande. Je vous prie, ne vous met-
tez pas en'‘peinc de mon avenir
«C'est à Dieu d’en disposer: : le bon-|
Jeu. et HT, tristesse m'ont bic dé-
dl
|
nent tout droit ses périodiques,
re nee
Louve un aliment tout pré
bilitée; iais Si je suis eptir seine
si je suis fidèle, avant qu'il soit
‘longtemps, j'aurai Ja
pur. À
EE vous aussi vous SUrUZ bientél
consolt, |
l'ourquoi pleurer ? de bone
de di ferre, d'en connaissous-nous
pas de panvrelé, mènte quand nous!
pourrions l'avoir dans sa rielessst
ce qui d'est pas Non, le rève
enchanté ne saurait se reprendre
fl ,pouetnnt que Be vie avec vors
Me sers dotice encore ! Malyré
le Lrouble de ‘non covur, ce m'est
une joie profonde que vous soxez |
venu, Le sentinent que vous me
conserver, por moi, e’eslune fleur
: , |
sur des ruines, c'est un celhio at-|
n , , È
tendrissant du passé, Le passé D]
Vous rappelez-vous cette roman. LS
ce que vous chantiez sur Le sou |
venir, qui West rien et qui est tout?
Ah ft quoi qu'il arrive, n'oubliez
pas. Et sovez béni de ve que vous
avez fait pour ui. Jan 1is je nou.
blierai avec quel respect VOUS AWC4.
porté son deuil, ni vos regrets Si
vifs, si sincères, ON, eornme ous
&liez bon ! eomme vous étiez ton
dre Je le sais, vous Je seriez etre
tetisenee
I À
Notre prochain
Un.
Feuilleton
Les lecteurs o6t foctrices qi ont
suivi de puésent feuilleton de cet
abnable ceriviain qu'est Lars C0
nan, auront souvent fé Hppression
nés el édifiés par Les nobles sen
linients chrétiens des différents
Dersonnages,
Noits titons à croire que cette
lecture for aita Fait du bien.
Pour notre prochain feuilleton
qui eonuneteera au prochaitr nt
HÔPO, NOUS PÉSOPVONS À Dos lee
lcurs duslenre chose 4e imieus en:
core, ’est Phistoire de Paseo:
sion d’ nn fine vers Dieu écrite
par oleaème, d'une cñme que PE.
glise proc le ie bicnheureuse et qui
set canonisée cette année méme
Vous nos léctoits connaissent déji
sans doute eelle petite, sudnte, evtte
pelile “four de Jésus", Tous n'ont
pas du Phistoire de su vie et nous
pensons leur Taire plaisir en La pure
bliantier Ce sera clique : SOIALHC
une loeture qu'il sernil trés ubilr
de Faire en famille et qui intéres.
sey'i tout Le monde, les enfants as
si bien que Hs urinntes Personnes,
un DIGtne Lenips qu'elle portera les
dnies à jus de gonfiunce on Bien
et à plus d'aour.
éore. Mais il en est qui n'arrivent On voudra lire chaque sauuine
du ciel qu'eusanglantés, et ceux Sins X EE ce récit tout mile
eo intéressent pt exfrémenen
n'ont pas droit-de se plaire, Glort ere ,
Je vous donne 4 FGsus-
Christ qui seul nous aile comme
nous avons besoin d'être imés,
arfout 61 Sins cesse, je Le privrai
pour vous,
Et puisqu'il faut le dire, adieu,
mon cher, on intimement cher,
adieu !
Quand j'étais enfant,
pour encourager oux ‘renonce
iwenis de chaque jour, me
que pour Dieu, if n'est pus de sal
crifice trop petits et aujourdhui,
je le sens, il me dit que pour Dieu,
il nest pas de sacrifice Lrojr pri and,
Après ‘tout, mibn ami, en sucri-
fiant tout, on sacrifice bien peu de
“hose. Ai-je besoin de vous dire
que rien sur Bi terre, ne nous si-
tisfera junais ? Ali !sovez-en sûr,
en consacrant. Puñion des, époux.
lë sang du Christ ne Jeur assure
pas Piminortalité : de Paniour, ct
quoi qu'on fasse, fa résignation res-
te toujours la grande difficulté,
conune ele est le grand devoir.
Sans doute, tout” cel est tristé,
ét la tristesse a Ses dangers Qui le
“sait micux que-mof ? Mais, Maurice,
pas de läches faiblesses. Epargnés-
moi cette suprême douleur; que je
ne rOUISSE jamais de, vous avoir
can Lo 7 oui
Maurice,
ion pére
«disait
nreien
rer
orme
Le bonheur
-"Aht je bonheur, on le cherelie
parfois bien loin, «lors qu on la
sous le main: nan vas le bonheur
chimérique et vague, tel qu'on be
rencontre dans Jesronmnuis, uns le
bonheur humaih, le vêai, celui qui
fleurit.sous les Jarmes el s'épanoutt
dans l'espoir d'une éternité bien.
heureuse et dans ke confiance eu
Dieu,” Audré BESSON,
D ete me donneurs
. Ce que vaut ia fémme
Un suvaut s'est livré récemment
a une piquante statistique: il a vou.
lu savais à combien était évaluée
une femme par les divers peuples
de lunivers. Son enquète, bicu
qu'incomplèle, lui à donné de ent-
bicux résultats,
Ainsi, uné fiancée tartare coûte
dix kilos de beurre; les Cafres sont
plus exigeants, un jeune hônime qui
veut se marier doit livrer à sa
cée. huit vaches, Dans le Kurdis-
tan, il faut donner deux. marsouins
pour avoir une épouse} et aux Tes
Fidii, une dent de. baleine. Les in-
digënés de lOuganda, à la veille de
se marier, doivent posséder, ati
moins un paquet daiguilles à cou-
dre, vingt cartouches et trois tau-
reaux, le tout pour judemniser la
Hs belle-mère de la perte de sa
e
‘Le. christianisme donne la meil-
leure réponse.
La femme vaut l'homme ct quel:
- que. fois, ! un. peu Plus.
fian-
t
ni em
€: 1 & Nr d'Es LA ES +
Ib ert Vigr Prud'homme .
LL UE &
Au moment d'aller sous presse,
les journaux de Montréal nous ap-
portent les premiers échos du pas:
sage de Sa Grandeur Monseigneur
Prid'homme dans Ta, métropole
Canadienne,
10CE-
h
voire concitoyen bien connu,
1, Louis E. Valade, est 'allé passer
ie veste de l'hiver à Los Angeles, !
dialifornic, A son départ, ses nont-
béeux amis ont voulu lui faire une
petite foie, ot Lui vont présenté en! Sous la signature de M, Omer, | (
cadeau un magnifique sac de-voya-| léroux, le benoir rend un hom-
mage éneu au zèle et au dévouvment
‘? de Pévèque de Prinee-Albert qui à
—Un accident pénible à leur jeu-: bien voulu se rendre dans la pro:
»
se.
ue bébé va retarder encare quelqués vinee de Québec pour se faire lui- |
jours Le départ pour Montréal d'u! péme solliciteur d'abonnements en
ne de nos excellentes famitles ca faveur du Patriote de FOuest, Ce
nadiennes, M. et Mme KR, de la Gor-l geste à inspiré à M. Omer Héronf
gendière, Tout. Prince-Albert regret-| l'un de ses beaut artisles qui jail-
ie ce daéps art, Les ecreles: music: aux de, hissent tout natur clement de sou
, Ja ville perdent en Mme de la Gor-! grand coeur de “atholique et de
seondière une artiste de grand t- patriote, 7,
ent. Son nom au progrannne di Nous serons heureux de repro-
, ne soirée quelconque suffisait à at-; lire cet article au prochain numé-
tirer Jes amateurs, de bonne et belle! jro et tous prions M. Néronx due.
musiques sa’ jolie ‘ voix de sopi 400! ecpter l'expression de notre bien
au registre si égal et très étendu, AU Live gratitude. :
timbre si pur, « Le don de péaire!
sans juuais fatiguer. Notre peus -
lation gardera de sonvenir de M. r, .
Mme de la Gorgendière, et tout en Les j juges du prochain festival
leur souhaitant succès et prospéri-; L
6 Lbus, ne manquera point de fai-; de musique
re des voeux pour leur rvlour par | Ë
+:
Bésina.
ini nous. : Le Dr James. Lyon,
NT Angleterre, le Dr cdward Brome,
"MF, Lacroix a été none pré- ide “or onto, et M. Frank $S. Wels-
‘sident du bureau des commissaires | nn, ont été choisis comme fuges
du Collegiate. «du prochain concours de, musique
- De PASSAGE AUX burce aux dufoui a lieu cette année à North Bat-
“Patriote”. M, et Mme Brisebois def tleford.
Zénon Parks I y avait quinze ans De
i que Mine Brisebois n'était pas ve
Le tirage pour l'oeuvre des
Soutds-Muets
Montréal Le grand tirage potn
Le changenient d'horaire sur Lest Foeuvre des Sourüs-Muets a rai-
lignes du CN, surtout celle de uorté da sonne nette de K28,0Ù.
PEst soulève passablement de cri] E£s directeurs de lPoutvre reiner
liques chez nos hommes d'affaires] Cieht corilialement tous vettx qui
La chambre de commerce a pris, la! vont pris part,
chose en mains et doit porter des! Les berles tausées bar l'inceh-
plaintes aux nutôrités compétentes.| ie ais nouveatix iteljers ne don
pas tussi considérablés que
- Notre Société d'Agriculture s disait 4Pabord, Elles sol d'envi.
nue à Prinec-Albert: elle trouva les
chéses joliment changées, et toits
les deux: prirent plaisir à visiter
Pinslallation de notre journal au
quel ils s'intéressent beneoup,
‘oc
cupe déjà de Fexposition" de Pétél son Sat
| prochain, Les, comités ont êté for-[e : sn. !
imés À une réunion récente des di- ———
vecteurs. a dé décidé d'envoser Dpt ne Shei
à Edmonton deux, délégués, le se. Une fondation pour les étu
erétaire et M. Gambles pour vret- diants éanaëieïis en France
dre part à la convention qui fixer
la date des différentes e<positions
DE] ?
2,3
aris— Le tinistre de llnstrite-
dans FOuest, Prince-Albert veut k
une date oui convienne à out lé tion publique, eñ France, autorise
distriel et lui assure a présence de|le recteur de L'Académie, à degree
nombreux exposants. L'expositiont ter tue -Hotabion de 2,600, UUU
durera quatre jours. _… ffranes, de la part de l'hoor able sé
… US huleur LM Wilson et de quclütes| 4
RS ns auirés bhilinthtüpes canddiens.
mis de à France. en vüe He ln fon-
dation d'un hôtel dus étudiants cit-
natlivtis en Fiince,
ne D Qi —————
Une lesée dé:tinuit 4 inau
güté l'anfée à Paris
M. Turgeon rédigera la nou-
velle loi des grains
Winnipog. L ‘“hon. juge lurscon
aui x présidé lt connnission rovale
d'enquéte sur Le commerce des
arains a acecpté de rédiger ki nou-
Vélle lui des grains qui sera présen-
. dée à fa session fédérale
Le rapport de Li conumission d'en- |
Paris. Pentaudt que les élran.
uers eélébraient le fibuvèel an dune
lôs tombreus” € “abaretss un. grand
Sombre dé Pirisions assistaient à
lt biesse de minuit ‘hu Sacré-Covur
CA Notré-Däne-des-Victoires, un:
tit. ivation ectte. année,
. quète vient d'être terminé, est
trés volumineux et couvre 50 pa-
ses,
ei
M. Préfontaine devient minis-
tre de Agriculture |
an
Man. - a
divers changements luite duns le ci il
Winnipeg. n vertu
Montréal.
éclipse eomruen-
binet Braeken à latsuile de la dé. cern 4 8 heures du matin, le 21
mission tu trésorier provincial {janvier moment où a’ une com-
, Phons ECUM, Black, l'hon. Albert lirencera à passer entre le soleil e!
Préfentaine qui représentait lélé-|la terre. - Elle atteint sa plénitude
ment canadien, dans le cabinet en à Oh, JÙ du matin, alors que le!
qualité de sec rétaire provineial, de. l'soleil aura une altitude de 12 de-
vient ministre de l'agéiculture, : "lvrés au-dessus de Phorizon. À c+
LL Lu moment, 4 pour cent de Ja surs
face du soleil sera obseureje par
la lune, L'ombre de La lune pro-
Le cartel fera un second paie-
jetée sur fu terre se déplacer à
L’ éclipse solaire du 24; janvier
Un journal centenaire
Chroni-
“Morning
de 84!)
Halifax Le j
cle”,a publié un numéro
pages rempli d'artices d'intérèt
historique pour le Canada, à, loc-
casion du centième anniver saire de
sa fondation, Sa publication à été
continuellé pendant ce siéclé. C:
ntunèro contient atuissi un Jac- simité
du premier numéro de Bi Gazette
dllatifax, le pr entier, journal publié
au Canada,
seems CH nn
La terre tremble en Nouvelle
Angleterre
Des secousses de
tremblement de terre ont été res-|
senties à Gloucester, Marbleherd, :
Salem et autres endroits du litto-
tal
» 30 secondes,
|
Boston.
| tion
Washington. Le divorce aux
Etats-Unis est une plaie qui
save toujours. On.se marie et on
divorce comine on change de che-
mise, ct'eela tient surtout à ce qu il}
"VOA plus de religion,
Comme réforme, Le Dr Brouks,
président d'université 4 Waco.
Fexas, propose que personne ne
puisse se marier avant que le nia-
riage ait été publié un an d'avance.
1] De “plus il obligerait Je jeune hoim-
Loc à attendre Fâge de 22 ans ct
la ivune fille l'âge de 19 ans,
lRéfornie qui ne réformer:
———""$
rive
t
".
Les secousses ont duré de 20, nu
Encore une lubie de réforma-| |}
s' U L
CHELLES LD
Marché aux grains de Prince.
Les sülaites sotit réduits dans
lés Filatures de Fall River
pau iv Ude rcdueiton de
sülaire di là -pbu vont affectant
entre 20.000 et 25,000 vuvricrs se-
Pa mise cft viguulir ans Les l'abwi-
uties de eulotin: tes de eétte vif
le lundi 19 fanvier Catte nüwnivel-
le à été annoncée à l'issue d'une
longue votlèrence ehtre de coinité
eséculit de L'association des fabri-
vunts de cotonnades de Fall River
el une délégation du conseil tvxtile.
Î
sé:
TT TT :
. Plus d'ébeés âux dents
Foronte.s - Un dentiste de To-
boto vient de découvrir qu'en se
gbbvant dub ainaldinie de cuivre
Huur bomplit les “dents il ne se
soduit plus inmuis d'ibeès à ln
Fine des denis. cel amalginie a
vante prenritié d'être un désin-
fechinl parlait.
a ne -
| ent bersonnes Helées à mort
À
Fiis Coovgie— Ute ceuttine de
personnes 01 des milliers d'ontattx|
ant été vitlimes du: froid dahs de
Caurase. Où 'avail pas vu
setfblable depuis plus d'un sivele.
et l'on er tint que les dominäges cau-
sés aux récilles Hsmènent une
grande famine,
ET
Lines atlévations, publiées, dans son
journal “Dearborn Indepe ndent*
sur Le compte des Juils.” Dans
série d'artieles ineriminés otr,
rail le nom de Saniru, il était ques-
on d'une “conspiration juive pour
contrôler PFagriculture de PAméri-
que, ou organiser les fermiers d’A-
mérique dns les intér èts du Coin
in
ment raison de 1,500 milles à Pheure,,
me
Réuine, Le président du ear-
tel de a Saskatehewan A. À. Mc-
* Phail, annonce qu'un second paie-
. ment sera fai aux Ccuitivateurs du
teartel pour leur Dié vers Le ter
CRHITS,
Des tempêtes
Les dlénents paraissent liltéra
mn
ropéen, à l'aurore de cette unnéci
nouvelle: sur les côtes d'Angleterr:
comme sur celles de France,
niutfrages sont nombreux et les dé
sastres dnealendables La ville so.
victique de Leningrad est ellemêè
Londres On est à prendre des) me lavée par Pinondation. Leon
HICSUrCS pour amener 200 familles! veuu des eaux sv ss élevé à huit
du Royanne-Uni en Canada, dit le! pieds au-dessus de ln normale.
. Dax Telegraph”. Ces gens s'êtu-
blirent sur des fermes qui leur se-
ront fournies par l'action concertée
- des gouvernements anglais et eana-
diem. Parmi ces 200 familles il en
viendra du nord de l'Ecosse, du sud
, des Gallès et dedl'ouest et du sud de!
! F Angleterre.
Le gouvernement anglais prètera
trois cents livres sterling pour l'é-
. duiperuent de chaque ferme de ces
HonvVeaux colons.
Mille autres émisrants nm
ee eme ee ME EREESS
: ZCC familles anglaises pour le
Canada
ER
Ju
M. Edouard Montpetit à la‘
Sorbonne de Paris
%.
LE Canada est défi-
nitivement entré à la Sorbonne
conne matière régulière de eouré
et à partir de mars nrochain, M.
Edouard Moutpetil, Secrétaire dé.
ntrul de: PUniversilé -de. Montréal,
donnera une série d'environ . dix
cours qui porteront sur la terre ot
le peuple canadien: sujet un pou
aride peut-être, quais que M. Mont-
petit saura rendre des plus inté-
Mentréal.-- Le
plus tard pour Le Canada.
en
: Le sanatorium sera orêt le 15 |
ressants à son. auditoire francs Lx
mars LTACC AUX APCTÇUS NOUVCAUX “qu'il
E RC INUNqUCrA pus d'v apporter ci A
Saskatoon. Un certain nombre fa” perfection du stxle qui a tou:
de luberculeux attendent déjà l'ou- jours caractérisé notre éminent
verlure tu nouvean sanatôriun, Sel conférencier ef écrivain canadien
. ion M, B. Cook. président de laf françcais.
ligue Contre la tuberculose. 61 _W; Le cours de 1926 sera donné par
Sharon, architecte provincial, Pé fu tea Désv et celui de-1927 par
difice sera prèt à ètre oceuné Tef le Chanoine Finile Chartier vi-
45 iars. On mettra à fa tôte de
Pinstitulion des spécialistes qui oni
fait leurs preuves; muis les autres
. employés seront pris dans HE ville |
.méme,
Les sutorités munjeipales ne son-
gent pas à consiruire une ligne de
iramweanvs - jusqu EUUE Sunatori im: est
dépenses seraient rop' fortes pour
“les revenus. Libre au #uuverne-
. ent provincial de ha faire, ‘
tré. ,
ee
Le travail de nos commissa
. 0 " “
riats canadiens à Londres
et à Paris:
u mener 1 st
Québée.— M. Lucien Pacaud, ‘Se
Sisinnt du hit commissaire du Cu-
mada à Londres, est len visite à
(Québec. après deux aus, absence,
: “Je m'avais, dit-il, à mon arrivée
à Londres iteune idée du. forida-
he travail: de: nos aa bussules def
Londres et "de Pagis, Qu'il
fise de: vous diréque le chiffre des
lettres. que nous: expédions je ‘in
cie
‘373 entrées à l'école normale
de Saskatoon.
Saskatoon. L'école normale rr-
2orue d'étudiants! une entrée de
sa ent. lieu à la reprise des cours
Ve 5 janvier. 150 vont faire leurs née est passé de 17 000 en 1924
18 semaines pour lobtention d’un! 00 cette anñée, Dans le doniine s0-
diplôme de seconde . classe, L'ou L cial, nous nous occupons des Cana-
diens-de passage, Dans les six der-
niers mois 7,000 canadiens -ont vi
sité Londres et° personne/lement j'ai,
serré bi ain à . 4,600) ‘d' entre eux."
i \ Los Î
verturé du voûrs de 13 semaines
dannant droit à un. certificat. inté-
“rimaire a ficu aujourd'hui ‘même,
F{.janvier, ee ne ou
lerent déchainés sur le monde our |
eu-recteur de P'Université de Mon: Ÿ
inc sHl-}
à 70.-|
münisnie,"
Sapiro prétend que cvs articles
sont de nadure à nuire sa parties
nation ti mouvemon vo-dpéraif, ot
il va poursuivre M. Ford en Hibetle
froit!
a fn
Marché aux grains de
Winnipeg
ht - + .
ble, Nos ÿ nord, 4.92 8: No.
2, 1,85 1-85 Nos 4 LS0 1-8: No.
50 1-81 No. 5, 164 3-8: No. 0.
1.54 1-4; fourrage, 131 1-81 voie,
1.88 1-8, '
Avoine.- No, » CM. 92 1-5 No,
4 CM et extra f fourraue. Bi 7-$;
! No. 1 fourrage, 59 7-8: No, 2 lour-
| ago,
1
a
peur S1.00D.000, si celui-ci ne se re)
uw tete pts dei 0 jours,
DE
Un raszsare du roi d'Angl: .
terre au cardinal Gasquet
Londres. Dans un
cardinal Gasquet, à
son jubilé sacerdotal,
#es exprime Pespoir que la vie du
cardinal se nrolongera pour’ rem
polir les devoirs de sa situation vt
achever les ocuvres qui l'ont rendu
célèbre, Le message fut transmis
pur Sir Oo Russel, tmuinistre de Ia
‘Grande Pretagne au Vatican,
ST
+ Li Li
La grippe en Belgique
Bruxelles Une épidémie assez
grave de grippe sèvit. en Belgique,
ét au nombre.des viclimes.on nen-
Hionne N° M, la reine Elisabeth, ain-
si que te Premier ministre, M,
nis,
1%
Caillaux en liberté
HCSSARC El
l'oceasion de
le roi Geor-
Paris Le Dit d'amnistie voté]
pau” le parlement vient de rendre ù
iberté à 504:000 personnes, Pa LA
te comprend outre Pex-premior mi-
nistre Cnillaux, des désertours, des!
leurs, cote, : è
Lg
î
| tine
Buenos-Aires, -- Le Vatican ayant
nonuné- Mgr Boncto’- administre
apostolique de Buenos. Aires ‘sans
consulter le gouvernement, fe con-
fit entre l Argentine et le Saint-Sié-
ge Sest agrave, . es te
: ta
’ L'emprunt domestique en
u France a été un ‘fiasco .
|
;
h——
Paris — Lo ministre des Finaners,
ivement pi fe Sénat, devant qui ii
confesse que Pemprunt domestique
est un fiasco, ct ne rapporte. qu'un.
milliard, au lieu de cing, qu'on es-{à
comptait, ‘Les sénateurs ‘défetdent!
3
| Difficulté religieuse en Acte |
1È
ateur À
FR
au ‘üinistre de toucher aux ressour-t
ces de Femprunt étranger. (Morgan):
Dour équilibr er son burgot,
Ko.
Vents
Nous avons g
ment firal à
des prix vraiement avantageux.
rable de complets pour hommes, tweeds et serges, modèles pour jeunes gens æ
d'écoulement de
notre rayon des véteme nts . |l
roupé notre assortiment de complets en quatre lots pour écotilee
Nous avons un choix très conside-
pour personnes d'âge.
Lot No 1—Twecds et ponte
+. 19.95
à
Lot No 2—Tweeds et worsteds
=
9
CCC
eme se
ES RARES
1. SI.G8:
ÂAtbert
Kl,07; No, 4, S1.41,
67 JS.
Orge. No, 4 CAVE 92 1-1: No.
4 CNW 86 LA: rejelécs 8 si 1-1: four;
rage, 89 1-4: voie, VER |,
Eine. NE 9.67 A: No, 2
CM. 2.693 8 ; Nu. Érs WW, et rejeté,
2,93 JS: voice, 2,067 3h. !
Seigle. No, 9 CN. nl
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DUUS
Marché’ aux ‘animaux de Win-
nipeg 7 ‘
boucherie SES ñ
QUE vaux |
QUE PFélevagr, Su
Sapiro demande à Ford de sel“!
retracter-”
Chicagb.-"Aaren Supiro deinan- :
de à Henry Ford de retracter cer-
;
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Chandelles et Gierges
Fheu- |
] (Manitoba-Saslatghewan)
grévistes, des traitres, des Spéule EU
Bouvillons: de
2,793 vaches, S 50 à sf:
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Na. 9, s1.63: No, 5,
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Marché aux amimaux de
Prince-Albert
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Por es gras, 9.50...
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Marché de la fcrmière
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ché celle semaine.
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LECONS DE MUSIQUE
terres, lots, etc. Eugène Guvr.
tin,. St-Paul, Alta, : ‘ “af
INST EPUTEUR ou institutrice bilin-
que Jenandé out PEcole Ness
.N og À 2698. csutaire #1 100 par ane
teur doit posséder cÉpérience anté-
ricure.duns comptabilité municipale
et pouvoir lire, écrire et parler les
POUR langues frénçnise el anglaise, Fou nur Ouverture - de” la classe le
: tes Les applications.-devront être 47 janvier 1925 Adréssez toute
Batteries et violon, (Kettlcdrum),) dressées avant ou le Ji janvier 1935, . ‘correspondance x Joseph Gervais,
xylophone, tuhaphone, petite euis- | La soumissiou la plus haute où Lan | Nr de: FEcole Ness, Méota,
# û 0 à ape H VU DH re- H $ + …
re, ete, fambourine classique, ete. i ns De ne, “On pis oi un le K 1-46 P
Cours d'harmonie, orchesire, pro! Grosse” les applications à 4. INSEHUTEUR où ‘institutrice hi-
lessionnels. | Dionne,-Scc.dlrés, de Et Municlpae ANT pour. l'école du village
lité Rurale de Duek Lake, Duck] Atétxile. Mentiouner sataire 1e.
. Luke, Susk 45-48 Hi ë, Ouverture . le î janvier
Jacobus Wisse “the, DISK, | : ! S'adresser à M. l'abbé EF,
- . | de jui Albertville, see, Albertvit
élève grand cons, énropéen, premier] ° As SuSk. 40--
# # L US *
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Ecrire avec ré- |
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Le Puy (flaute Loire)
AP PLICA TION SÉRONT RE
CUES par ja Munie ipalité Rur: de de
Duek Lake, No AU, bureau de poste
[de Duck Luke, Sask., pour les posi-
tions de (Secréthire-Trésoricr et
Evaluateur). Vérificateur cl Offr-
Peior de In Santé. Ceux qui feront
: application devront : uientiouner
. leurs qualifications, Jour expérience
antérieure ot Je salüire demandé.i
En plus le
de Secrétaire-Tlrésorier
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E ugène Perrel ‘Dentelles’ {..
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Pardessus et mackinaws pour hommes et enfanis “Le .
Enfin voici la vente que vous avez tant attendue.
ment de pardessus et mackinaws a été réduit à lal imite.
désirez un chaud pardessus, ne manquez pas de faire une visite chez “Eéker s.. Il
SA ONS EGALEMENT LES DIFFERE sis
ÏS
fi AUTS PRIX DU MARCHE, \.
ee
Ame prix: $500,00 en argent:
fine prix: 00,00 en argent.
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À a Achelez des billets! Courez \O-
mms |
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TAE &UX HOMMES sas expériciict
déltiandés poûr apprendre à cat
re chance tout en laisanL. l'aumoôi duiit & taunions, Bon ‘salaire, S'a-
ne au Refuge Don-Bosei. ilresser à M. Mood; 119: 20e Hi
Pris des billets: L'sour SLA: 10 as SE kaiuon, Sask. —
pour #1 NU: 100 pour S5,00; G0D potr le oi
pour K25.00: AU pour S100,00; UNE ; ‘OCCASION. EXCEP.
tu Dour à S5D0.0 , - ] Lu ,
Beriig à l'abbé Lhilippon, pire T ONNELLE. À vendre
He | dans la province dé Québet,
l'uhe. des plus belles terres
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